La Tunisie hier, aujourd’hui l’Egypte, demain peut-être l’Algérie, la Lybie, voire toutes les autres dictatures. Les mouvements sociaux se déclenchent ou se propagent désormais via les réseaux sociaux. A côté de Twitter, Facebook permet aux « cyber-révolutionnaires » d’organiser des manifestations et de se passer des messages. Coup de projecteur sur certains groupes et pages Facebook.Lire la suite de l’article…
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Auteur·e
tresork
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