Entre vous et moi très chers lecteurs !

Très chers lecteurs, amis de partout

Après m’être engouffré dans l’aventure mondoblog voilà presque plus d’un mois, il faut dire que je ne m’en suis pas ressorti et je ne compte pas du tout pas m’en ressortir. Je trouve naturellement ma place  parmi les amis mondoblogueurs, mes compagnons d’aventure. Bref, avec mondoblog, je pense avoir trouvé chaussure à mon pied : écrire et être suivi par un groupe attentif à mes moindres erreurs et enchanté à m’orienter, composé des Cédric Kalonji et Simon Decreuze entre autres.

L’écriture m’a passionné dès le saut du lit de mon enfance. Mon maitre se plaisait déjà à corriger mes poèmes à l’Ecole primaire de Mboumbaye Gandiol. Je me dis souvent que la beauté de la nature de mon village avait un irrésistible attrait sur moi tel que je devais forcément le traduire sous forme de vers.

Certes, tout au début de l’aventure mondoblog,  je me sentais un peu rétif, je dois le confesser. Mais tout début est difficile, ainsi, console t- on souvent ceux qui perdent courage. Néanmoins, je n’ai jamais reculé d’un iota. Je ne suis pas du groupe de ceux qui fuient quand les conditions deviennent délicates. En matière d’aventure, je suis très obstiné.

Toutes mes excuses auprès de tous ceux qui ont pris l’habitude de commenter mes articles. Pendant toute une semaine, ils n’ont pas eu droit à de nouveaux. C’est parce que j’étais parti passer la plus grande fête des musulmans au village, à Gandiol.

S’y rendre fréquemment n’’est pas un impératif, mais pour cette occasion, ça avait bien épousé les contours d’un impératif. En effet, la fête est le seul prétexte qui permette la présence de tous les membres de la famille quasiment, éparpillés partout à la recherche de travail.

Comme vous le saviez déjà, la fête de Tabaski ou fête du mouton, m’avait tenu à l’écart du net pendant près plus d’une semaine. Ce fut une merveilleuse retrouvaille avec presque tous les parents et amis au village pour le temps de quatre jours. Il n’y avait que vous, très chers amis lecteurs  qui manquiez au cercle élargi des convives autour de la viande du mouton. Je vous  fais saliver, mais un peu de retenue, car vous n’en goutterez point (rire) !

Maintenant, je suis bien revenu sur le net où la chaleur de vos commentaires à mes articles reprend de plus en plus ses quartiers.

Je suis flatté de constater, à chaque fois, que malgré l’étroitesse de votre temps libre, vous  créez toujours des brèches pour m’envoyer un mot. Il n’ya pas plus expressif que ça et croyez-moi, ça ne me passe jamais inaperçu.

Il n’ya pas raison de s’inquiéter pour ma crise de paludisme, puisque j’en ai parlé à un lecteur : j’ai dû m’en débarrasser lors de mon séjour au village grâce à Dieu. Et maintenant, je me porte comme un charme.

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Auteur·e

ousmaane

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