Moussa Djidingar

Zenab Orty, l’écrivaine tchadienne et son tout premier roman

Je publie et dédie cet article à cette jolie jeune dame, l’écrivaine Zenab Orty. Elle a publié son tout premier roman titré « Hourrya : un rêve brisé »

Qui est Zeinab Orty ?

De son vrais nom Zenaba Idriss Tidjani Dinguest, née à Ndjaména; la jeune dame de 27 ans a fait une partie de ses parcours scolaires au Cameroun à Garoua avant de s’envoler au lycée Thilam-Thilam de Ndjaména au Tchad.
En ce moment précis, la jeunes dame est étudiante en sociologie du développement à HEC-Tchad (Haute Étude Économique Comptable et Commerciale du Tchad), après l’Institut Supérieur de Commerce, des Affaires  et de Manageman.
Cette jeune dame au yeux lumineux, assortit d’une beauté naturelle n’est pas seulement admirable à l’extérieur, mais aussi brillante a l’intérieur. Hormis son engagement dans l’écriture, elle est consultante humanitaire sur le terrain. Humanitaire, elle travail sur un projet des enfants de la rue.

Mes impressions

Cette grande dame nous surprend de plus en plus et de jour en jour. D’une part avec ses différentes missions humanitaires et d’autre part avec son engagement dans l’écriture qui nous a surpris avec son livre « HOURRYA : Un rêve brisé ». Le roman parle d’un amour contrarié, la problématique de la femme dans une société profondément misogyne.

Orty Zenab tu nous a montré  et prouvé aux yeux de tous, singulièrement de ces policards qui manque des volontés politiques et de ces hommes ignorants de la réalité du pays et ne connaissent leurs poches que le pays, que la jeunesse actuelle tchadienne n’a pas seulement du tonus, de compétences et des expériences diverses, mais aussi, animée d’une volonté incommensurable pour le développement de leur pays, notre pays le Tchad. Tu fais partie de cette jeunesse consciente qui vivifie l’abnégation des autres jeunes à se donner à eux-mêmes pour construire notre beau pays le Tchad. Être jeune, c’est aussi avoir des grandes initiatives pour le développement du pays.

Un extrait de Hourya, la fille.

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Le roman de Zenab Dinguest, Hourrya : un rêve brisé

Hourrya, une jeune fille née dans une fratrie des trois enfants n’a qu’une seule envie : réussir à l’école. C’est sur le chemin de la bibliothèque, un jour que son destin va croiser celui de Salim  Hassan dont elle fait la connaissance. Leur lien se consolide si bien qu’ils resteront soudé malgré la distance, car Salim étudie le droit à l’étranger et Hourrya la sociologie au pays.
Après la licence, Hourrya trouve un emploi, entre temps son amoureux rentre au pays. Un projet de mariage est conclut, mais il subira très vite une opposition farouche des parents de Hourrya. L’affaire tourne au drame. Les morts s’enchaînent… 


Je t’aime à l’impossible est impossible

Je t’aime à l’impossible

Tu es mon univers, mon amour, mon noyau, ma cible
J’ai ces cru que c’est possible
Mais tu m’a fais savoir qu’aimer jusqu’à l’impossible, c’est impossible

Je t’ai juré sur la blible
Mon je t’aime jusqu’a limpossible
Mais avec des balles traitres, tu me crible

Au delà de tout
Je t’ai priorisé, je t’ai aimé
Mais avec un autre tu m’a secondé
Tu m’a changé

Comme un vacarme
De mes yeux si durs, j’ai laissé tomber mes larmes

Mon coeur est brisé, détruit
Mon coeur est rongé, cuit
Mon beau sourir, tu l’a fais souffrir
Notre avenir, tu commence à détruire

C’est difficile, dur de prendre une décision finale à notre relation
Car un amour impossible ne rime pas avec trahison

Je ne vais jamais t’oublier, tu es lié à mes pensées
Bon vent, je t’aime mon bébé


Tchad : La marche pacifique du 25 janvier 2018

Ce 25 janvier 2018, la population tchadienne, particulièrement celle qui vivent dans la capitale ont exprimé leur ras-le-bol envers le gouvernement avec une marche pacifique organisé par la société civile et la CTDDH (Convention Tchadienne pour la Défense des Droits de l’Homme au Tchad). Comme d’habitude, la marche pacifique a été interdite par le gouvernement tchadien, énième fois. Certaines organisation de la société civile, organisatrices de la marche ont abandonné la marche après une rencontre avec les autorités tchadienne. Mais la CTDDH (Convention Tchadienne pour la Défense des Droits de l’Homme) au Tchad et le Collectif tchadien contre la vie chère (CTCV), le mouvement IYINA et la plateforme regroupant trois grands syndicats (UST, CIST et SYNECS) ont maintenu la marche ce 25 janvier.

En tête de la marche, un homme à la quarantaine, Mahamat Nour Ibedou, celui qui a claqué la porte lors du rencontre (qui a pour but d’annuler la marche) entre les autorités tchadienne,  gagne la confiance de la population tchadienne, particulièrement celle de la pour sa lutte et sa loyauté envers ses engagements.

Ibangolo Abel Maina, activiste, le fait de lui l’homme de semaine.

Ibedou, l’homme de la semaine

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Il est facile de monter dans l’estime des hommes et des femmes du Tchad sur la base d’un rien. Il suffit de se positionner au bon moment, prenant parti des opprimés et surtout en disant NON aux oppresseurs.

Par une simple publication sur son profil Facebook (même pas un communiqué radio) hier soir après la rencontre avec le ministre de l’intérieur et les responsables de la sécurité publique au Tchad, Mahamat Nour Ibedou est devenu la personnalité publique Tchadienne la plus suivie et en même temps, le leader dont la jeunesse Tchadienne et le peuple Tchadien a désormais le regard tourné vers lui pour prendre la tête de ce qui pourrait faire reculer le dictateur et sanguinaire Idriss Deby Itno.

Mahamat Nour Ibedou, la cinquantaine avec des cheveux parsemés de poivres est un homme de conviction et surtout un combattant pour la défense des droits humains au Tchad depuis quelques années.

Inconnu du public Tchadien jusqu’en 2014, Mahamat Nour Ibedou s’est fait remarquer avec son organisation dénommé Convention Tchadienne pour la Défense des Droits de l’Homme au Tchad (CTDDH) avec laquelle il est actif sur toutes les questions de droits humains et surtout sa collaboration dans la création de tous les mouvements citoyens depuis Novembre 2014.

Fonctionnaire de l’Etat, travaillant au ministère de l’économie et des Finances, Mahamat Nour Ahmed Ibedou père de famille n’hésite pas à se mettre au premier rang durant les manifestations en leader exemplaire. Sa prise de position et son héroïsme lui ont valu d’être emprisonné plusieurs mois avec d’autres camarades en 2016.

Malgré sa santé très fragile, Ibedou reste un guerrier incontestable comme ses ancêtres du Tchad qui partir en 1940 accompagnés le Général Leclerc à la tête de la 3ème division blindées pour libérer la France et surtout comme l’ont été dans toutes les révolutions et les combats historiques au Tchad.

Combien de leaders se lèveront dans la matinée du 25 janvier pour entourer Mahamat Nour Ahmed Ibedou durant la marche pacifique prévue pour le 25 janvier?

En tout cas, bravo à cet héros qui a refusé de signer l’accord imposé par le ministre de l’intérieur en lui disant que la marche sera maintenue tant que le gouvernement ne retire pas ses mesures anti-sociales.

Comme quoi, il ne faut pas 12 millions de personnes pour être un héros. Il suffit d’être du bon côté de l’histoire et Ibedou a apparemment compris. Écrit

Arrestation et torture lors de la manifestation

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Lors de la marche pacifique, connue par leurs actes de torture et des arrestations illégales, la police n’a pas manqué de lancer des gaz lacrymogènes aux jeunes qui marchent pacifiquement pour exprimer leurs ras-le-bol de la cherté de vie, de la fameuse 16 mesures tonitruantes, du probable coupe des salaires des fonctionnaires et de la hausse du prix de carburant.
Plusieurs manifestants ont été blessé, dont le journaliste Djimet Wiche du site d’information Alwihdainfo a été violemment pris à partie par deux policiers qui lui ont donné une gifle et asséné des coups de poing avant de le trainer par terre sur une distance d’environ 100 mètres.

Selon  Amnesty International, En réaction à la dispersion violente ce matin d’une manifestation pacifique de la société civile dont au moins trois membres sont arrêtés dans la capitale tchadienne N’djamena. Alioune Tine, directeur régional pour l’Afrique occidentale et centrale à Amnesty International a déclaré :
« La dispersion violente de la manifestation pacifique de ce matin, l’arrestation de responsables de la société civile et l’agression contre un journaliste montrent que les autorités tchadiennes ne sont pas prêtes à mettre un terme à la répression et à la censure.». Il ajoute que «Toutes les personnes arrêtées n’auraient jamais dû l’être. Elles n’ont fait qu’exercer leur droit à participer à une manifestation pacifique et non violente et doivent immédiatement être libérées sans conditions»

Nous rappelons à la communauté internationale que les détenus illégalement sont exposés aux tortures et condition des détention médiocre, exécrable. Garba Ahmat Dogo, Abdelbassit Mahamat Ali Acyl et Ahmat Hassaballah de la Convention tchadienne pour la défense des droits humains (CTDDH) sont toujours entre les mains des forces de sécurité. Ils ont marché pacifiquement, en respectant la constitution tchadienne ( voire l’article 27).

Coupure d’Internet, implication et violation flagrante du droit à la liberté d’expression des opérateurs de téléphonie mobile

À l’instar d’autre pays d’Afrique Centrale, la coupure d’Internet est devenu la méthode moderne d’étouffer les regroupement des jeunes, le partage et la diffusion des informations par masse. Cela se fait en connivence avec les opérateurs de téléphonie mobile qui continuent de contribuer à la mort brusque et lente de la démocratie et de la liberté d’expression, aussi et surtout à la déclaration Universelle des droits de l’homme. Vers 4h et 5h du matin, les opérateurs de téléphonie mobile Tigo a envoyé des messages interdisant la marche pacifique.
C’est pourquoi après la marche du 25 janvier 2018, Alioune Tine, directeur régional pour l’Afrique occidentale et centrale à Amnesty a mentionné que «La restriction de l’accès à Internet tout comme l’ordre donné aux opérateurs de téléphonie mobile d’envoyer des messages informant de l’interdiction d’une manifestation pacifique, constituent une violation flagrante du droit à la liberté d’expression qui implique le droit à rechercher et recevoir les informations par quelque moyen que ce soit.»

Témoignage d’un jeune activiste, participant à la marche

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Pour conclure ce billet, je vous laisse lire le message de Aissadji Aimé, jeune activiste qui a participé à la marche pacifique organisé par la société civile et la CTDDH. «Ce 25 janvier 2018, nous avons démontré à ce régime qui ne cesse de nous terroriser, que rien, ni personne ne pourra empêcher le peuple tchadien à exprimer sa colère. Malgré l’interdiction de la marche, nous étions sorti et je salut le courage de ces jeunes de partout et ceux du 9e arrondissement en particulier. Nous avons tous le droit dans ce pays, la constitution nous le dicte. Deby nous interdit le fagot et nous oblige à acheter le gaz qui est vendu par ses parents et courtisans, il veut réduire encore le maigre salaire des fonctionnaires tout en augmentant le prix du carburant.
Nous allons continuer par d’autres actions tant que ce régime ne respectera pas le peuple» martèle le jeune activiste.


Les 4 points clés de la faillite de l’État tchadien dans la baisse de niveau scolaire

Au Tchad, le système éducatif est malade. Il va tellement mal que la baisse de niveau progresse à une vitesse infernale.
L’article 36 de la constitution tchadienne stipule que « l’État et les collectivités territoriales décentralisées créent les conditions et les institutions qui assurent et garantissent l’éducation des enfants.»
Mais assurent-ils et garantissent-ils l’éducation des enfants ?
En réalité, la responsabilité de l’État dans la faillite, sinon la mort lente du système éducatif tchadien, est énorme. Elle se répartit comme suit, en 4 points clés qui expliquent la faillite de l’État tchadien dans la baisse de niveau scolaire.

1-  L’effectif pléthorique

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Le bulletin humanitaire d’OCHA du décembre 2016 nous confirme 216 élèves par instituteur dans le nord du pays (Kanem) , et 159 élèves par instituteur à l’est du pays (Ouaddaï). Un effectif pléthorique qui n’est pas seulement un lourd fardeau pour les instituteurs, mais aussi une cause provocatrice des maladies caniculaires.
Avec un tel effectif exponentiel, la transmission des messages aux élèves reste médiocre.
Malheureusement ces enfants en difficultés passent en classe supérieure, et les suivants passent en classe supérieure…ainsi de suite, jusqu’à la composition du baccalauréat.
Cela est concomitant avec le manque des infrastructures parascolaires (les élèves sont assis au sol) et des instituteurs de qualité.

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Logiquement la ratio de l’effectif d’un pays pauvre dont le taux d’analphabétisation est très élevé doit être 50 à 52 élèves par instituteur. Malheureusement quelque part, les tchadiens deviennent des réfugiés qui subissent les conséquences d’un mauvais système éducatif couronnées par une désastreuse forme de mauvaise gouvernance dans leurs propres pays. Alléluia !

2 – « L’échec » probable du centre de curricula

APC (Approche Par Compétence) elle est une notion qui s’est développée au début des années 1990 et qui vise à construire l’enseignement sur la base de savoir-faire, évalués dans le cadre de la réalisation d’un ensemble de tâches complexes. L’enseignement devient alors apprentissage.
Depuis qu’elle fait partie du système éducatif tchadien, le constat des résultats de cette approche ne cesse d’accroître la baisse de niveau.
Je me demande pourquoi le système hybride est délaissé au profit de APC ?
Pourquoi ne pas contextuer l’hybride cette fois participatif ?
Même si l’apprentissage passent par la gestation accompagnatrice des mots; l’objectif spécifique des cours préparatoires est : l’apprentissage à lire , compter et à écrire

Vision personnelle : les manuels scolaires primaires ne sont pas à la portée des enfants. Car le contenu est quasiment inaccessible à la mémoire infantile. Faut il revenir aux anciens manuels scolaires ? Ou les faire une contextualisation?

3 – Les instituteurs médiocres intégrés avec des faux diplômes

Ils sont nombreux à la fonction publique, mais très peu sur le terrain. Car, si seulement il y’a audit (un vrai audit) de diplôme à la fonction publique, nous découvrirons ceux qui n’ont jamais mis pieds à l’école seront plus nombreux à être intégrer comme des instituteurs, que les vrais instituteurs sortis de l’École Normale des Instituteurs. Il y’aura bien évidemment une longue liste de ceux qui ont leurs noms sur le CEFEN mais n’ont jamais mis pieds à la formation professionnelle des instituteurs. Tandis que ceux qui sont formés ès domaine passent leurs temps à chasser des mouches sous les arbres ou se débrouillent dans les écoles privées.
Quelle piètre gouvernement !
Ce n’est qu’au Tchad qu’on découvre ce genre de tohu-bohu gouvernemental.

l’Inspection générale d’État a commencé à traquer les faux fonctionnaires et les détenteurs des faux diplômes intégrés à la fonction publique. Ainsi après enquête, 460 enseignants sont révoqués de la fonction publique tchadienne pour abandon de poste.
Reste à savoir comment ces faux fonctionnaires ont-ils réussi à être intégré dans la fonction publique tchadienne? Lesquels, les ont-ils aidé à avoir accès ?

Pédagogiquement, Les classes de CP (cours préparatoires) seront absolument, raisonnablement et logiquement enseignées par des doyens chevronnés afin d’apprendre les préalables de lectures et d’écriture (voir l’objectif spécifique ci-dessus). Cependant, l’objectif principal de l’enseignement des cours préparatoires est d’initier les enfants dans la lecture et le calcul.
Malheureusement, c’est les nouveaux instituteurs stagiaires qui occupent la quasi-totalité des classes de CP (cours préparatoires). Par incompétence notoire, certains directeurs d’écoles assignent des tâches par leurs fameuses répartitions à ces nouveaux stagiaires en quête d’expériences dans les classes de CP.
Dans certains villages des provinces le constat est incommensurablement lamentable. Certains maîtres communautaires qui ont abandonné le chemin de l’école en classe de CM2 enseignent les enfants juste pour s’accaparer de la cantine scolaire.
Hélas!

4 – Le manque de suivi évaluation et des matériels didactiques appropriés

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l’État à travers son ministère de l’éducation nationale affament le corps enseignant dans la transmission de savoir par un manque cruel des outils pédagogique adéquats : matériels didactiques.
Bizarrement, les enseignants ont une insuffisance même dans les supports didactiques. Un manquement qui joue dans les préparations des cours bien évidemment.

In fine, l’éducation est le socle du développement d’un pays et aussi un facteur de puissance à travers la formation de qualité à la population. C’est ce qui engendrera l’esprit national. Un peuple formé est un peuple instruit qui connaît ses droits et ses devoirs.
Si l’État fait fi au système éducatif tchadien, bientôt on assistera à un système éducatif néant, dans un État néant. Un pays sans un système éducatif positif, est un pays exposé à la merci de tous les maux (guerre, conflits, malnutrition, insécurité, injustice, corruption, népotisme, incompétence gouvernementale…)


Ses premiers mots

L’amour est un sentiment trop complexe, à la fois trop simple. On se laissera aller, quoi qu’il en soit. Très jeunes, je n’ai que la belle vie devant moi.

Assis au milieu de la classe sur une table banc, j’aperçois une silhouette fine, élégante. C’est comme s’il j’avais un contact sentimental, téléguidé. Elle s’est assise derrière moi, juste derrière moi. Ébahi, je lorgnais doucement, pour ne pas qu’elle remarque. Plus mon regard s’intensifie, plus sa beauté me captive. J’aperçois  son foulard chocolaté, pendue sur ses épaules. C’est là que mon regard s’est trouvé face à un visage d’ange …euh… Humain. Un visage au tient chocolaté, naturel. Elle me regarda avec ses gros yeux blanc. J’avais lu dans ses yeux qu’il y’a quelque qui se développera entre nous.
D’une vois tremblante, je lui disais :
– bienvenue en terminale A4
Elle me sourit en disant :
– Merci.

Je n’écoutais ni les explication du professeur, ni comprenais ce qu’il disait. J’étais obnubilé par la présence de cette nouvelle camarade de classe.
Je veux que le professeur dise qu’on a fini pour aujourd’hui. Je veux que la cloche sonne pour la récréation.
Après quelques minutes, la cloche sonne. Je me sentais libéré, comme un prisonnier qui a duré dans une cellule et qui vient d’être libéré.

Un peu timide, j’ai du mal à entreprendre une discussion avec elle. Je monologuais, j’hésitais, je me battais seul avec mon coeur et ma tête. Je suis bloqué. Tellement qu’elle était belle, j’ai peur de la parlé.

Une main si douce, me toucha et l’interrompa cette lutte interne que je menais.

Elle était debout avec  un physique mannequin, des gros yeux au pupille noire aux alentours blanc, un nez à la Rihanna et un buste d’un garçon manqué.
Elle me disait :
– S’il te plait, puis-je avoir ton cahier de philosophie ?


Classico espagnol, Lionel Messi plus fort que Cristiano Ronaldo

Le football espagnol, est l’un des championnats qui traine des millions de téléspectateurs. Surtout lors du classico. En espagne Le classico est un match intense opposant le réal Madrid et le FC Barcelone. Deux équipes, deux clubs se tiraillant le championnat de football espagnol.

Dans ces deux équipes, il y’a deux footballeurs qui ont raflé le ballon d’or de ces derniers années. Il s’agit de Lionel Messi du Fc Barcelone et Cristiano Ronaldo du Réal de Madrid.
Chacun possède 5 ballons d’or dans leurs répertoires des titres individuels. Les amateurs, les spécialistes et quelques journalistes se sont poser la question à la fin de cette année, qui est le meilleur en duel classico entre les deux géants du football lors du classico du samedi 23 décembre 2017, l’avant jour du veille du Noël.

Cependant, vu les statiques, Lionel Messi du Fc Barcelone devance Critiano Ronaldo, le merengué.

La Pulga ( Lionel Messi)

Lionel Messi appelé aussi la pulga, l’actuel meilleur buteur du championnat espagnol, dont je le nommerai l’homme du match du classico à travers ses performances et ses prestations a été décisif dans le classico.

Messi Coach de lui-même

Dans la première partie du match, Messi était quasiment transparent par la pression du jeu des hommes de Zizou. Il est quasiment étouffé par le marquage collectif merengué. Il a du peine à récupérer le ballon et le conserver malgré ses quelques touches.

Messi marchait et scrutait le jeu merengué.

Une chaussure en moins, pas un souci pour Messi le dribbleur et passeur décisif

Le site europe1 nous rapporte ceci : Quand on a le talent de Messi, un tacle rugueux et la perte d’une chaussure ne suffisent pas à vous freiner. Sur l’action du troisième but barcelonais, samedi à Madrid, l’attaquant argentin est bousculé par Marcelo. Une chaussure au pied gauche, une chaussette pour le droit, Messi a poursuivi son débordement et trouvé Aleix Vidal en retrait. Intouchable.

Messi buteur

Carvajal s’était transformé en portier merengué de quelques instants. Cela lui a coûté un rouge direct. Lionel Messi n’a pas hésité à mettre le ballon dans les filets. Son but sur penalty a devancé Cr7 au course du classement des buteurs en une année civile, dont chacun d’eux possèdent 53 buts. Avec ce but Messi devance Cr7 en un but (54 buts pour Messi). Un bonus de plus pour l’Argentin devant son adversaire potentiel.

Messi et le 5 records

Messi a battu 5 records dans ce classico :
1- Record d’assists dans le Clasico
2- Record de buts dans le Clasico à Bernabéu
3- Record de buts dans les 5 grands championnats
4- Meilleur buteur contre le Real
5- Seul joueur à avoir marqué plus de 15 buts 10 saisons de suite en Liga

Après son but sur penalty, Messi souhaite un joyeux Noël au public merengué avec un geste de peace and love.


J’écris

J’écris, parce que j’aime écrire
J’écris ce qui me fais rire
J’écris ce qui me fais réfléchir

À travers l’écriture, je m’exprime
Les émotions qui me dépriment
J’aime aligner des mots en rime
Même si parfois les rimer me trime

J’écris,
Parce que l’écriture me fais vivre
Comme lire une lettre ou un livre
De ma solitude, elle me délivre

J’écris parce que l’écriture aide à grandir
Réfléchir
Et à sourire.

J’écris, pour échanger
S’échanger
Se changer
Et faire faire changer


J’écris

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J’écris,

J’écris, parce que j’aime écrire
J’écris ce qui me fais rire
J’écris ce qui me fais réfléchir

À travers l’écriture, je m’exprime
Les émotions qui me dépriment
J’aime aligner des mots en rime
Même si parfois les rimer me trime

J’écris,
Parce que l’écriture me fais vivre
Comme lire une lettre ou un livre
De ma solitude, elle me délivre

J’écris parce que l’écriture aide à grandir
Réfléchir
Et à sourire.

J’écris, pour échanger
S’échanger
Se changer
Et faire faire changer


Après une trahison, mon choix impératif entre vengeance et pardon

Pardonner est un acte de bienveillance, mais accepter ses tors est un acte de bravoure. On peut pardonner, sans toutefois oublier les faits douloureux. C’est ce que j’appelle ça de la vengeance, mais une vengeance malnutris. Riposter le mal par le mal est la meilleure des solutions pour les traîtres. Mais nourrir une vengeance malnutris, est la solution efficace pour neutraliser une douleur latente.

Un homme blessé, est plus bête qu’un animal. Car une blessure temporaire nourrit par des machinations scélératesse est un instinct scabreux, invincible face au pardon. Une sorte de bombe atomique sentimentale, humaine, dévastatrice plus qu’un vengeance obèse.
«Le mal revient toujours à celui qui le fait, tôt ou tard» dixitait un proverbe. Anticiper ce proverbe par le vengeance n’est pas aussi une option à exclure.

Les lecteurs trouverons du mal à comprendre ce texte, sauf celui qui a été trahit une fois, deux fois, trois fois.
Et ceux qui sont en alternative entre répondre une trahison par le pardon ou par la vengeance.
La trahison est une action, un geste qui ne viendra jamais de loin, elle ne vient que de vos proches. Sinon, on appellera ça règlement de compte, mais guerre une trahison.

J’ai besoin du temps, trop du temps pour effacer une trahison, la répondre par un pardon. Seulement que j’ai besoin d’une arme, une puissante arme ravageuse. Une arme du genre la bombe atomique, nucléaire. Elle n’est rien d’autre que la vengeance. Sachez qu’il y’a une vengeance malnutris et une vengeance obèse. Pour écraser ce mal, cette peste maladive, il n’y a que la vengeance obèse qui curera cette plaie immonde.


Les 4 points clés de la faillite de l’État tchadien dans la baisse de niveau

Au Tchad, le système éducatif est malade. Il va mal, jusqu’à ce que la baisse de niveau continue à progresser à une vitesse infernale.

L’article 36 de la constitution tchadienne stipule que « l’État et les collectivités territoriales décentralisées crées les conditions et les institutions qui assurent et garantissent l’éducation des enfants.»
Assurent et garantissent ils l’éducation des enfants ?
La responsabilité de l’État dans la faillite, sinon la mort lente du système éducatif tchadien sont énormes et répartis comme suit : les 4 points clés de la faillite de l’État tchadien dans la baisse de niveau.

1-  l’effectif pléthorique

Le bulletin humanitaire d’OCHA du décembre 2016 nous confirme 216 élèves par instituteur dans le nord du pays (Kanem) , et 159 élèves par instituteur à l’est du pays (Ouaddaï). Un effectif pléthorique qui n’est pas seulement un lourd fardeau pour les instituteurs, mais aussi une cause provocatrice des maladies caniculaires.
Avec un tel effectif exponentiel, la transmission des messages aux élèves reste médiocre.
Malheureusement ces enfants en difficultés passent en classe supérieure, et les suivants passent en classe supérieure…ainsi de suite, jusqu’à la composition du baccalauréat.
Cela est concomitant avec le manque des infrastructures parascolaires (les élèves sont assis au sol) et des instituteurs de qualité.
Logiquement la ratio de l’effectif d’un pays pauvre dont le taux d’analphabétisation est très élevé doit être 50 à 52 élèves par instituteur. Malheureusement quelque part, les tchadiens deviennent des réfugiés qui subissent les conséquences d’un mauvais système éducatif couronnées par une désastreuse forme de mauvaise dans leurs propres pays. Alléluia !

2 – « l’échec » probable du centre de curricula

APC (Approche Par Compétence) elle est une notion qui s’est développée au début des années 1990 et qui vise à construire l’enseignement sur la base de savoir-faire, évalués dans le cadre de la réalisation d’un ensemble de tâches complexes. L’enseignement devient alors apprentissage.
Depuis qu’elle fait partie du système éducatif tchadien, le constat des résultats de cette approche ne cesse d’accroître la baisse de niveau.
Je me demande pourquoi le système hybride est délaissé au profit de APC ?
Pourquoi ne pas contextuer l’hybride cette fois participatif ?
Même si l’apprentissage passent par la gestation accompagnatrice des mots; l’objectif spécifique des cours préparatoires est : l’apprentissage à lire , compter et à écrire

Vison personnelle : les manuels scolaires primaires ne sont pas à la portée des enfants. Car le contenu est quasiment inaccessible à la mémoire infantile. Faut il revenir aux anciens manuels scolaires ? Ou les faire une contextualisation?

3 – Les instituteurs médiocres intégrés avec des faux diplômes

Ils sont nombreux à la fonction publique, mais très peu sur le terrain. Car, si seulement il y’a audit (un vrai audit) de diplôme à la fonction publique, nous découvrirons ceux qui n’ont jamais mis pied à l’école seront plus nombreux à être intégrer comme des instituteurs, que les vrais instituteurs sortis de l’École Normale des Instituteurs. Il y’aura bien évidemment une longue liste de ceux qui ont leurs noms sur le CEFEN mais n’ont jamais mis pieds à la formation professionnelle des instituteurs. Tandis que ceux qui sont formés ès domaine passent leurs temps à chasser des mouches sous les arbres ou se débrouillent dans les écoles privées.
Quelle piètre gouvernement !
Ce n’est qu’au Tchad qu’on découvre ce genre de tohu-bohu gouvernemental.

l’Inspection générale d’État a commencé à traquer les faux fonctionnaires et les détenteurs des faux diplômes intégrés à la fonction publique. Ainsi après enquête, 460 enseignants sont révoqués de la fonction publique tchadienne pour abandon de poste.
Reste à savoir comment ces faux fonctionnaires ont-ils réussit à être intégré dans la fonction publique tchadienne? Lesquels les ont-ils aidé à avoir accès ?

Pédagogiquement, Les classes de CP (cours préparatoires) seront absolument, raisonnablement et logiquement enseignées par des doyens chevronnés afin d’apprendre les préalables de lectures et d’écriture (voir l’objectif spécifique ci-dessus). Cependant, l’objectif principal de l’enseignement des cours préparatoires est d’initier les enfants dans la lecture et le calcul.
Malheureusement, c’est les nouveaux instituteurs stagiaires qui occupent la quasi-totalité des classes de CP(cours préparatoires). Par incompétence notoire, certains directeurs d’écoles assignent des tâches par leurs fameuses répartition à ces nouveaux stagiaires en quête d’expériences dans les classes de CP.

Dans certains villages des provinces le constat est incommensurablement lamentable. Certains maîtres communautaires qui ont abandonné le chemin de l’école en classe de CM2 enseignent les enfants juste pour s’accaparer de la cantine scolaire.
Hélas!

4 – le manque de suivi évaluation et des matériels didactiques appropriés

l’État à travers son ministère de l’éducation nationale affament le corps enseignant dans la transmission de savoir par un manque cruel des outils pédagogique adéquats : matériels didactiques.
Bizarrement, les enseignants ont une insuffisance même dans les supports didactiques. Un manquement qui joue dans les préparations des cours bien évidemment.
In fine, l’éducation est le socle du développement d’un pays et aussi un facteur de puissance à travers la formation de qualité à la population. C’est ce qui engendrera l’esprit national. Un peuple formé est un peuple instruit qui connaît ses droits et ses devoirs.
Si l’État fait fi au système éducatif tchadien, bientôt on assistera à un système éducatif néant, dans un État néant. Un pays sans un système éducatif positif, est un pays exposé à la merci de tous les maux (guerre, conflits, malnutrition, insécurité, injustice, corruption, népotisme, incompétence gouvernementale…).


Le terrorisme n’est pas l’Islam (slam poésie)

Le terrorisme n’est pas l’Islam.
L’islam, c’est le salam.
Si tu me vois faire du slam,
C’est aussi slamer le salam de l’Islam.

Les tueries et les massacres de  Boko haram,
ces terroristes qui font porter des explosifs aux jeunes femmes,
n’est pas l’Islam.
Ces assoiffés du sang humain, amalgament Islam et drame.
Le terrorisme n’est pas l’islam.
L’islam, c’est le salam.
Si tu me vois faire du slam,
C’est aussi slamer le salam de l’islam

Ces suicides imposées aux femmes,
avec des ceintures explosifs n’est pas l’Islam.
Laisser un peuple à la merci de la famine, n’est pas l’Islam.
Tuer des innocents n’est pas l’Islam.
La violence armée, n’est pas l’Islam.
Le mépris, la haine et le rancœur ne sont pas Islam.
Le terrorisme n’est pas l’Islam
L’Islam c’est le Salam.
Et si Tu me vois faire du slam,
c’est aussi slamer le salam de l’islam.

Tuer des innocents est haram.
L’injustice est  haram.
Détourner le fond public est haram.
La corruption est haram.
Financer les assassins de l’humanité est haram.
Le Prophète Mouhammad (SAW) n’a jamais autorisé le haram,
Il a mainte fois enseigné le halal et le salam.
Du Abubakr à Oumar et du Ali à Ousman,
aucuns de ses compagnons avaient permis l’infâme.
Le terrorisme n’est pas l’islam
L’Islam c’est le salam.
Si tu me vois faire du slam,
C’est aussi slamer le salam de l’islam.

Le pardon, la tolérance et l’amour, c’est ça l’Islam.
Aime pour ton prochain,
ce que tu aimera toi-même, c’est ça l’Islam.
L’harmonie, l’entente et la concorde, c’est ça l’Islam.
Que ces pirs-vam sachent qu’il est impossible de dissocier salam et Islam.
Le salam, c’est l’Islam-même,
L’Islam, c’est le salam-même.
Que ceux qui acclament,
arrêtent de fournir des armes
à ces quidams pirs-vam
qui réclament impitoyablement ces drames.
Ils trament avec leurs politiques infâmes.
Ils ont transformé l’humanité à une ruelle mélodrame.
D’où vit une communauté orpheline
Sous des balles,
des pleures et des larmes.
Des enfants en sanglots dans des vacarmes.
Des mères et enfants, la rudesse et la souffrance les rétament,
la pauvreté les  affament,
Et… Et… Ils finissent par se-clam.
NON, le terrorisme n’est pas l’islam.
L’Islam c’est le salam.
Si tu me vois faire du slam,
C’est aussi slamer le salam de l’islam.

Y’a Allah, apporte leurs une lueur d’espoir et de flamme.
Car c’est toi qui donne et retire l’âme.


Offre d’emploi : collaborateur du Conseil présidentiel africain (en gifs)

Emmanuel Macron, le plus jeune président français, a créé un Conseil Présidentiel Africain (CPA) composé de 14 membres. Les deux premiers objectifs sont de conseiller le président Macron avant ses visites dans les pays africains et dans sa politique générale. Ce CPA ne serait-il pas une nouvelle forme de la Françafrique ?

À mon avis, il s’agit juste d’un autre stratagème politique pour que les chefs d’État africains, atteints par la boulimie du pouvoir politique, demeurent au pouvoir. Omar Bongo, le chantre de la Françafrique et ex président gabonais, est mort. À travers ce Conseil Présidentiel Africain, je pense que Macron songe à remplacer Omar Bongo par un grand despote qui aura un intérêt françafricain. Mais qui remplacera Omar Bongo ?

Voici donc l’avis de recherche pour le poste d’un représentant de la Françafrique slash collaborateur du Conseil présidentiel africain.

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Objectifs du poste

  • Valoriser l’intérêt de la France en Afrique
  • Maintenir la politique des chefs d’État africains

Profil recherché

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  • Un président docile, qui a su développer ses capacités intellectuelles en trahison et en patriotisme occidental
  • Un président qui gouverne son pays d’une main de fer
  • Un président dont le sous-sol du pays est extrêmement riche et reste encore inexploitable à 80%

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    • Un président qui maintient son peuple dans la pauvreté, sans électricité et sans eau potable, dont l’administration est gangrenée par la corruption

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  • Un président qui fait fi de la Déclaration universelle des droits de l’homme, mettant opposants et journalistes en prison
  • Un président qui apprécie le Franc CFA et songe à l’étendre à d’autres pays
  • Un président qui expulse les têtus qui luttent contre le franc CFA, la mauvaise gouvernance et le droit de l’homme

Qualités requises

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  • La loyauté et la soumission à la politique économique française dans les affaires africaines seront exigés.

Expériences requises

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  • Avoir à son actif au minimum 10 à 15 voyages à l’Élysée et donner des cautions (argent en liquide) à ceux qui obstruent votre politique (mutinerie réclamant de l’argent)
  • Être apte à acheter la conscience de votre citoyen, des partis politiques opposants, des activistes, des leaders de la société civile et des défenseurs des droits de l’homme

«Garantie »

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Le CPA soutiendra votre régime (quoi qu’il en soit), jusqu’à ce que l’un de vos fils soit candidat à l’élection présidentielle de votre propre pays

Prise de poste sans délai. Si vous correspondez au profil, contactez-nous vite !

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Les trois types de l’opposition politique tchadienne

l’Afrique Centrale, cette partie où l’alternance politique est quasiment inexistante se heurte aux opposants multi facettes. C’est aussi le cas du Tchad. L’opposition tchadienne est composée de trois types : les traîtres au boulimie pécuniaire, les bénis-oui-oui et les apparences « loyales« . Qui sont les traitres au boulimie pécuniaire ? Ce sont des opposants corrompus par le pouvoir en place. Selon mon analyse Ils sont payés à collecter des informations et…


Le mini-sommet sur la crise migratoire à Paris, une scène ingrate ?

La crise migratoire afflue de plus en plus l’Europe. La plus grande majorité de ces migrants sont des africains.
Pour en juguler cette crise migratoire, Emmanuel Macron le président français a invité ses amis européens et ses alliés africains pour un mini-sommet sur la crise migratoire à Paris.

Emmanuel Macron voit tout sauf ça ?

Emmanuel Macron invite ces alliés qui sont la cause principale de la crise migratoire pour soit disant juguler la crise migratoire.
Mon œil !

Savez-vous vous quoi?

Je dirais simplement que Macron voit tout, sauf ça :
Ces alliés qui ne sont non seulement ceux qui sont venus assister au mini-sommet sur la cris migratoire à Paris, mais aussi ces présidents africains qui continuent de s’éterniser au pouvoir.

Car, lorsque ses alliés africains traquent les manifestants qui réclament juste leurs droits, il ne dis rien.
Lorsque ses alliés s’éternisent au pouvoir par des élections contestées, il garde le silence.
Lorsque ses alliés emprisonnent les journalistes, les activistes, les leaders de la société civil, les opposants politiques, bafouent les principes universelles des droits de l’homme et interdissent les manifestations pacifiques, il reste bouche bée.
Lorsque ses alliés rendent la vie dure aux paisibles citoyens africains et que les citoyens par peur de mourir de faim ou de périr dans les prisons, rejoignent l’Eldorado pour une vie mieux que la prison, c’est là où Macron commence à inviter ces alliés africains qui sont la cause du flux migratoire africaine pour juguler cette crise migratoire.
Quelle comédie au scène absurde!

Ce sont les premières causes du flux migratoire. Aussi et surtout :
– le désespoir de la jeunesse africaine,
– le chômage chronique des jeunes africains,
– le détournement du denier public par les dirigeants africains par une minorité présidentielle au détriment du développement de leurs pays et de leurs peuple,
– la violation grave des droits de l’homme et des constitutions africaines,
– la violation des principes Principes Universelles des droits de l’homme,
– la démocratie et la liberté d’expression  quasi-inexistantes

L’Afrique n’est pas pauvre, c’est ses Chefs d’États qui le rendent pauvre.

Eh bien, je lui propose une solution plus simple que les blablas de Plan Marshall ou plan Macron, financer l’Afrique par l’Union européenne ou que sais je encore.

« Ma solution »

« Le problème, c’est la pauvreté« , avait admis Federica Mogherini, la cheffe de la diplomatie européenne lors du mini-sommet sur la crise migratoire à Paris. Eh bien je confirme évidemment qu’elle a parfaitement raison.

La solution est que Macron arrête de maintenir ces vieux despotes au pouvoir et de militer pour une alternance paisible à la jeunesse africaine.

Que Macron écoute au moins l’écho de ces enfants mourants de la malnutrition causé par la mauvaise gouvernance.

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Que Macron se penche pour une fois à ces peuples privés de l’eau potable, de l’électricité et qui vivent sous une extrême pauvreté causée par le détournement des fonds publics par ces dirigeants africains, ses « alliés ».

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Que Macron se réveil au milieu de la nuit pour penser au moins à ceux qui vivent dans des prisons africaines, simplement parce qu’ils ont dit non à la dictature.

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Sinon que Macron arrête d’inviter ces despotes qui dépensent de plus en plus l’argent du peuple à chaque vol d’avion.

Emmanuel Macron avait dit, «Je défendrai le respect des principes démocratiques fondamentaux partout en Afrique. Je tiens à agir dans la transparence, loin des réseaux de connivence franco-africains et des influences affairistes encore trop présentes
Alors,

monsieur le plus jeune Président Français, vous avez maintenant la lourde responsabilité de trahir ou d’accomplir vos propos.


Les 6 méthodes coriaces appliquées par les présidents africains pour s’éterniser au pouvoir

En Afrique, surtout centrale les présidents ne veulent pas laisser le fauteuil présidentiel aux autres. L’alternance est quasi-absente.
Certains sont appuyer par les grandes puissances, d’autre par leurs armées personnalisées.
Alors comment ces assoiffés du pouvoir résistent et s’éternisent au pouvoir?
Avec ma vison personnelle, je montrerai dans le long de ce billet les 6 méthodes coriaces des Présidents africains à s’éterniser au pouvoir.

1- Le maintien du peuple dans la pauvreté

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Ces chefs d’États deviennent extrêmement riches et maintiennent le peuple dans la pauvreté.
Ils privent une grande partie du peuple de leurs besoins primordiaux qui sont l’eau potable, accès à l’électricité, accès à l’éducation, accès à l’Internet…
Après avoir systématiquement privé le peuple de leurs besoins primaires, ils mettent en place un service spécial (police politique) pour traquer les manifestants.

2 – La Mise en place un service spécial pour traqué la population : police politique

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Ce service est appelé « la police politique » en science politique.
C’est un service aux agents secrets qui mettent la main sur ceux qui sont populaires et capables d’apporter des soutiens et des éléments de conscientisation au peuple, pour un changement, pour une alternance crédible. Ceux dont leurs messages éveillent le peuple. Par exemple : Les activistes, les défenseurs des droits de l’homme, les leaders de la société civile et les opposants politiques loyaux.

3 – La personnalisation de l’armée nationale

Ils personnalisent leurs armées nationales. D’autre regroupent l’armée par clans, dont leurs chefs d’États majors sont pratiquement un des membres de leurs familles.
Ces forces militaires, au lieu de défendre leurs peuples (qui sont composés de leurs frères, leurs mères, leurs pères, brefs leurs famille); malheureusement ils tirent des balles réelles aux manifestants qui réclament leurs droits (droit à l’éducation, à la santé, à l’accès à l’eau potable, à l’emploi…) comme j’avais mentionné ci-dessus les besoins primaires.

4 – La création des plateformes pro-régime et des opposants de façade

Ces chefs d’États créent des plateformes pro-régime pour qu’elles se mettent devant les caméras afin de distraire le peuple et la communauté internationale pour donner tonus à leurs régimes coercitifs.
Ils créent des partis politiques pro-régime qui obéissent et se plient aux ordres donnés par leurs régimes coriaces. Des partis qui stigmatisent la conscience du peuple et des partis politiques, afin de diviser le peuple. Ces partis sont doués dans les achats de conscience.

5 – L’obtention de l’aide d’une grande puissance comme carapace ou bouclier

Comme les grandes puissances n’ont d’intérêts que d’amis comme disait Chirac, ces grandes puissances protègent ces régimes pour leurs intérêts, dont l’exploitation des ressources minières de ces pays.
Ces grandes puissances  deviendront des carapaces ou des boucliers pour ces despotes africains.
C’est pourquoi malgré les cris du peuple et les contestations des leaders politiques, des sociétés civiles les grandes puissances qui sont devenues des boucliers gardent leurs silences. L’on constate des activistes emprisonnés, des journalistes tués, des opposants incarcérés…

6 – La distraction de la galerie internationale par des propagandes politiques

Pour tout couronner leurs actions, ils fallait distraire la communauté internationale dans des colloques et des sommets.
Ces despotes envoient partout leurs représentants dans des sommets internationaux. Ou bien comme d’habitude, eux-mêmes se présentent dans les arènes politiques internationales avec des discours du genre « lutte contre le terrorisme », la désertification, l’insécurité alimentaire, l’immigration, le chômage…

Ce billet est une synthèse d’analyse politique tiré dans mon livre inédits sur la politique africaine.


Pour développer l’Afrique, les africains doivent se spécialiser dans leurs domaines éducatifs

La plupart des systèmes éducatifs africains nécessitent une réforme en spécialisation.
Malheureusement, nos gouverneurs occidentaux appelé les chefs d’État africains sont toujours stagner à réprimer leurs peuples que développer l’Afrique en générale et leurs pays en particulier.

Pendant que les jeunes japonais, russes, coréens, américains, français… se spécialisent parfois dès le collège ou le lycée; la plus grande majorité des africains oppressés et réprimés par leurs propres dirigeants ne sont même pas spécialisés jusqu’à la licence.

AFRICAIN, AFRICAINE NOUS DEVONS NOUS SPÉCIALISER POUR DÉVELOPPER NOTRE CONTINENT

Se spécialiser en chimie, afin de :

– Fabriquer des éléments chimiques grâce à nos matières premières;
– Fabriquer des produit chimiques issus de nos sous-sols;
– Installer des centrales nucléaires…

Se spécialiser en agronomie, afin de :

– Mettre en œuvre les plans et les stratégies d’autosuffisance alimentaire en Afrique et dans son pays;
– Moderniser l’agriculture africaine avec des plantations diverses qui ne poussent qu’en Afrique;
–  Booster l’économie africaine grâce à l’exploitation agricole;
–  Former nos parents africains dans l’autosuffisance alimentaire…

Se spécialiser en informatique, afin de :

– Contrôler nos informations pour que les occidentaux ne s’en servent pas pour exploiter nos sous sols;
– Créer des logiciels permettant de contrôler le système administratif et financier de nos pays.

Se spécialiser en pétrochimie afin de :
– Mettre en places des raffineries
–  Exploiter nous même nos pétroles, nos gaz, nos…

Se spécialiser en géologie et en géographie pour :

– L’exploitation de nos ressources naturelles;
– Étudier les différentes roches qui puissent résister au bitumage des routes et la construction de nos bâtiments.

Se spécialiser en science politique, géopolitique et géostratégie pour :

– Contrecarrer toute les propagandes politique occidentales qui rongent honteusement nos institutions;
– Débattre dans n’importe quel plateau dans le monde pour redresser notre continent;
– Instituer nous même nos différentes institutions;
– Bien gérer la citer avec des hommes intègres.

Se spécialiser en économie afin de :

– Frapper nos propres monnaies, purement africaines;
– Gérer nos investissements dans nos propres banque sans dévaluation.

Se spécialiser dans la médecine en ophtalmologie, cardiologie, neurologie … Pour :

– Soigner nos parents africains, jusqu’à ce qu’avec la transformation ou la modernisation de nos médecines traditionnelles ou traitements traditionnels, les occidentaux eux-mêmes viennent se soigner chez nous en Afrique.

Voilà ce que nous devrons faire pour se développer et développer l’Afrique. Cela nous permettra d’être en concurrence avec les autres continents.


Tchad, l’un des pays où l’Internet coûte extrêmement cher

Au Tchad, la connexion internet est extrêmement cher. C’est aussi l’un des pays où les appels téléphoniques et les messages sont les plus chers au monde. Du moment où l’on parle du numérique, le Tchad se trouve avec les pays où la connexion coûte extrêmement cher. Il y’a deux opérateurs téléphoniques qui se font du beurre sur les dos du paisible citoyen tchadien au vu et au su du gouvernement…


SOS, un activiste croupit dans une prison tchadienne, un autre arrêté en Arabie Saoudite

Au Tchad, les activistes sont en danger. Soit ils risquent de fuir le pays, pour trouver asile ailleurs, soit ils prennent le risque de finir en prison. Ce qui est le cas de Mayadine et de Obeyeski. L’un a fini dans une prison tchadienne, l’autre en exil en Arabie Saoudite, puis a été enlevé.

L’enlèvement de l’activiste et journaliste Mahadine

Son vrai nom est Tadjadine Mahamat Babouri. Tchadien, il est blogueur et journaliste. Il a été enlevé en pleine rue le 30 septembre 2016, par six hommes armés, appartenant à l’Agence nationale de sécurité (ANS), les services secrets tchadiens. Il a été a la maison d’arrêt de Ndjaména, puis transféré à la prison de Mossoro. Une prison des voleurs et des criminels.
Sa santé se détériore de plus en plus. Cela fait 10 mois déjà qu’il respire la prison juste pour avoir critiqué la mauvaise gestion du régie financière du régime actuel.

Dans une vidéo dont les prisonniers l’ont aidé à l’enregistrer, yeux rouge, couché, il déclare qu’il a été torturé et demande un SOS aux ONG et associations des droits de l’homme international. Il demande également du soutien de la diaspora tchadienne vivant en France.

Les différents soutiens apportés à l’activiste

FreeBabouri est la page facebook créée par les activistes tchadiens pour le soutenir jusqu’à sa libération.
Le Coordinateur du PACT ( projet Alternance crédible au Tchad) condamne cette arrestation dans une vidéo postée sur la page freebabouri.  L’organisation international Internet Sans Frontières condamne également dans une vidéo l’enlèvement et séquestration du journaliste et activiste tchadien.
Sur cette page, l’activiste Kally Mahamat et beaucoup d’autres activistes tchadiens et étrangers ont condamné l’arrestation illégale de Mahadine et demandent sa libération immédiate et sans condition.
Amnesty International et Reporters Sans Frontières demande aussi la libération de l’activiste Mahadine.

Malgré tous ces soutiens, le gouvernement tchadien fait fait sourd oreille et l’activiste Mahadine croupit toujours en prison.

La détention de l’activiste Obyeskemi en exil en Arabie Saoudite

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Il s’appelle Souleymane Mahamat Obyeskemi, activiste et défenseur des droits de l’homme en exil à Riad en Arabie Saoudite. Il a été  enlevé mercredi 26 juillet 2017 par les éléments de la sécurité saoudienne et transporté vers une destination inconnue.
Selon Mahmat Nour Ibedou, le Secrétaire général de la CTDDH (La Convention Tchadienne pour la Defense des Droits de l’homme) : « Il y a une semaine, l’ambassadeur l’a appelé pour lui demander de venir à l’ambassade pour s’excuser de toutes les dénonciations et violations des droits de l’homme commises par le régime de Ndjaména a déclaré sur les antennes RFI. « Il avait de nombreuses fois fait l’objet de menaces d’extradition vers le Tchad ou sa vie est en danger», renchérit sur son mur facebook.

Le Coordinateur du FONAC ( Front de l’Opposition national pour l’Alternance et le Changement), Mahamat Ahmat Alhabo déclare que «le Gouvernement Tchadien, le Haut-Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés (UNHCR) et les autorités Saoudiennes seront tenus responsables de ce qui adviendrait à Monsieur Souleymane Mahamat Obyeskemi.» Il exige ensuite la libération immédiate et inconditionnelle de l’activiste Obyeskemi.

À travers ce billet je lance un SOS à :

– Toute la communauté internationale
– Toute les associations de défense des droits de l’homme
– Amnesty international
– Human Rights Watch
– l’ONU, de venir en aide à ces jeunes activistes, qui vivent entre le marteau et l’enclume.

Ils n’ont même pas tué une mouche, ils ont simplement dénoncé les prévarications du régime actuel de leur pays en conformité avec la constitution de la République du Tchad et de la déclaration universelle des droits de l’homme.

À Emmanuel Macron, le Président français

Monsieur le Président, je viens avec respect vous dire dans ce billet que  vous avec tenus des propos devant le monde entier pour défendre les principes démocratique en Afrique, je cite : «Je défendrai le respect des principes démocratiques fondamentaux partout en Afrique».

Vous avez pris l’engagement d’agir en Afrique avec transparence avec ces propos: «J’agirai en Afrique en toute transparence, loin des réseaux de connivence».

Monsieur le Président, il est temps d’agir pour ces deux jeunes activistes, dont l’un croupit en prison et l’autre en détention.
Deux vies humaines sont en dangers.

Il est temps d’accomplir ou de trahir vos propos.