Les jeunes Ivoiriens ne font plus le tri des opportunités qui s’offrent à eux. La maçonnerie c’est pour les ghanéens, la menuiserie pour les togolais, la vente du garba c’est bon pour les haoussas du Niger, gagner sa vie en jouant les porte-faix c’est bien pour les bêlas, gérer une boutique ça c’est le business des mauritaniens, la restauration c’est bon pour les filles sénégalaises, la vente de l’électro-ménager c’est pour les nigérians…C’est propos étaient le propre de certains jeunes Ivoiriens et Ivoiriennes qui se voyaient trop importants, trop supérieurs, trop biens pour se rabaisser à vivre de certains métiers.
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