La vie au campus, un satisfecit tout de même

Je levais le voile sur les conditions de restaurations à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar. Je continue à le faire, pour ne pas rompre avec les habitudes. Et de surcroît cette fois, c’est une bonne note. En tout cas, ça contraste avec l’étiquette de cherté qui est collée à Dakar, surtout dans la sous-région.

Le prix étudiant : dans quels domaines ? Et pourquoi ?

Photocopie, traitement de texte, impression, gravure, reliure de mémoire ou rapport, bref tout ce qui est en rapport avec les TIC, se fait très moins cher. Par exemple je fais mes photocopies à 15 F la page, l’impression à 20 ou 25 F la même unité. Comparativement, ces deux tâches coûtent respectivement 50 et 200 F dans certains quartiers de la capital Sénégalaise.Parce qu’ils bénéficient d’une subvention indirecte

Très souvent, ce sont des étudiants, dans leur chambre, qui s’occupent de ces activités. Donc ni la location ni l’électricité n’est à leur charge. Les coûts de productions sont réduits (comme on le dit en langage économique). Voilà pourquoi je parle de subvention indirecte.

Parallèlement, il y a des privés qui opèrent dans les domaines que j’ai cités. Ils n’ont pas les mêmes facilités (électricité par exemple), mais ne peuvent pas influer sur les prix. Les prix sont rigides et toute tentative de hausse des prix se solde en perte de clients.

Son et lumière en l’honneur

Dans le campus, les sons, les clips, les jeux vidéo, les films de tout genre circulent en boucle. J’ai presque la certitude qu’on y rencontrer un film un mois après sont lacement.

En tout cas on a de quoi se divertir ici, pour oublier le stresse de cours.

Attention, tout n’est pas rose dans le jardin du campus

En dehors de domaine mentionnés ci-haut, ne vous acharnez pas sur tout. Les alimentations sont dures comme fer. Ils n’hésitent pas à écorcher les clients.

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Auteur·e

aloudiawara

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