Massytey

BE DIFFERENT, BE UNIQUE!

BE DIFFERENT, BE UNIQUE, écrit par MASSY  TEY

«Il faut que chacun soit bien ce qu’il doit être, et que l’harmonie naisse des différences.» Emile-Auguste Chartier, dit Alain, Dans Les propos sur l’éducation (1932)

C’est avec cette citation du célèbre auteur Alain que je décide de commencer mon introduction.

Je ne pensais pas un jour écrire un tel article car ma connaissance du sujet était bien limitée. Mais il y a un début à tout, et mes débuts commencent maintenant .
J’adore écrire des histoires, faire rêver plus d’un et je crois que l’une de mes qualités, c’est de pouvoir captiver les lecteurs par mes écrits. Alors aujourd’hui j’ai décidé d’écrire quelque chose de différent comme l’indique le titre de mon article Be different, Be unique!

Beaucoup d’entre nous ignorent que la notion de différence résulte non pas de nos propres volontés mais parfois d’éléments naturels.
C’est ainsi qu’au cours d’une de mes escapades sur le net, je découvris un terme qui jusque-là m’était étranger et qui était associé à une figure publique très célèbre : ce terme que dis-je cette maladie est connue sous le nom de “Vitiligo”; et cette figure célèbre dans le monde du mannequinat n’est nul autre que Chantelle Young, alias Winnie Harlow.

Accepter sa différence, c'est accepter de vivre et de Dire Non aux préjugés
Be different, Be unique

Winnie HARLOW, de son vrai nom Chantelle Brown YOUNG, née le 27 juillet 1994 à Toronto, est un mannequin de nationalité canadienne.
Ses parents sont d’origine jamaïcaine. Son père Windsor YOUNG possède une maison à Atlanta aux États-Unis, et sa mère Lisa BROWN est coiffeuse. Repérée par Le top Tyra Banks, elle s’est fait connaître en participant à l’émission America’s Next Top Model USA en 2014 à l’âge de 19 ans. Elle a aussi joué dans le vidéoclip Guts Over Fear de Eminem, une chanson qu’il chante en duo avec la chanteuse Sia, où Harlow interprète à l’écran la célèbre chanteuse blonde. Depuis, la jeune Harlow a prêté son image en tant que modèle pour de grandes marques comme Desigual,Swarovski, Diesel et plus récemment pour Volkswagen. Elle sera l’une des mannequins de Victoria’s Secret Fashion Show 2018.
Winnie Harlow est atteinte depuis l’âge de 4 ans de Vitiligo, une dépigmentation de la peau qui touche 1 à 2% de la population.
Lorsqu’elle était à l’école, les autres enfants pensaient que sa maladie était contagieuse. On la surnommait entre autres “ zèbre”, ou encore “vache”.
Elle était très souvent victime de préjugés à cause de sa différence et à même penser à se suicider, jusqu’à ce qu’elle réalise que sa différence la rendait plus unique.
« Comme je ne voulais pas craquer, j’ai dû assumer», explique-t-elle aujourd’hui. Pour elle, « les gens ont peur d’être différents, alors qu’on est tous différents.»
Elle dira avec beaucoup de foi lors d’une conférence pour le site Ted Teen: «Mon histoire est peinte sur mon corps (…) nous ne sommes pas différents. Certains ont la peau blanche, d’autres ont la peau noire, moi j’ai les deux.»
À ces mots, il paraît évident qu’être différent ne doit pas nous éloigner mais plutôt nous unir. Être différent doit constituer notre force, une atypie qui doit nous rendre fiers de nous-mêmes.
Être noir ou blanc ou même parfois métisse, ou encore atteint de Vitiligo, ne doit pas nous empêcher d’atteindre nos objectifs ; bien au contraire, il nous faut braver les dangers, surmonter les préjugés car ils existeront toujours, et tant que nous vivrons se sera ainsi.
Winnie Harlow nous le montre bien, être différent, c’est être unique ! La seule chose qu’il nous reste à faire, c’est d’y croire et de ne pas craquer.
Alors avant de te précipiter dans le gouffre, danse avec la Vie !
Avant d’abandonner, souviens-toi de cette jeune Femme, qui toute sa vie a dû combattre les discriminations et qui aujourd’hui est célèbre grâce à sa différence!  Pour être soi, il faut oser se mettre au défis !

Be different, Be unique,
Be just a Word,
Be just a Sign
Be more a Smile,
Be just You !
Different and Unique !

Célébrer la différence , c’est célébrer la Vie et surtout savoir apprécier chaque instant de bonheur qui nous est offert!” Massy TEY

BE DIFFERENT, BE UNIQUE, écrit par Massy  Tey, 25. Novembre 2018

 

 

BON À SAVOIR:
Le vitiligo est une affection de la peau caractérisée par l’apparition de taches blanches sur les pieds, les mains, le visage, les lèvres ou toute autre partie du corps. Ces taches sont causées par une « dépigmentation », qui peut être plus ou moins importante, et les taches blanches, de tailles variables. Dans certains cas, les poils ou les cheveux qui poussent à l’intérieur des zones dépigmentées sont également blancs. Le vitiligo n’est ni contagieux, ni douloureux, mais il peut entraîner une détresse psychologique importante.
Le vitiligo est une maladie dont les symptômes sont surtout gênants sur le plan esthétique, les taches n’étant pas douloureuses ni directement dangereuses pour la santé. Par conséquent, le vitiligo est souvent « minimisé » et est encore insuffisamment pris en charge par les médecins. Or, il s’agit d’une maladie qui a un impact très négatif sur la qualité de vie des personnes atteintes. Les personnes ayant une peau foncée en souffrent tout particulièrement . Le vitiligo touche environ 1 à 2 % de la population. Il apparaît généralement vers l’âge de 10 ans à 30 ans (la moitié des personnes atteintes le sont avant 20 ans). Le vitiligo est donc assez rare chez les enfants. Il touche aussi bien les hommes que les femmes, et survient partout dans le monde, sur tous les types de peau.

Il existe plusieurs types de vitiligo:
•le vitiligo segmentaire, localisé sur un seul côté du corps, par exemple sur une partie du visage, du haut du corps, d’une jambe ou d’un bras. Cette forme de vitiligo apparaît plus souvent chez les enfants ou les adolescents;
•le vitiligo généralisé qui se présente sous forme de taches souvent plus ou moins symétriques, touchant les deux côtés du corps, en particulier des zones de friction ou de pression répétées;
•le vitiligo universalis, plus rare, qui s’étend rapidement et peut toucher presque la totalité du corps.
Les causes du vitiligo ne sont pas bien connues. On sait toutefois que l’apparition des taches blanches est due à la destruction des mélanocytes, ces cellules de la peau qui produisent la mélanine. Une fois les mélanocytes détruits, la peau devient totalement blanche.

Le vitiligo est donc une maladie à ne pas négligée, même si elle ne s’avère pas dangereuse pour la santé physique, elle n’en demeure pas moins dangereuse pour la santé mentale

#lucie.mondonlog.org

 

 


Pardonnez Moi mon Père car j’ai péché

C'est l'histoire d'une jeune fille éprise d'amour pour un jeune prêtre
Pardonnez Moi mon Père car j’ai péché, écrit par Massytey

 

Assily se faufila discrètement dans la voiture de son cher amant, et referma la portière délicatement.
Elle fut très fort surprise de l’allure de Père Arsène. Il était très élégant dans son polo près du corps, et son jeans très vintage, lui donnait fière allure !
Il était beau comme un coeur.
Jamais auparavant elle s’était retrouvée dans cette posture, de surcroît avec un homme de Dieu.
Elle avait eu beaucoup de prétendants, des hommes d’affaires, des ministres, de hauts cadres se battaient pour l’avoir mais rien n’égalait ce qu’elle vivait en ce moment.
Cap était mis sur une destination inconnue de Assily. La vieille ville regorgeait d’attractions particulières ! Ici la tradition et le modernisme étaient au centre des attentions culturelles .
Assily n’avait aucune envie de voir ces attractions .
Elle était juste impatiente de découvrir l’endroit où il l’emmenait.
Elle savait qu’elle courait un grand risque car ici tous le connaissaient, alors il fallait être discret.
Tout le long du trajet, il n’y eut aucune conversation… Il y avait tant de silence, un silence presque solennel et immortel.
Ils se jetaient des regards furtifs par moment et un petit sourire venait se poser dans le coin des lèvres… Ils n’avaient pas besoin de parler… Leurs coeurs parlaient déjà le même langage.
Autour d’eux il y avait pleins d’espaces plein air que Père Arsène se faisait le plaisir de dépasser.
Ils n’étaient plus qu’à quelques minutes de leur destination .
Une sorte de peur envahit notre belle Aly.
Il y avait à l’horizon un hamas d’ hôtels de grand luxe. Plus ils s’approchèrent, moins elle était rassurée. Son coeur se mit à battre rapidement.… Était-ce donc ça la surprise qu’il lui réservait tant ?
Elle ne tarderait pas à le découvrir…


Pardonnez moi mon Père car j’ai péché, Deuxième partie

DEUXIÈME PARTIE: LE RENDEZ-VOUS 

C'est l'histoire d'une jeune fille éprise d'amour pour un jeune prêtre

Assily posa les yeux sur la carte qu’elle tenait en main. Elle hésita un instant, puis la rangea discrètement dans sa commode. Elle n’avait pas besoin de l’appeler. Elle ne le devait pas. Cependant elle se décida à le revoir, qu’importe ce qu’il en coûterait.

 

Le regard attendrissant de Père Arsène lui était comme un signe.

Il avait tout pour plaire: sa taille, ses grands yeux marrons, ses lèvres, surtout elles !

Elles étaient une invitation à l’amour.

Il ne manqua plus qu’il lui tende les lèvres et elle en serait très comblée. 

Toutes ces relations amoureuses avaient eu une belle couleur, mais jamais auparavant elle ne s’était sentie autant envahie et submergée par un tel sentiment !

L’amour régnait en maître dans son coeur. Un seul regard eut suffit, une seule parole, un seul geste.

Elle comptait bien saisir l’occasion et profiter de ce que la vie lui donnait.

Le lendemain matin, elle décida de passer la journée avec sa tatie, qui était une grande adoratrice du Saint Sacrément.
Il y avait comme chaque jour , adoration matinale à la chapelle de l’église.
Assily trouva là un bon moyen de revoir son cher Arsène.
Tout le long de la prière, elle s’efforçait d’être concentrée mais rien n’y faisait.
Son esprit ne s’étonnait plus de rien.
Il voulait être connecté à celui de Arsène, et c’était indéniable.
Pendant un court instant, elle l’aperçut, puis sortit le rejoindre. Il était accompagné par une jeune dame, qui  sembla très proche de lui.
Elle sentit monter en elle une vague d’amertume.
Il ne pouvait pas lui faire ça ? Non ! Pas lui ! Elle s’approcha délicatement pour ne rien gêner à leur causerie. À peine arriva t-elle  à son niveau qu’il s’exclama d’une voix forte !

– La voilà notre belle Aly ! C’est toujours un plaisir de te revoir ! Tu es venue avec ta tante je suppose !?
Aly ne savait que répondre. Elle était si agréablement émue. Il ne l’avait pas oublié !
– Oui mon Père. Je suis avec elle. Et je vous ai vu passer alors j’ai décidé de vous faire un petit coucou. Mais je crois que je vais repasser plus tard.
– Non, voyons ! Tu ne déranges pas ! Et nous avions fini. Madame Rose était sur le point de s’en aller. Alors tu viens ? Nous allons échanger un moment dans mon bureau.
Encore une fois elle s’y précipita sans aucune hésitation.

Elle était si ravie d’échanger avec lui et surtout cette voix si particulière ne la laissait pas indifférente.
Tout le long de la conversation, elle se sentit apaisée et comprise, ce n’était certes pas la première fois qu’elle éprouvait ce sentiment d’amour, mais il n’avait pas les mêmes colorations.
Celui-ci était divin, presqu’irrationnel.

Il était la somme de toutes les interjections humaines, une sorte de dialectique qu’on ne peut résoudre.
Elle savait bien qu’elle mettait les pieds dans quelque chose d’extrêmement sensible… Et pourtant l’amour dominait toutes les conventions humaines…

Le soir même, ils s’étaient donnés rendez vous non loin de la paroisse.
Elle avait envie de prendre un peu l’air et de voir la vie à Atioula.

Vêtue de la manière la plus simple du monde, un jeans et un haut court d’où l’on entrevoyait à peine le bout du nombril, elle ne se fit pas prier lorsque la voiture claxonna pour la deuxième fois. C’était le signal pour ne pas éveiller les soupçons…

Affaire à suivre…

 

 


Rondement belle ! Aliman Doumbia, une ronde se dévoile…

Rondement belle ! Aliman Doumbia une ronde se dévoile… 

Je m’appelle Aliman Doumbia, je suis ivoirienne et j’ai 23 ans.
Je travaille en tant que conseillère client dans une société de la place.
Je suis issue d’une famille musulmane très croyante.
J’ai deux frères et une soeur, mon plus jeune frère nous a quitté il y a quelques années.
Ce fut un coup très dur à supporter pour toute notre famille, en particulier pour ma mère qui venait là de perdre son plus jeune enfant.

J’ai décidé de me présenter et de faire ce petit récit à propos de moi même pour lever le voile sur certains préjugés.

Je souhaite évoquer les préjugés de genres, en particulier les préjugés liés à l’apparence physique et au corps.
Beaucoup de personnes souffrent de leur apparence, ils sont atteins par des remarques à propos de leur physique.
J’ai eu moi-même à en souffrir. Cet aspect de moi, cette partie de ma vie, a toujours été sujet à critique.

Lorsque j’étais petite je n’avais pas l’impression d’être différente car à cet âge on n’a pas la notion de différence.
Mais au fur et à mesure que je grandissais, je sentais une sorte de tension très nette autour de moi.

Je me sentais mal dans ma peau, complexée.

Je voyais bien que j’étais différente des autres, car j’étais en chair, voire en surpoids. Cela était difficile à vivre, j’avais du mal à me l’avouer.
Je crois que ma timidité y était pour quelque chose.  J’avais développé un tel complexe que je me minimisais au plus haut point.

Pourtant, malgré ce complexe, j’arrivais à me faire quand même des amis.
Je m’imposais, grâce à ma forte personnalité et grâce à mon fort caractère.
Pendant des années j’ai essayé une panoplie de programmes amincissants. En vain !
J’aurais tellement voulu vivre normalement, comme toutes les jeunes filles de mon âge…

Mais un beau jour j’ai dit « stop! ». J’étais si fatiguée… Je ne voulais plus me renfermer juste parce que j’étais en surpoids.
J’avais 18 ans. J’ai décidé de m’assumer telle que j’étais. Assumer ce qui faisait de moi une femme, africaine et ronde.
Je dois dire que ce fut une période assez faste !

Assumer ma différence et ma particularité.

Assumer que j’étais ronde alors que je n’avais pas décidé d’être ronde. Il fallait aller au delà des préjugés.
Jusqu’à mes 18 ans, j’avais essayé de vivre dans la peau d’une autre. Vivre la vie d’une autre, parce que je ne m’assumais pas.
Mais aujourd’hui j’ai compris qu’être différente et l’accepter fait de moi quelqu’un de meilleur.
Je n’avais pas à essayer de plaire à qui que ce soit, je devais d’abord me plaire à moi même, me sentir importante à mes yeux. Et aussi être soutenue par mes proches.

Aujourd’hui, en Côte  d’Ivoire, les femmes rondes sont l’essence de la beauté africaine.
On arrive plus facilement à s’imposer en tant que femme de valeur lorsque l’on s’accepte telle qu’on est. Rondes et belles !
Cette assurance fait que que certains (hommes et femmes confondus) sont fascinés par nos formes généreuses.
Aujourd’hui plus que jamais, ma philosophie c’est : assumer et prendre la vie du bon côté.

Je ne pourrais jamais changer le monde. Il y aura toujours une part d’injustice et des choses négatives…
Mais à mon niveau, ce que je peux faire c’est exister. Montrer qu’il est possible de vivre au delà des préjugés.
Chaque personne à le droit d’être heureuse, et moi je dois donc exister pleinement. Après tout nous le méritons tous, moi autant que les autres !
Le conseil que je peux donner à mes Soeurs Rondes c’est de s’assumer. De voir leur beauté, de se valoriser telles qu’elles sont, d’oublier les complexes qui nous gâchent la vie.
L’essentiel c’est d’être en bonne santé et d’être heureuse ! (Et quand on est heureuse on est naturellement plus belle !)

« Vivre pleinement sa vie, sans aucun complexe »

Soyons des femmes # zéro complexe, car nous le valons bien !

Rondement belle !

Moi, Aliman Doumbia une ronde qui se dévoile…

 

Écrit par Massy Tey.


Pardonnez Moi mon Père car j’ai péché


Pardonnez moi mon Père car j’ai péché : Inspiré d’une histoire vraie..

C'est l'histoire d'une jeune fille éprise d'amour pour un jeune prêtre

Avais-je le droit ? Ce droit qu’on me refusait tant ? Je l’aimais. C’était certes absurde de devoir le dire, car il ne méritait pas que je souffre autant pour lui. Un amour interdit était-ce là le prix à payer pour avoir refusé toutes ces propositions de mariage ?

Tant de choses  planaient autour de Assily .

D’un côté il y avait sa raison, cette société qui lui interdisait de lui être fidèle et entière, de ne point le contrarier et l’aimer à la mesure des battements de son coeur ; cette raison invraisemblable qui la raisonnait en vain.
Et pourtant d’un autre côté, il y avait son coeur, celui qui la comprenait plus que tout, ce coeur qui l’avait conduit naïvement dans ses bras, et qui chaque fois lui rappelait combien il était bon d’aimer.

Cette lutte incessante en elle, la laissait perplexe. Que fallait-il faire ? Elle ne le savait plus. Elle laissait juste le temps décider pour elle ; on dit qu’il est très bon conseiller, alors elle ne devait qu’attendre, juste ça…

La première fois qu’elle vit Arsène, elle comprit que cet amour serait impossible.

Assise sur le troisième banc de la rangée de gauche, elle le regardait avec fascination, faire son homélie. C’était un lundi soir. Il célébrait la messe ce jour là. Jamais auparavant elle ne l’avait vu. Sa voix si douce, la berçait déjà.

Elle fut tout de suite sous le charme de cette musicalité dont lui seul avait le secret.

Tout le long de la messe, elle était attentive à ses moindres gestes, il était si délicat, et frêle.
Tout était douceur en lui.

Elle se dit en elle-même: “Le diable est un menteur !„ Elle n’avait pas ce droit là, non ! Impossible qu’elle s’y attache.

Alors elle continua sa messe comme si de rien n’était.

La messe finie, elle se rendit à la grotte  pour prier.Tatie Lisa comme elle avait coutume de l’appeler,  le lui présenta.

– Je suis père Arsène avait-il dit, de cette même musicalité . Elle en  était toute troublée, mais réussit à contenir son émotion.

– Je suis Assily. Mais mes amis m’appellent Aly. Dit-elle de façon évasive.

– Très joli prénom  qui sort vraiment de l’ordinaire ! C’est l’un des plus beaux d’ailleurs que j’ai jamais entendu ! Loin de vouloir te flatter ! Assily ne répondit rien. Elle était toute émerveillée et surprise. Pourquoi cela lui arrivait-il ?

À la suite de cela,Père Arsène l’invita à prendre place dans son bureau, car sa tante devait encore faire des commissions pour les groupes de CEB.

Elle n’hésita pas un instant comme si elle attendait qu’il l’y invite.

À peine assise, qu’il  reprit de plus bel !

-Alors parles moi de toi.? Tu sais, nous sommes une petite paroisse, et nous nous connaissons presque tous ici. Et je dois dire que c’est la première fois que je te vois, et je suis très agréablement surpris !
– Et pourquoi donc mon père ?
Il lui sourit, puis répondit.

– Tout simplement parce qu’ autant de beauté ne se perd pas en route, on finit toujours par le remarquer. Et toi, tu es vraiment très belle. Ce n’est certainement pas pour te flatter que je te dis cela, loin de là. Je dis juste ce que je vois. Alors ma petite Aly, parles moi de toi !

– C’est vraiment gentil de votre part ! Je n’ai pas grand chose à dire. Je suis nouvelle ici, et je vis chez ma tatie. C’est la première fois que je passe  les vacances chez elle, et je dois dire que  j’aime cette ville ! Je suis étudiante en Master de droit. Je veux être plus tard avocate en droit familial et venir en aide aux femmes battues et victimes de violences de tout genre. A part ça, il n’y a rien d’autre  à savoir.

– Waouh ! Tu m’as l’air si sûre de toi  ! Époustouflant ! En plus d’être belle,tu es très  intelligente !

Ces paroles de Père Arsène sonnaient encore dans sa tête, lorsque sa tatie lui annonça qu’il fallait rentrer. Elle était si triste et en même temps  heureuse de lui avoir parlé. Il était d’un tel charme ! D’une telle beauté ! D’un tel sourire ! Il était son idéal de mec, sauf qu’il était prêtre.

Jamais auparavant elle n’avait éprouvé pareille sensation pour quelqu’un. Et il fallait que ça tombe sur un prêtre. Confuse perdue, elle sombrait. Avant de partir il lui avait remis sa carte. Fallait-il l’appeler ? La question se posait…. Alors que fallait-il faire ?

Affaire à suivre…..

Écrit par MassyTey, Pardonnez moi mon Père car j’ai péché…


Seconde chance, Cinquième Partie, (fin du dénouement)

SECONDE CHANCE,  Cinquième partie,

Le Dénouement ( fin…)

Depuis le jour, où Tidiane était entrer dans sa vie tout allait à contre sens.

Cette invitation à dîner n’avait rien de vraiment amicale, bien au  contraire , elle avait pris une autre tournure. Celui-ci était devenu un vrai prédateur, et elle une proie facile.
Au début de cette relation des plus amicales, elle lui parla de sa presque  rupture avec son cher Charles.
Ses espoirs désormais étaient de mener une vie bien tranquille au delà de toute certitude humaine. Elle savait qu’elle pouvait rencontrer l’amour à n’importe quel instant, cela n’était pas un problème.

En dépit de tout, Charles et elle avaient eu une belle histoire d’amour, et des plus vraies !

Mai ce fameux Rendez-vous “amical” de St Valentin avait tout changé . Tidiane l’appelait à chaque heure, lui envoyait des textos d’amour malgré son interdiction, voulait être informer de tout, insistait pour la raccompagner partout, à chaque instant. Il était envahissant.
Elle ne s’imaginait pas un instant faire sa vie avec un être pareil.
Tidiane avait le comportement d’un psychopathe et cela en devenait inquiétant.
Elle le trouvait certes beau, élégant, très cultivé même, mais pas plus.

Les sentiments qu’elle éprouvait pour lui, n’égalaient en rien ceux qu’elle avait pour Charles. Et de plus son obsession pour elle lui était insoutenable.

Les jours qui suivirent furent les plus rudes.
Félicité était à bout. Entre aller très tôt les matins et ne rentrer que très tard, pour éviter de le rencontrer, elle était à bout de souffle.

La fatigue se faisait sentir et bientôt on entrerait dans le mois de Carême. À cette période là, il faisait une telle chaleur, qu’on en perdait presque la raison.
Elle ne pouvait donc pas continuer ainsi.

Sa vie était devenue trop épuisante, et à côté de cela, Tidiane n’avait pas à la diriger .
C’en était assez ! Il fallait reprendre les choses en main…

Deux jours avant le mercredi des cendres, Félicité lui donna rendez-vous dans un restaurant non loin de la cité. Elle avait opté pour un lieu public, car elle craignait une attitude déplacée de la part de Tidiane.

Ce dernier était très enjoué et très ravie de la revoir, d’autant plus qu’elle lui avait fermé toutes les portes.
C’est donc dans une atmosphère assez tendue, que se retrouvèrent nos deux antagonistes.
– Salut ça va ?? Avait-il lancé comme pour la faire réagir.
– Très bien et toi ? Je suppose que tu vas très bien !
– Pas vraiment ma belle. Depuis cette fameuse nuit de Saint Valentin, tu as changé. Je ne te reconnais plus. Et en plus j’ai l’impression que tu m’évites. Qu’y’a t-il donc ma puce ?

– Je croyais pourtant te l’avoir interdit. Ne m’appelles pas ainsi car je ne le supporte pas.
Tu me parles de ce fameux soir, où tu m’as avoué que tu m’aimais ? Ou de l’instant où j’ai refusé de sortir avec toi ??
Tout est encore clair dans ma tête. Les images sont bel et bien là.

Ce soir là , les choses prirent une autre tournure. De ce cadre féerique, elle n’en gardait pas de bons souvenirs.
Après avoir refusé sa proposition, Tidiane se montra très agressif et violent au point de lui coller une gifle. Sans l’intervention du serveur, elle aurait pu subir pire. Prise de panique, Félicité accourrue dans le Hall de l’hôtel. L’hôtesse d’accueil fit appeler un taxi.

Ce fut un vrai choc pour notre belle, peu habituée à ce genre de situation.

Tout le trajet retour, elle était très à fleur de peau. Elle ne put rien expliquer à qui que ce soit, pas même à sa voisine, pour qui elle n’avait aucun secret.
Après ce malencontreux épisode, elle avait décidé de s’éloigner de tout ce qui lui rappelait Tidiane. Et aujourd’hui, il était temps de le rayer définitivement de sa vie…
Félicité reprit de plus belle. – Écoutes tu n’as pas encore compris que tout ce qu’il me faut c’est d’être tranquille et en paix ? Tu m’as brusqué de la pire des manières, et ça, aucune femme ne l’accepterait.

Tidiane réalisa alors qu’il avait été vraiment lâche et tenta le tout pour le tout.
– Je comprends parfaitement que tu m’en veuilles. J’étais hors de moi, et je m’en suis excusé un milliard de fois. J’ai pas l’habitude qu’on me dise “non”. Alors imagines un peu ce que j’ai ressenti. J’étais perdu, et je n’ai pu me retenir. Jusqu’à quand vas-tu continuer à me condamner ? Je sais que je t’ai blessé, mais donnes moi au moins une chance de tout reprendre à zéro. Je t’en supplie…

– Je ne te condamne pas, loin de là. Mais crois-moi,  il te faut de l’aide. Et moi, je ne suis pas la personne appropriée. Tu as fait une fixation sur moi, et c’est très mal. Au point où nous en sommes, je préfère que tu ne m’écrives plus, oublies moi. C’est ce qu’il y a à faire.
– C’est donc pour ce vaurien que tu me dis ça ?  Je vaux bien mieux que lui. Dans sa voix il y avait beaucoup d’amertume et surtout de la colère.

– Ne le prends pas ainsi. Tu es quelqu’un de bien mai, pour une autre. Je préfère que ma vie soit épanouie. Avec toi c’est pas le cas, et à vrai dire je suis toujours amoureuse de Charles. Crois-moi, vaut  mieux qu’on en reste là. Oublies moi et bonne chance pour ta vie !
Sur ces dernières paroles, Félicité s’en alla.

Elle venait de faire le bon choix. Leur amitié n’était qu’un leurre car lui éprouvait des sentiments d’amour.

Sa vie n’avait pas à être parfaite, elle le savait . Elle avait en elle cet espoir qui sauve d’une mort certaine. L’espoir de retrouver son tendre amour, quoi qu’il lui en coûte. Elle marchait toute chamboulée par tout ce qui venait de se passer ; Tidiane souffrait, mais elle n’y pouvait pas grand chose. Son coeur lui, la conduit tout droit dans les bras de Charles. Il l’avait guidé jusqu’à la chambre de ce dernier.
Lorsqu’il ouvrit la porte, il ne réalisa pas que ce soit elle.
Elle se tenait là devant lui, à bout de souffle, épuisée par la marche et par ce trop pleins de pensées qui l’envahissaient.

Elle se jeta dans ses bras, fondit en larmes. Il y avait dans ses yeux, une part d’amour et d’incertitude.
Que faisait-elle là ? Sà raison, elle l’ignorait, mais son coeur, lui le savait.  Il lui essuya les larmes et l’envie dominant la raison, l’embrassa tendrement.
C’était un baiser passionné. Il ravivait des souvenirs, en créait de nouveaux. Il avait le goût de retrouvailles, de seconde chance, d’un nouveau départ, d’une envie de se reconstruire.
Ce baiser scellait un lien unique et fort, né un soir d’août, lors d’une soirée entre amis.

Tendrement ils consommèrent cette nuit de volupté. L’amour était au Rendez-vous. Rien ne planait autour de cet amour merveilleux. Le temps s’était suspendu pour laisser place à la magie !

Le lendemain matin, ils avaient du mal à réaliser ce qui venait de se passer. Inconsciemment son coeur l’avait conduit à lui, était-ce là un signe du destin ??
Elle était blottie contre lui et lui la caressait doucement. Il lui dit alors:
– Je n’arrive pas à croire que tu sois là. Après tout le mal que je t’ai fait, tu es revenue vers moi. Qu’allons nous faire ?? Je…

– Chut..! Fit-elle. Tu réfléchis trop. J’ai été conduite par mon coeur vers toi et je n’y crois toujours pas. Et pourtant à la minute, où je t’ai vu, j’ai réalisé que c’était toi mon bonheur. Je ne peux pas vivre sans toi.
Tu es l’essentiel de ma vie. Et malgré cette situation qui nous sépare, aujourd’hui je suis là.
rien d’autre n’a d’importance car aujourd’hui c’est avec toi que je veux être.
Félicité n’en revenait pas. Elle, qui était si conventionnelle, risquait de détruire une potentielle famille en devenir. Qu’importe ! Elle était amoureuse. Ne dit-on pas que l’amour est aveugle ?
Elle était aveuglée par le sien et rien n’y changerait.

Un nouveau jour se levait sur notre belle cité universitaire. Pour certains c’était le début d’une belle liaison interdite, et pour d’autres, la fin de tous les espoirs. Quoi qu’il en soit, pour Charles et Félicité, c’était le début d’une Seconde chance bien méritée… Et ils comptaient  en profiter !

<Fin>

Écrit par Massy Tey !

 


Seconde chance, Quatrième Partie, le dénouement…

Quatrième Partie, Le Dénouement… 

Une semaine venait de s’achever. Les choses reprenaient petit à petit, et notre belle Félicité sembla ne plus éprouver une once de chagrin. Il n’y avait plus de seconde chance, du moins c’est ce qu’il en restait.

Sa vie était devenue  une belle routine. L’école, ses cours, sa passion pour la musique lui faisaient oublier le reste du monde. Même le beau Tidiane n’avait pas encore trouvé une place dans ce coeur qui tentait de se reconstruire .

Elle n’avait pas sorti sa carte de la fameuse poche où elle l’avait mise.

Elle se disait qu’il fallait mieux reprendre le rythme de vie d’un célibat bien mérité. La sensation de liberté qu’elle ressentait en elle lui rendit la vie moins monotone.

Elle reprenait peu à peu un souffle nouveau. Il n’y avait pas  le temps pour  s’ennuyer ! Entre les devoirs, les interrogations, et les cours à préparer, il y avait une panoplie de choses à faire. Et il fallait s’y atteler.
Tidiane de son côté, rêvait d’elle. Il passait tous les matins à la même heure espérant la rencontrer ; et tous les soirs, se garait devant son école espérant qu’elle ne sorte.

Hélas ! Tous ses efforts étaient vains. Félicité avait pris de nouvelles habitudes. Elle était toujours pressée de rentrer à la maison et c’était comme ça. D’ailleurs que pouvait-il bien espérer d’elle ? Rien, car au fond d’elle, c’était un véritable chantier en construction !

Les jours s’écoulèrent et se succédèrent au rythme du vent. Partout on avait que ce mot à la bouche.    Cette fête s’annonçait pour certains de bonne augure et pour d’autres, il n’y avait rien à fêter. Dans tous les coins de rue, tous ne parlaient que de la St Valentin. Ça en devenait agaçant.

De toute façon cela ne la concernait pas.  Elle n’avait pas d’amoureux, quoi que courtisée ça et là, cela lui était bien égal. Le seul homme qu’elle voulait était Charles, mais lui appartenait à une autre désormais. Alors il n’y avait plus rien  à faire…

Ce matin là, les cours prirent fin de manière rapide. Même ses élèves avaient quelque chose de prévu.   Elle avait préféré refuser toutes les invitations qui s’offraient à elle, et n’attendait qu’une seule: celle de Charles, le valeureux élu de son coeur.

Elle attendait  désespéramment ce SMS d’amour comme à leur première St Valentin.  Elle se rappelle encore de ce moment.

Il lui avait écrit un poème et l’avait invité à dîner sur la dalle du Bâtiment S de la cité. Il y avait ce jour là un trop plein d’amour qu’on ne pouvait décrire.

Tout était parfait, même le murmure de cette nuit l’était . C’était la plus belle et la toute première. Malheureusement, rien de ce conte de fée n’existait encore aujourd’hui. Tout s’était éteint comme ça et il fallait passer à autre chose.

Couchée sur son lit, elle songeait à appeler Tidiane. Elle ne l’avait pas remercié pour son beau geste, quoique réticente à l’idée d’entendre sa voix, elle composa néanmoins  le numéro.

Au bout du fil, il y avait une femme.

Elle se dit sûrement qu’elle avait fait le mauvais numéro, alors elle réessaya. C’était bien le bon numéro. La femme lui dit alors que  Tidiane était sous la douche. Félicité  laissa donc un message, puis raccrocha. Pourquoi son téléphone se trouvait- il entre les mains d’une autre ?

La tristesse se lisait sur son visage.   Elle avait été idiote de croire qu’un si beau personnage pouvait s’intéresser à elle, une simple prof d’Allemand. Elle n’avait pas sa classe, ne venait pas de son milieu. Lui était distingué, et elle toute simple.
Il portait de beaux vêtements, vivait certainement dans une belle maison, possédait une voiture de luxe et avait toutes les femmes à ses pieds. Il n’avait pas besoin d’elle. Pensait-elle, sans se douter un instant qu’elle faisait là une crise de jalousie.

Perdue dans ses pensées, elle n’entendit pas son téléphone sonner. Sa voisine lui fit signe et elle comprit alors qu’on l’appelait.
Son téléphone sonnait pour la troisième fois. Elle s’empressa de répondre. C’était Tidiane… Il avait été informé de son appel et voulait l’inviter à prendre un pot. Félicité ne se fit pas prier.

Le Rendez-vous était pour 19h.  Était-ce un élan du coeur ??? Un rendez-vous amical à la St Valentin promettait de faire des étincelles. Vite ! Il fallait trouver une tenue. Elle pu compter sur la promptitude de sa voisine.

Sa robe était parfaite. Dentellée à souhait avec une longueur à la limite de la décence. Des escarpins noirs pour plus de sobriété et un décolleté à en faire pâlir quelques unes. Rien n’était trop extravagant, ni trop élégant.  Tout était une question de juste milieu. Son sac en bandoulière noir irait très bien avec tout le reste. Il ne resta plus qu’à enfiler sa belle robe et le compte y était.

C’était un vrai plaisir pour Félicité de sortir ce soir là. En toute amitié s’étaient- ils dit.

Il y avait une part de reconnaissance dans ce rendez-vous mais également beaucoup d’envies.  Elle savait bien qu’il était un bel homme.  Son charme ne faisait pas défaut.  Elle pouvait donc céder, car rien ne l’en empêchait désormais. Il était 18h30.

Comme prévu il passa la prendre en cité. Elle cachait sa joie, mais au fond, était très heureuse de le revoir ! Il avait l’air plus décontracté, plus relaxe. Sa mise était très classe.

Rien d’extravagant. Une belle chemise blanche et un pantalon noir, rien de vraiment extraordinaire, mais ses souliers vernis faisaient toute la différence. Félicité prit place à bord de la belle Audi. Il avait du goût et surtout le choix, car la Audi faisait partie des voitures allemandes les plus belles célèbres. C’était une sacrée coïncidence qui la laissa dubitative.
Tout le long du trajet, il n’y eut que des échanges de regards. Ils se dévoraient l’un l’autre. Il y avait une attraction mutuelle qui se pofinait. Un instant plus tard elle se décida enfin à rompre le silence.
– Pourrais-je savoir où nous allons ?? Ça fait maintenant 15 minutes que nous sommes en route et je ne vois rien autour. Demanda t’elle d’une voix assez dominatrice.
– Tu as peur ? Tu ne devrais pas pourtant ! Je suis là… Et crois moi je ne suis pas un kidnapper, encore moins un serial killer, alors détends toi. Tu vas adorer l’endroit où nous allons. C’est magnifique ! Et désolé si je me permets de te tutoyer mais je crois qu’il est temps de se comporter en amis.
Il avait bien raison sur ce coup là ! C’était bien le moment de rompre cette barrière invisible qui s’était installée on ne sait pourquoi. Pour la première fois de sa vie, elle faisait confiance à un inconnu. Tidiane lui inspirait tant de bonnes ondes, qu’elle se laissa guider par lui.
Ils étaient enfin arrivés. Il trouva une place pour se garer, puis descendirent tous deux de la voiture. À la vue de ce lieu, elle réalisa qu’elle avait été sotte.

Il était magnifique !

Tidiane avait réservé un bengalo au bord de la plage. Le cadre était très élégant et poétique ! Il y avait des bougies de toute part, une ambiance de bohème, une lumière tamisée pour donner une impression de féerie. C’était un lieu exceptionnel ! Et tout semblait être fait pour l’impressionner !
Que chercha t-il- à prouver ?? Quelles étaient ses intentions envers elle ? Elle ne tarderait pas à le savoir…

Affaire à suivre… Écrit par Massy Tey 


Seconde chance, troisième partie, une nouvelle rencontre…

     UNE NOUVELLE RENCONTRE… 

Toute la nuit elle ne pu fermer les yeux. Les images étaient là. Du tendre baiser à la douloureuse confession, elle baignait dans un lac d’incertitude. Les choses ne se déroulaient pas comme prévu. Tout aurait dû être plus simple. Il a fallu qu’elle tombe enceinte. De toute façon la vie reprenait son cours, avec son lot de joies et de peines ; et elle n’était pas au bout des siennes.

Ce matin là elle n’avait envie de rien. Cependant,il lui fallait aller à l’école. C’était le lundi, l’un des jours les plus importants de la semaine.

Les lundis matins tout était brusqué. Alors pourquoi pas leur faire une petite surprise…

– Prenez les feuilles ! S’exclama t’elle d’une voix forte !

Les élèves très peu enthousiastes s’exécutèrent. Après avoir soigneusement écrit le sujet au tableau, elle s’accorda 15 minutes de répit.

Il y avait tant à penser ; tant de choses à faire, se disait-elle en son for intérieur. Je ne peux pas me permettre de passer à côté de ma carrière pour un homme.

En plus il m’avait presque jeté et maintenant il me trouve à son goût. Les hommes tous les mêmes !
Les élèves se mirent à rire ! Elle comprit à ce moment là qu’elle parlait à haute voix.
Mais cela n’y changeait rien. C’était tout de même vrai, et tous le savaient.
Les 15 minutes étaient écoulées. Il fallait faire cours. Aussitôt dit aussitôt fait. Tout se déroula dans une bonne ambiance.
Ce fut une belle journée.

Les oiseaux sifflotaient au vent, qui lui, emportait soucis et chagrins. Le soleil brillait de milles éclats comme pour annoncer la parodie qui allait avoir lieu. Tout était parfait. Il ne manquait plus que le murmure de cette fatidique heure. Elle ne savait pas, ce qui se tramait. Et pourtant cette nouvelle rencontre allait tout bouleverser….
Un nouveau jour se levait encore sur la belle cité universitaire. Comme à son accoutumé, elle se dirigea vers la gare de taxi. Elle n’en aperçu aucun. Comment faire ? Elle risquait d’être en retard. La journée ne démarrait pas aussi bien que ça.

Elle décida alors de marcher le bord du boulevard espérant avoir un taxi et ne se rendit pas compte qu’on la suivait. La voiture claxonna. Elle n’entendit rien, du moins,ne voulait rien entendre. Elle continua son chemin. La voiture arriva à son niveau. Une voix se fit entendre.
– Je vous suis depuis quelques instants. Puis-je vous déposer? La voix se faisait plus insistante. Alors Félicité lui répondit .
– Merci pour votre amabilité mais je crois que ça ira.
– Je m’appelle Tidiane… avait-il dit d’une voix douce comme pour la mettre en confiance.
La belle hésita de nouveau à lui répondre.
– Je ne vois pas en quoi me dire votre prénom arriverait à me persuader de monter dans votre véhicule.
– Cela peut vous sembler louche, et vous avez tout à fait le droit de penser ça. À votre place j’aurais réagi pareil. Mais voyez vous ? Il n’y a pas de taxi, et il me semble que vous êtes là depuis un bon moment déjà. Pourquoi ne pas me laisser vous aider ?
Effectivement Félicité ne pouvait pas refuser cette main tendue. Il n’y avait aucun taxi communal dans les environs et chaque matin il fallait espérer ne pas tomber dans un embouteillage monstre.

Tout le monde se pressait pour aller au boulot et du coup c’était le désordre. Que risquait-elle ? Elle ne pouvait pas s’offrir le luxe d’arriver en retard. Sa période d’essai était presque finie. Et si elle voulait être reconduite, il lui fallait plus d’assiduité.

Elle prit la peine de mémoriser la plaque d’immatriculation, puis monta dans le véhicule.

C’était une belle Audi A4, une de ses voitures à vous couper le souffle ! Elle en avait déjà vu dans la ville, mais jamais auparavant n’était montée dans pareille merveille.
Enfin installée, elle lui indiqua le chemin pour son lycée.
Tout le trajet, ils n’échangèrent aucun mot. Elle remarqua néanmoins qu’il lui jetait des regards furtifs par moment. Elle rougissait délicatement. Son teint noir d’ébène ne laissait rien apparaître. Quoi qu’il fut noir, il était d’un éclat sans pareil !
Sa beauté était d’une rareté des plus intenses. Elle dégageait une telle douceur, une telle sensation d’apaisement qui ne laissait personne indifférent. D’ailleurs, Tidiane ne tarda pas à le lui dire.
– Je vous sens bien timide Mlle..??
– Félicité, répondit elle.
– Je disais donc que vous me sembliez timide, voire inquiète. Que se passe-t-il ?? Pardonnez mon indiscrétion, mais je trouve dommage qu’une si belle femme soit dans cet état.
L’attention fut bonne. Néanmoins, elle tenait à préserver le mythe.
– Vous vous méprenez sur mon compte. Je suis surtout pressée d’arriver à l’école. J’ai horreur d’être en retard.
– Vous êtes donc Prof ??
– oui je le suis. J’enseigne l’Allemand. Il eut l’air d’être étonné.
– Ça vous étonne ?? Pourquoi !?

– C’est rare de voir de belles femmes professeurs et en plus d’une discipline aussi complexe que l’Allemand.
Elle ne dit mot. Et le laissa continuer.
– C’est admirable je trouve, surprenant à la fois, mais je crois que cela vous passionne vu l’état dans lequel vous êtes.
– Je dois dire que c’est avant tout une vocation. J’ai tout de suite su que je la voulais. Et ça n’avait rien d’étonnant car mes résultats scolaires le prouvaient. Il n’y a rien de surprenant, je pense. On choisit toujours un domaine de compétence, et l’Allemand, c’est le mien.
La discussion se poursuivait de plus belle. Ils semblaient être complices pour deux inconnus. Elle lui fit signe qu’elle était arrivée. Félicité s’empressa de descendre. Il lui tendit néanmoins sa carte. Elle la glissa dans l’une des poches de son sac puis s’en alla.
Sauvée par le gong ! Elle était à l’heure de justesse. Son premier cours de la journée se déroulait en classe de 3ème. Il n’y avait rien de spécial. Juste un peu de grammaire. La journée reprenait un peu de couleur et d’entrain.

Était-ce à cause de cette nouvelle rencontre ? Tout au fond d’elle, Félicité savait que le choix était déjà fait. Alors qu’attendre d’autre ?

Affaire à suivre…


SECONDE CHANCE, L’aveu… DEUXIÈME PARTIE…

       

Tous les hommes étaient de grands menteurs, on le savait tous. Mais avec Charles tout avait l’air parfait. De leur premier baiser à leur première nuit d’amour , rien ne planait autour de cet amour merveilleux.

Elle se souvient encore de la première fois. C’était certes pas lui son premier homme mais c’était leur première fois à eux ; elle leur appartenait. Et rien ne pouvait ternir cette belle image d’amour.

Couchée sur son lit, les yeux fixés sur son téléphone, elle expia un souffle,comme pour dire enfin ! Il venait de lâcher la bombe qui allait tout remettre en question . De cette seconde chance qu’elle conspira depuis qu’il voulait revenir, il ne resta qu’une once de chagrin. Qu’avait-il bien pu lui avouer ? Que se cachait-il derrière ce coup de fil ???
Et bien !
Elle était enceinte. Il le lui annonçait comme ça, de cette manière si incongrue. Une grossesse ?  C’était à la fois une joie et un malheur pour elle.

Il allait être papa, mais ce ne serait pas elle qui lui procurerait cette joie. Elle l’avait tant voulu ; elle le désirait plus que tout.

Cette seconde chance avait le goût de noces, des retrouvailles certaines. C’était un éclat vif qui renaissait dans ses yeux. Elle l’avait ressenti, pressenti, presque senti. Elle l’avait touché, effleuré, apprécié, juste le temps d’un instant. Mais… Il n’était que leurre ce bonheur. Il n’existait plus…

Les jours qui suivirent, furent les plus rudes. Elle devait encore l’affronter, ce Charles, l’homme qu’elle aimait par delà sa bêtise. Elle devait le revoir, le sentir.

Elle ne pouvait se contenir. Il était bel et bien là devant elle. Il tenait en main un bouquet de fleurs.

Ses mains hésitant encore à prendre le bouquet, ne purent ignorer cette délicatesse qu’il avait dans les mains.
– Que fais-tu là? Balbutia t-elle. Je croyais qu’on s’était to…Elle ne pu continuer car il la tenait déjà dans ses bras.
D’un tendre baiser il anima son coeur. Elle oublia à ce moment tout ce qui se passait. Le temps s’arrêta devant la voluptuosité de cette charmante attraction. Il l’embrassa passionnément comme pour se faire pardonner. Des caresses fusèrent de toutes parts. C’était comme une pluie d’amour qui se déversait sur les deux tourtereaux.
Malgré cette belle attache, elle réussit à se détacher.
– Tu n’aimes plus mes baisers ??? Lui dit-il d’un air inquiet.
– Si. Tu sais à quel point tes baisers me font rougir d’amour pour toi. Mais vois-tu ! Il y a encore cette part d’obscurité qui demeure. Tu ne m’as pas tout dit. Alors que veux tu que je fasse ? Mon corps répond encore à tes baisers mais ma raison… Ma raison,elle, me raisonne. Il y eut un silence. Puis il se décida à se confesser…
– Des explications je veux bien t’en donner. Mais avant, dis moi que tu m’aimes. Quoi que je te dirai, ne me laisses pas sombrer dans ce gouffre que j’ai moi même créé.
– Je te le promets. Alors dis moi… Qu’on en finisse. Il s’en suit une longue lettre comme si les adieux étaient proches. Elle l’écoutait attentivement. Lui, parlait délicatement. Elle voulait le croire sincère mais était-ce vraiment réel ??
– Ma chère Félicité, tu sais que je t’aime, tous les mots ne pourraient le décrire parfaitement cet amour que j’ai pour toi. Mais… Hélas ! Je ne suis qu’un homme fait de chair. Et ma chair m’a conduit dans les bras de Sandra,une amie du quartier. Ça n’a pas vraiment de sens que je t’en parle car tu en souffres déjà, je le sais. Mais, elle est enceinte de moi. Dois-je la rejeter ?? Ou assumer ma faute. Je suis perdu. Les sentiments que j’ai pour toi ne me trompent pas. Je dois faire un choix,et de choix me semble impossible à faire.
Toute cette confession lui pesait. D’une part elle le voulait pour elle, et d’autre part, il y avait un pauvre innocent qui n’avait pas demandé cette situation. Les larmes ruissellèrent sur le visage attristé de Charles. Il était sincère, elle le ressentait. Mais que pouvait elle y faire ?
Lui pardonner et accepter cette situation ? Ou tout simplement l’oublier et essayer de se reconstruire.
Milles et une questions lui trottaient à l’esprit. Elle ne savait que faire. Pour la première fois de sa vie, il lui fallait choisir entre l’amour et la raison. Alors que devait elle faire ??? Elle l’ignorait….

  1. Affaire à suivre….


Seconde chance, première partie…

SECONDE CHANCE : PREMIÈRE PARTIE 

 Depuis cette nouvelle tentative de séduction, elle semblait perdue, perplexe à l’idée de lui ouvrir encore une fois son coeur.

Il l’avait brisé un mois auparavant après une année de relation et la vie avait semblé s’arrêter pour elle.

Des nuits longues à broyer du noir. Elle était devenue l’ombre d’elle même. Toutes ses joies d’autrefois n’étaient plus. Le souvenir de leurs nuits de tendres voluptés avait disparu. Elle lui avait consacré une année de sa vie. Et aujourd’hui il n’en était rien. Il l’avait quitté sans scrupule. Aucun motif ne justifiait cette rupture.

 Et pourtant ! Tout le mal ressenti n’effaçait pas ce qu’elle avait d’amour pour lui. Ses baisers, ses caresses, leurs nuits d’amour ; les mots doux apaiser les disputes ; les charmantes attentions qu’il avait à son égard. Tout était encore là. Rien ne ternissait cette belle image d’amour. Elle l’aimait toujours, c’était sûr ! Mais méritait-il son pardon ?

Un de ses matins où elle avait cours, attendant en vain que l’on ne sonne la deuxième heure pour se délecter de ses devoirs de prof, elle consulta ses messages.

Un grand sentiment l’envahi.

Il lui avait écrit. Après tout ce temps. Que cherchait il à prouver ??? Que lui voulait il ???

Elle ne le savait point. Elle espérait juste que c’était ça. Juste qu’il lui demande pardon, et qu’il revienne vers elle. Elle avait prié pour que ce jour arrive. Pour qu’enfin il reconnaisse qu’il avait eu tort. Elle l’avait tant attendu ce moment. Et il était enfin là.

-Bonjour Lova, avait il écrit. Je sais que je t’ai fait beaucoup de mal et que beaucoup de temps se sont écoulés depuis notre rupture, mais crois moi je reconnais avoir bardé. J’ai déconné. Je voulais être seul pour réfléchir à tout ça,  à ma vie. Hélas ! J’ai échoué. Je me suis trompé et je le regrette… Je me suis souvenu de tous ces moments avec toi. De tout l’amour que tu éprouvait pour moi, je n’ai pas su l’apprécier, ni t’apprécier également. Mais aujourd’hui je suis prêt à tout assumer si tu m’en donnes l’occasion.

À ce moment là, tout son être était en trance. Elle était perdue, bouleversée. Elle ne savait quoi répondre. Elle l’aimait, c’était sûr mais était-il vraiment ce qu’il prétendait ??

Toute la sainte journée elle repensa à ce fameux message. Ne sachant que répondre. Le sentiment d’amour était de nouveau là. Une seconde chance pour un être qui l’avait tant brisé. Elle écrivait une phrase, et la supprimait juste après. Que devait-elle lui dire ??

Elle se lança enfin:

– J’ai beaucoup repensé à ce nous si certain que nous étions autrefois. Mais aujourd’hui je ne sais plus. Tu m’as brisé le coeur. Tu m’as fait croire que tu m’aimais mais au fond je crois que tu n’aimes personne. Tu as juste besoin d’être soutenu, compris . En un mois de rupture, tu as déjà refait ta vie. Je ne comptais assez n’est-ce pas ?? Et je dois pardonner. Je le veux bien.  Je t’aime, je ne le nie point. Mais je veux comprendre. Pourquoi ??

Le téléphone sonna à cet instant là. C’était lui. Charles. Il avait cette même voix séductrice. Elle l’écoutait se justifier sans dire un mot.

– Je t’ai blessé je le sais. Après notre rupture, j’ai entrepris une relation avec une jeune fille de mon quartier. J’avais besoin d’un peu de plaisir et elle me le procurait vraiment. Mais je me suis rendu compte que celle qu’il me fallait c’est toi. Et aujourd’hui je suis vraiment honteux de t’avoir fait du mal. Me pardonnes tu ?

Elle ne savait pas quoi dire. Il eut un silence puis elle répondit comme pour se décharger d’un poids.

– D’accord. Je vais essayer.

À cet instant, elle n’imaginait pas ce qui l’attendait. Elle ne voulait juste que lui, rien que lui. Lui pardonner était facile, elle l’aimait. Et comme on le dit l’amour est une donnée que seul le coeur qui aime, connaît. Alors elle le connaissait et voulait essayer de nouveau.

Mais… Le coup de fil de ce dimanche matin changea tout…

 

AFFAIRE À SUIVRE…

 

 

 

 

 


Et si je vous parlais encore une fois d’amour !!! acte 3

” ET SI JE VOUS PARLAIS ENCORE UNE FOIS D’AMOUR „ acte 3…

L'amour est un symbole de liberté et de contrainte.

”Encore une fois, il m’échappe et je le cherche. L’amour je crus pouvoir le dominer, sans pourtant savoir que l’amour nous domine, car c’est lui le prédateur, et nous les proies” massy Tey…

De la définition de l’amour je ne sais plus grand chose. À force de le vouloir définir, je finis par en perdre l’essence. L’amour m’a rencontré lorsque j’étais encore frêle. Dans l’insouciance même de la vie, où l’on croit tout posséder et appartenir à tout.

J’ai ressenti en moi à  ce moment là une joie vive,que rythmaient les battements de mon coeur. Il était là à ma portée. Je ne pouvais pas le retenir mais juste le contenir. J’étais amoureuse, je le savais.  Mais pourquoi moi ??? Je ne connais pas l’amour !

Je compris alors qu’il ne choisissait pas. Il s’imposait.

Il devinait notre besoin d’être aimer. Et il nous aimait.

L’amour, l’entends tu ???. C’est cette valse insouciante qui ne s’arrête jamais.

Il est ce trop plein de larmes qui ruissellent le long de ce visage apeuré de perdre l’être aimé.

Il est cette vague de douceur, indolente, malhabile,

mélancolique,

qui nous apaise et nous pèse à la mesure de nos sentiments.

Il est cette voie presque banale, que l’on prend s’en jamais savoir pourquoi.

C’est ce verbe qui nous amène à le conjuguer sans structure grammaticale.

Il est ce sentiment d’exactitude qui vous anime lorsque vous rencontrez l’être aimé…

­

L’amour, le vois tu ?? C’est ce sentiment d’éloignement et de proximité…

C’est cette amertume tuméfiée par des années de solides tues

il est cette étrangeté divine, presque parfaite, qui anime de paix notre âme en peine…

L’amour c’est cette tourmente assidue de ne pouvoir être possédé et posséder.

Il est cette fissure indéfectible qui s’installe lorqu’on rompt nos habitudes.

L’amour, c’est l’ami hypocrite de tous les hommes.

Il est-ce doux baiser consommé après une nuit de délices voluptés

Dans la chambre à coucher, à l’heure des rêves sans lendemain,

il est ce grassouillement que font nos corps en s’éfritant encore !

Il est cette complainte intrépide, à l’annonce de la paternité

Il est ce rien qui forme un tout, et qui de rien déforme tout.

L’amour, c’est ce nous si absurde, cette envie soudaine de n’être qu’un,

C’est Cette nuit de tendres maladresses,

Bestiales et frivoles

Mais qui au fond nous empoisonnent

et à la fois nous raisonnent…

L’amour, c’est cette prière presque solennelle que l’on adresse dans toute la splendeur de la messe à notre Père éternel.

C’est cette donnée insaisissable, qui nous fait douter de notre amour,

              c’est cette douleur incolore qui colore nos vies éphémères

Il est cette vesprée obscure qui nous obscurcit de toute part…

Il est cette attache  presqu’inconstante

             L’amour, c’est ce besoin inextricable d’attention, cette teinte d’horizon unit en un seul mot

Il est cette nature imparfaite qui nous donne d’aimer les divines imperfections de l’autre.

L’amour c’est une somme, un compromis, une aventure inhumaine,

Un combat, une lutte.

L’amour c’est une complexité,

L’amour c’est une duplicité…

L’amour c’est tout simplement et avant tout cette ritournelle de larme,

     qui domine nos lamentations humaines

C’est cette douleur qui se tait,

Presque rancunière,

                Insoumise,

Mais debonère,

Qui prête à la vie un parfum éphémère,

Pour masquer ces chaînes muettes… By Massy Tey…

 


femme et maquillage, allié ou ennemi ??

FEMME ET MAQUILLAGE, ALLIÉ OU ENNEMI ?? 

 


Depuis la nuit des temps, se faire belle et être attrayante a toujours   fa

Chaque visage reflète une particularité qu’un maquillage efface,alors être belle au naturel serait une aubaine pour être qui on est réellement !

it partie du mode de vie de toutes les femmes ! Les femmes et leur maquillage, parfois un atout et même un ennemi, laisse resurgir en nous des questions et des réponses.

Qu’elles soient du moyen âge ou même de l’antiquité, ou qu’elles viennent du village ou de la ville,les femmes ont toujours su développer ces attraits qui ne laissent personne indifférent. Avec cette aire nouvelle où le numérique a pris le pas sur toutes les formes d’expressions, tous les moyens sont bons pour s’informer et s’approvisionner en matière de maquillage,et de tout article de ce genre.

« De Black Opal, à Maybellinn en passant par L’Oréal, de grandes marques de beauté font de chaque femme une vraie déesse grecque. »

Ces grandes marques de beauté ont su et savent faire preuve d’ingéniosité pour satisfaire et accroître leur clientèle. Mais se maquiller est-il toujours indispensable ?? Faut-il être conditionné à cette forme d’expression ???

À cette question, je dirai que chaque femme décide oui ou non de s’adonner aux maquillages et à toutes ces formes d’artifice. Elle décide également de la ligne à suivre pour se sentir belle et libre.

„Se maquiller permet de dévoiler une autre facette de notre personne jamais révélée  mais nous assujétit à une certaine forme de dépendance. ”

Beaucoup de femmes ne s’imaginent pas sortir sans un peu de fond de teint, sous prétexte qu’elles ne seront pas assez belles au naturel.

Et pourtant le naturel est le meilleur moyen de s’affirmer et de confirmer notre état d’être indépendant !

Une femme prend toute son assurance au naturel et ne doit utiliser le maquillage que pour rajouter un petit truc en plus, rien d’autre.

Le maquillage ne doit pas servir de couverture, ni d’alibi pour cacher nos traits. Il ne doit pas être un prétexte ni un mauvais conseiller.

Chaque femme incarne une vraie merveille qui se reflète sur son visage !
Armande Bouabré, un exemple typique de la beauté au naturel !

Bien plus notre peau a beaucoup plus besoin d’être naturelle pour nous éviter d’être confrontées à des rides et autres effets des produits de beauté qui à long terme ont des effets secondaires sur notre peau. Le meilleur moyen pour nous d’avoir une peau saine et toujours en bonne santé est de savoir utiliser notre maquillage afin qu’il ne soit pas un ennemi pour nous.

Cela ne signifie pas d’être tenté par tout ce qui nous tombe sous la main mais plutôt de faire preuve de bon sens et de maturité quant à l’utilisation de ces produits. Sachons appréciez notre beauté au naturel car au final c’est notre meilleur allié pour la vie !

Alors faisons en sorte de préserver notre charme naturel, avec un petit zeste de maquillage ! Ni plus, ni moins !

Massy Tey in Femme et Maquillage et allié ou ennemi ! 


Une fille, une école ! Donnons leur cette chance !

UNE FILLE, UNE ÉCOLE ! DONNONS LEUR CETTE CHANCE !

« Ce sont ces gestes si simples qui rendent la vie plus agréable, et le bonheur de voir une petite fille aller à l’école, encore plus beau » !

Quand j’étais plus petite, je ne connaissais pas réellement le sens de l’école.
Je savais juste qu’on y allait pour lire et écrire et aussi pour avoir ce peu de savoir qu’on apprenait nul part ailleurs.

Je faisais juste ce que l’on me demandait de faire et je m’en tenais à cela.
Plus tard j’ai compris pourquoi il était si important d’aller à l’école.

Au delà de savoir lire et écrire, l’école ouvrait mon esprit critique et ma capacité de réflexion.

Je me sentais plus à même de pousser la réflexion loin et de repousser mes limites.
Je n’avais plus d’appréhension, ni de doute mais une certaine sensation de liberté que jamais auparavant je  n’avais connu.

Cette délectation me confortait dans l’idée que j’étais une donnée individuelle au service d’une multiplicité et que mon apport au monde me serait tout autant bénéfique que profitable .

Je n’avais plus de peur.
Je contemplais mes jours de divine exaltation.
La lecture, la poésie étaient pour moi des prières.
Mon monde d’émotions s’était entrouvert et je ressentais le monde comme il était.

L’école m’a appris à être Homme, à développer mon Humanité, à être plus sociable et social, à me laisser guider par mon instinct et à ne jamais oublier qui je suis.

Aller à l’école a été pour moi un instant décisif dans la vie de mes parents.
Mais ayant fait le choix de la vie, ils nous ont donné à nous filles, femmes la chance de faire pencher la balance des inégalités de genre.

Grâce à l’école je suis à même de pourvoir penser et de pouvoir être une pensée.
J’ai cette possibilité de m’exprimer, de développer un savoir-faire inouï.

J’ai la possibilité de m’ouvrir à des perspectives d’avenir et  d’exister comme une entité première !

Grâce à l’école, la vie me paraît plus supportable, mes chances de réussite plus envisageables et le changement de mentalité plus possible.

Donner la possibilité à une fille, une femme, d’aller à l’école ne fait pas d’elle quelqu’un de détestable,  ne la rend pas plus superficielle que ça, ne la dégrade en rien.

Lui donner cette chance, est la meilleure des solutions pour lui garantir un avenir meilleur et sain.

Lui donner cette chance lui ouvre les perspectives d’une vie meilleure, d’une vie de pleine exhalation.

Donner cette chance à une petite fille, c’est rendre sa vie moins pénible et plus supportable.

Ne faisons pas cette erreur, de croire que la femme n’est bonne qu’à faire la cuisine !

Cette mentalité est à proscrire et à bannir de nos réflexions.

La place de la fille,femme est avant tout dans la connaissance et le savoir !
Alors faisons le choix de la vie !

Alors faisons le choix d’une vie ! Une fille, une école !


La femme, acte 1

CE QUE VEULENT LES FEMMES !

J’ai mis du temps à réaliser que pour être heureuse il fallait l’avoir décidé. Qu’une fois lancé le destin suivait son cours et que pour rien au monde les autres devaient nous dicter notre conduite.

La Bible nous enseigne d’être soumise à nos maris. Une bonne femme est synonyme de soumission, d’acceptation de tout et pour tout, seul l’homme a son mot à dire. En tout et pour tout, le bonheur d’une femme se résume en ces trois termes : soumission, éducation et ménage. Et si d’aventure elle osait employer ce terme, « liberté », alors les conséquences seraient terribles.

Depuis des siècles et des siècles les femmes sont soumises à ces stéréotypes qui font d’elles parfois des objets de décoration, des personnes sans valeur. Pour la tradition, elles ont été élevées pour être des automates. La femme est donc reléguée à sa fonction première, celle de rester soumise à son mari. Mais si de nos jours l’éducation de la femme lui donne un autre principe d’égalité, elle ne reste pas moins en dessous de l’homme. Il n’y a pas d’égalité véritable entre ces deux entités comme on veut nous faire croire. Il n’y a qu’une vague acceptation de ce qu’elles représentent réellement. A-t’on déjà pensé à ce que veulent les femmes ? Ou restons nous seulement confinées dans cette idée d’égalité, de parité ?

Ce que veulent les femmes, c’est avant tout d’être heureuse. Aucune femme ne dira qu’elle est suffisamment heureuse lorsqu’elle ne l’est pas réellement. Qu’elles soient jeunes filles ou femmes adultes, elles convoitent toutes la même chose : le bonheur. Un bonheur auquel elles n’ont pas droit, qu’elles refusent de revendiquer de peur de perdre leur dignité, leur place de femme.

Ce que veulent les femmes c’est aussi le respect, les attentions et l’acceptation de soi. La femme a toujours eu un besoin d’affection que parfois les hommes leur refusent. Ce besoin là pousse les femmes dans leurs retranchements et dans ce rôle dans lequel toutes les générations tendent à les y enfermer.

Une femme ne vit pas seulement pour ces enfants, son mari, comme on voudrait nous le faire croire. Elle vit également pour elle-même, pour son bien-être et son épanouissement personnel !

On oublie parfois qu’être une femme c’est devoir gérer un stress permanent et subir vraisemblablement une société qui tarde à évoluer et se développer.

Les femmes d’aujourd’hui ne sont plus celles d’autrefois qui avaient du mal à exprimer leurs sentiments ; celles d’aujourd’hui sont plus fortes,instruites,plus à même de dire non et plus à même de prendre leurs propres décisions.

Ce que veulent les femmes, c’est avant tout être comprises, car elles vivent dans cette crainte de non-acceptation du fait d’une éducation trop stricte ou d’un niveau trop élevé. Une femme a besoin d’exister et de résister mais elle a avant tout besoin d’un homme qui saura l’aimer car n’a t’on pas dit que la femme est la côte de l’homme ?

Affaire à suivre…


la plume de l’écrivain

la plume de l'écrivain

 

MA PLUME

c’est ma plume,

c’est elle qui ouvre mon âme à de belles envolées,

c’est elle qui ouvre mon esprit à n’écrire que la vie

C’est ma plume,

Celle que j’ai,

Cette plume qui m’anime et me déchire

Que j’ai parfois du mal à comprendre,

C’est ma plume,

Sans le vouloir, sans y prendre garde

J’ai délaissé ma plume,

Je l’ai blessée

J’ai ôté toute vie de son corps

Je n’ai pas su lui accorder une place de choix dans ma vie

Et mes nuits sont bien vides

Ces nuit où l’âme pensante, je déliais mes vers sur une feuille toute vierge,

Innocente de tous ces attraits que le charme même lui conférait

Des mots qui sans l’ombre d’un doute reflétaient l’illustre poésie que mon cœur lui dédiait

Ma plume se devait d’exister,

Je me devais de la parfaire !

Lui conférer une place de choix,

Lui donner une raison d’être

Ce n’était pas seulement qu’une simple plume,

Qu’une simple chose, un haillon

C’était avant tout une substance rare,

Une drogue qui vous envahit et qui vous fait exister

C’était de celles là qui conféra aux poèmes de Victor Hugo ou Baudelaire son caractère unique

Son caractère existentiel

Des vers par millier, j’aurais écrit,

Des poèmes, à chaque minute, se serait formé

De toute cette poésie, serait née une vraie romance,

Car seule ma plume savait aimer !

Sur les routes du savoir et de l’écrit,

Sur les voies qui mènent à des cieux indélébiles,

Elles marque les cœurs de son attrait habile,

Ma plume,

Celle qui n’a besoin de rien pour vivre,

C’est ma plume,

Qui subsiste, qui s’adapte

Et aujourd’hui encore, elle sait nous charmer,

Celle qui n’a nul besoin d’aller à l’école de l’écrit

Car de ses mains ce cache un vrai savoir-faire,

Que seule une âme bien née pourrait parfaire !

Lucie akouvi Tetey, ma plume

 

 


et si je vous parlais d’amour acte2

 

et si je vous parlais d’amour

« J’ai toujours voulu trouver une définition à toute chose, même à l’amour ; j’en ai aimé, et j’en ai blessé, j’ai aussi aimé ceux qui m’ont blessé, mais aujourd’hui je crois savoir que je n’en aime qu’un : je peux enfin le dire, j’ai découvert le sens du je t’aime » Lucie Akouvi TT

Je pus réaliser au cours de ma vie que l’amour était ce qu’il y avait de plus merveilleux dans sa complexité à nous faire douter même quand tout semble se diriger vers le bonheur. Dans ma conception de vie, je crus pouvoir affirmer sans l’ombre d’un doute qu’aimer pouvait se définir, mais avais-je oublié que le sens d’aimer était de définir.

L’amour était ce que les yeux définissaient dans le style de l’autre, ce que la bouche définissait dans les baisers de l’autre, ce que le corps ne cessait de définir dans son contact réciproque avec celui de l’autre.

L’amour était alors par définition ce qui définissait l’autre, la recherche du soi dans l’être aimé, un apport quantitatif qui viendrait boucher toutes imperfections qu’on remarqua soit dit en passant en soi.

Je compris alors que vouloir trouver une définition complète à l’amour serait réaliser l’impossible, car l’amour en tant que mythe , est quelque chose de possible mais d’imperceptible.

L’amour est ce don que chacun possède, et qui peut lui échapper au fur et à mesure qu’il grandit. C’est la possibilité de se révéler aux autres tel qu’on est, en mettant à nu nos imperfections et en nous faisant accepter.

L’amour c’est l’attraction qui nous attire vers l’autre sans vraiment savoir pourquoi ; c’est cette sensation inexplicable, qui vous retient dans votre élan, et qui à cette capacité de vous pousser à faire l’impossible.

L’amour, c’est ce sentiment d’imperfection qui vous ramène à votre état d’être imparfait ; c’est cette perfection qui vous rappelle que rien n’est vraiment présent, que tout est continuel, et que tout est éphémère. C’est ce sentiment qui vous fait détester en l’autre vos propres imperfections, qui vous fait être le prédateur de l’être tant aimé. Il est ce monstre que chacun abhorre en lui, et qui le rend insensible à toutes les sensibilités du monde.

L’amour c’est cette blessure qui ne cicatrise pas, qui vous laisse du dégoût et qui à cette faculté de s’effacer dans la projection vers un autre être aimé. C’est ce rire qui vous rend pâle, ce visage qui vous fait rougir ; c’est ce sentiment d’application, d’attention, de soin, d’attachement qui vous faire réaliser la grande erreur de solitude.

L’amour, est cette erreur qu’on commet lorsqu’on s’offre au premier venu, c’est ce sentiment de regret de n’avoir pas pu le retenir cette nuit là. C’est cette sensation incontrôlable qui surgit de nulle part et qui fait de vous des aveugles intellectuels.

C’est cette sensation au cœur, cette pression qui vous anime, ces battements qui vous font perdre la tête, cette envie de rien et de tout, d’amertume et de vie, de tendresse et de rejet ; de douleur et de bonheur.

L’amour c’est ce silence qui vous parle, quand tout s’éteint ; c’est cette sensation d’impuissance, de petitesse qui vous anime devant tant d’animosité.

L’amour, c’est ce contact charnel, cette connexion connective, déconnectée de toute réalité terrestre, de toute perception naturelle, qui subsiste le soir des noces, à l’heure des rendez-vous incontrôlables,

A l’heure des gémissements sourds, il est cette clameur qui retentit dans la nuit. Il est un lien éternel, une caresse vivante. Il est ce frémissement semblable à celui de la feuille ; il est ce doute certain né d’une certitude incertaine. l’amour c’est de posséder ce petit rien et d’en faire quelque chose de grand.

Il est le poids de la vie même, l’essence même du mariage ; il est la proximité qui fait exister un couple, il est ce lien qui engendre le fruit tant attendu.

L’amour est ce don que Dieu met en nous et qui évolue selon ce que nous vivons dans la vie.

Vouloir trouver une définition à l’amour, signifierait que l’homme même ne soit pas à mesure de révéler sa propre nature. Car la première définition de l’amour, c’est l’homme et c’est ce qui fait la grandeur de l’amour.

La plus grande valeur de l’amour, c’est d’être plus petit que tout ; car l’amour est ce que notre esprit conçoit, mais qui se révèle dans chaque définition de l’autre. Aimer, c’est être homme…

Lucie Akouvi Tetey, Et si je vous parlais d’amour, acte ii

11/02/16

 

 


Carpe Diem

Carpe diem (quam minimum credula postero) « Cueille le jour présent sans te soucier du lendemain »,DAS LEBEN IST SEHR KURZ. DAS LEBEN IST UNSER. CARPEDIEM!

Profiter de l’instant présent, et laisser à demain le soin de  se construire.

« Carpe diem », n’est pas seulement une expression, mais comme le diraient les Allemands, « Carpe diem ist meine Heimat ». C’est un état d’esprit qui nous oblige à prendre la vie du bon côté. J’ai choisi cette expression, avant tout pour montrer que les mots ont un sens particulier, ils sont révélateurs d’une certaine trame, ils nous communiquent le bon sens. Mais je l’ai aussi choisie car le bonheur est, en soi, une valeur que chacun entretien au cours de sa vie, une valeur qui semble éteinte quand surviennent les problèmes, mais qui s’agite telle une vague, quand la tempête a fait son chemin.

« Carpe diem » ! Cette parole s’adresse à toi, à moi, à nous, une parole de vie, d’amour, et de compréhension. « Etwas zu recherchieren, und Etwas zu geben » : apprécier le bonheur, tel qu’il nous vient, et profiter du mieux de ce qu’on a. Croire en ses chances , en ses capacités, et pouvoir crier, haut et fort, qu’on se sent soi.

« Carpe diem », c’est aussi dire non, à tous ce qui nous accablent, aux blessures d’un soir, à la détresse, au stress, à toute cette clameur d’incertitude qui rend notre quotidien monotone. C’est se dire que c’est possible, de se réaliser, une fois pour toute, être à même de voir le monde tel qu’il est et d’accepter sa différence.

Trop de conceptions nous ensevelissent dans des pensées faite de négation. Qui est à même de résister ? Je dis « Carpe diem », à tous ceux qui semblent accablés par le désespoir, par l’incertitude, par les vices et qui pensent à tout laisser tomber, pour demeurer dans les meurtrissures de la vie.

« Carpe diem » pour toutes ces fois où vous avez douté de vos compétences. La vie vaut la peine d’être vécue. Un seul souffle peut l’éteindre, alors profitons-en pour ne pas nourrir des regrets à 40 ans !

                                                                   CARPE DIEM !


NOËL, fête de tous!

    Dans l’esprit de Noël                         

Lorsqu’on foule de plein pieds ce beau de Décembre, tout en moi s’anime, telles des lumières qui ne s’éteignent jamais. Lorsque mes yeux s’ouvrirent en ce premier décembre, je dis waouh !!!!!!!!!!! Encore un mois de bonheur, un mois que nul ne pourrait corrompre par ses impressions malsaines, que personne ne saurait contester, car décembre est avant tout le mois de ma naissance ! Et ça, c’est mémorable.

Ce que j’aime par-dessus tout dans ce mois, c’est cette communion qui existe entre chaque jour, chaque jour étant lié, de façon exceptionnel, conférant à ce mois son caractère Sacré. Ce que j’aime dans ce mois, c’est Noël !

Noël est la fête de tout le monde. Même les moins croyants y trouvent leur compte, et les plus croyants, la satisfaction de leurs désirs. Noël réunie des familles entières ; il infuse, inculque à tous les enfants l’amour, la paix, et surtout, le sens partage. 

Noël nous permet de rester en parfaite harmonie avec Dieu, et de vivre en parfaite harmonie avec les autres. Il nous entrouvre à être à l’image du Père, et nous prépare à entrer dans une nouvelle année faite de joie et d’allégresse. Ce qu’il y a de perceptible ce jour de Noël, c’est de voir la joie, la joie sur le visage de s petits enfants, une joie qui vient de Dieu, et que personne ne saurait négliger.

NOËL nous invite ainsi à être Amour, Vie, et Bonheur ; il nous montre le chemin qu’il faut suivre pour ne pas se perdre. Être dans l’esprit de Noël, c’est être encré dans les valeurs humaines, c’est vouloir faire du bien, c’est vouloir être toujours heureux, et ne jamais arrêté de procurer de la joie à ceux qui n’en ont pas.

NOËL est la fête de tous, des riches, pauvres, grands ou petits. C’est la fête de ceux qui perdent le goût de la vie, qui oublient ceux que c’est que l’amour, ce pourquoi ils vivent, et ce pourquoi il est important d’être entouré de leurs proches et de sentir que l’amour qu’ils nous donnent est le plus beau.

NOËL ouvre le champ des possibilités, NOËL permet de redécouvrir le bonheur d’avoir une famille, la chaleur que le conjoint peut nous procurer, l’envie d’être toujours là pour ces enfants.

NOËL, c’est avant tout être avec ceux qu’on aime, et partager un moment magique dans l’esprit d’amour, de joie, de vie, autour d’un dîner, d’un chocolat chaud, autour d’un beau sapin, et avec tout l’amour que nos proches peuvent nous procurer !

J’aime Noël, j’aime être en famille, j’aime cette joie que je ressens, indescriptible, qui crible mon cœur d’amours indélébiles. Je ne rêve pas mieux, je n’en demande pas mieux ; NOËL m’apporte tout l’amour dont j’ai besoin, autour d’une belle famille que j’aime !

Souriez, soyez heureux, le bonheur ne s’attend point, il se vit !

Le bonheur que cette fête nous procure, ne laissez aucun désespoir l’éteindre en vous !

le bonheur n’attend que vous:!!!!!IMG_20151225_235554

 

  JOYEUX NOËL