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Cameroun… l’apport architectural de la colonisation dans le tourisme.

Je vous invite ce matin a faire un petit tour en images de l’histoire du Cameroun. Je vous pressente quelques unes des images prises lors de visites dans différentes régions du pays avec pour point commun, d’avoir vu passer les colonisateurs français, anglais ou allemands. Il s’agit la de trois puissances coloniales qui ont laisse leurs empruntes architecturales au Cameroun, et ce pour le bonheur des touristes qui visitent ou souhaiteraient visiter le Cameroun.

Region sud du Cameroun Vue du phare colonial allemand de la ville de Kribi
Region sud du Cameroun Vue du phare colonial allemand de la ville de Kribi
région du Sud-Ouest Cameroun Villa Coloniale Mundemba
région du Sud-Ouest Cameroun
Villa Coloniale
Mundemba
Region Sud Cameroun, vue de la magnifique eglise de Foulassi (berceau de l'hymne du Cameroun) construction coloniale anglise
Region Sud Cameroun, vue de la magnifique eglise de Foulassi (berceau de l’hymne du Cameroun) construction coloniale anglise
Region Sud Cameroun, vue de la magnifique eglise de Foulassi (berceau de l'hymne du Cameroun) construction coloniale anglise
Region Sud Cameroun, vue de la magnifique eglise de Foulassi (berceau de l’hymne du Cameroun) construction coloniale anglise
Region du sud ouest Cameroun, construction coloniale allemande abritant aujourd'hui desservives administratifs
Region du sud ouest Cameroun, construction coloniale allemande abritant aujourd’hui desservives administratifs
Region Centre du Cameroun, vue au premier plan des batiments scolaires et religieux datant de la periode coloniale allemande dans la ville de Yaounde (Mvolye)
Region Centre du Cameroun, vue au premier plan des batiments scolaires et religieux datant de la periode coloniale allemande dans la ville de Yaounde (Mvolye)
Region du Littoral Cameroun, vue d un des batiments d une des plus grandes proprietes coloniales francaises de la region, entouree de plantations de cafe
Region du Littoral Cameroun, vue d un des batiments d une des plus grandes proprietes coloniales francaises de la region, entouree de plantations de cafe
Region ouest du Cameroun, vue de l entree du centre climatique de Dschang construction coloniale francaise batit pour les officiers francais ne pouvant rentrer en France lors de la 2me guerre mondiale
Region ouest du Cameroun, vue de l entree du centre climatique de Dschang construction coloniale francaise batit pour les officiers francais ne pouvant rentrer en France lors de la 2me guerre mondiale


Cameroun… a la découverte du ranch de Ngaoundaba

Je partage en images mon voyage (avec mon ami Ferdinand accompagne de son oncle et son neveu ainsi qu une étudiante allemande venue pour la première fois au Cameroun) dans la région de l’Adamaoua plus particulièrement au ranch de Ngaoundaba. C’est un lieu magique et surtout magnifique par la splendeur du paysage agrémenté par un magnifique lac sur lequel il possible d’effectuer des ballades en pirogue et surtout de pecher…
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vue du lac du ranch de Ngaoundaba 
Adamaoua Cameroun
Septembre 2013
vue du lac du ranch de Ngaoundaba
Adamaoua Cameroun
Septembre 2013
vue du lac du ranch de Ngaoundaba 
Adamaoua Cameroun
Septembre 2013
vue du lac du ranch de Ngaoundaba
Adamaoua Cameroun
Septembre 2013
vue du lac du ranch de Ngaoundaba 
Adamaoua Cameroun
Septembre 2013
vue du lac du ranch de Ngaoundaba
Adamaoua Cameroun
Septembre 2013
vue du lac du ranch de Ngaoundaba 
Adamaoua Cameroun
Septembre 2013
vue du lac du ranch de Ngaoundaba
Adamaoua Cameroun
Septembre 2013
vue du lac du ranch de Ngaoundaba 
Adamaoua Cameroun
Septembre 2013
vue du lac du ranch de Ngaoundaba
Adamaoua Cameroun
Septembre 2013
vue du lac du ranch de Ngaoundaba 
Adamaoua Cameroun
Septembre 2013
vue du lac du ranch de Ngaoundaba
Adamaoua Cameroun
Septembre 2013

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vue du lac du ranch de Ngaoundaba 
Adamaoua Cameroun
Septembre 2013
vue du lac du ranch de Ngaoundaba
Adamaoua Cameroun
Septembre 2013
vue de la grande salle de sejour
vue de la grande salle de sejour

une case de passage du ranch de Ngaoundaba
une case de passage du ranch de Ngaoundaba


Cameroun a la découverte des chutes de NGO NJOCK LIPO

Je vous invite aujourd’hui a decouvrir les magnifiques chutes de NGO NJOCK LIPO, il s’agit d’un site naturel intéressant à visiter, ces chutes sont situées sur le cours du Nyong ( fleuve aux noires dont je vous avais parle dans mon post sur  »Ebogo » et son tricentenaire), à environ 10km avant d’arriver à Eséka, petite ville à une cinquantaine de kilomètres à l’Ouest de Mbalmayo dans le centre du Cameroun.
Pour la petite histoire:
Les chutes de Ngo Njock Lipo porte le nom d’’une femme qui vivait sur les lieux et qui, selon la légende, était dotée de pouvoirs occultes. Cette chute était également utilise autrefois pour y précipiter les personnes convaincues de sorcellerie.

Une vue des  chutes de NGO NJOCK LIPO
Une vue des chutes de NGO NJOCK LIPO


Cameroun… monuments, ruines, souvenirs : les traces du passé médical à Ayos

Je vous invite aujourd’hui a decouvrir le site d’Ayos au Cameroun.
La médecine et la recherche médicale camerounaises ont une histoire, qui va de l’épisode colonial à la mondialisation néo-libérale, en passant par le moment du « développement national » dans les décennies d’après l’indépendance.
L’histoire du site d’Ayos est bien connue : héritées des médecins coloniaux allemands, les installations sanitaires d’Ayos sont devenues dans les années 1920 la base logistique et scientifique du programme de lutte contre la maladie du sommeil conduit par le Dr Jamot, puis un centre de formation médicale (auxiliaires de santé, aides-soignants, infirmiers), qui jouera un rôle crucial dans la formation des premières générations de médecins camerounais. Ayos est resté jusqu’aujourd’hui l’un des pivots de la formation des professionnels de santé camerounais. Le passé d’Ayos évoque ainsi des moments de gloire et d’espoir, mais aussi des moments de crise et de délabrement. La forme la plus évidente de « présence du passé » à Ayos est le paysage lui-même: ce paysage, constellé de monuments et de bâtiments ruinés ou réhabilités fait l’attrait touristique du site ; il est tout entier marqué par la fonction sanitaire d’Ayos.

Quartier des infirmiers sur le site d Ayos
Quartier des infirmiers sur le site d Ayos


Cameroun…Le grand bon dans l inconnu,

Pour découvrir le Cameroun, il faut accepter de faire le grand bon dans l inconnu, il faut faire de son voyage, une aventure de découverte, avec l’humanité comme objectif central. Au cours de ce voyage, vous reconnaitrez les jalons de l amour, de la générosité, de l honnêteté, de l’amabilité, de la légendaire hospitalité africaine, de la solidarité, du partage, du sourire, de la patience, du rire et…du respect.
Ce n est pas un voyage dénue d embuches et de traquenards, de fausses pistes et de distraction qui pourraient vous conforter dans l illusion que vous êtes arrive. Car c est un voyage vers l infini, vers l insondable essence de vie. Vous amassez beaucoup de choses au cours de ce long voyage y compris la richesse, le bonheur, la satisfaction, les louanges, la reconnaissance et surtout la paix et l unité avec le genre humain. Voyager au Cameroun, c est réaliser son potentiel aussi petit soit il. Vous serez émerveille par la quantité de lumière que ce potentiel pourrait apporter a la vie d autres personnes a tel point que vous êtes étonne d avoir réalise cela.
Franck mensah Gampson

Case perchee sur l un des multiples rochers du village de Nkolandom a 15 km de la ville d ebolowa dans la region sud du Cameroun
Case perchee sur l un des multiples rochers du village de Nkolandom a 15 km de la ville d ebolowa dans la region sud du Cameroun

Pecheurs sur la plage de Grand Batanga Kribi sud Cameroun
Pecheurs sur la plage de Grand Batanga Kribi sud Cameroun
pirogue remontant le fleuve Lobe, au loin les chutes eponymes
Kribi region du sud Cameroun
pirogue remontant le fleuve Lobe, au loin les chutes eponymes
Kribi region du sud Cameroun
Moment de detente des "Boys beach" sur la plage de Krbi region sud du Cameroun
Moment de detente des « Boys beach » sur la plage de Krbi region sud du Cameroun

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CAMEROUN… ET SI ON TRAVERSAIT LE PONT SUSPENDU DE KORUP !

Le parc national de Korup
Korup est la plus ancienne et la plus diversifiée des fôrets tropicales africaine. La richesse de sa faune et de sa flore réside dans le fait que Korup a survécu à l’âge glaciaire. Aujourd’hui, il ressemble à un musée de plus de 60 millions d’années!

Créé en 1986, le parc national de Korup s’étend sur 1.260 km2 dans la region du Sud-Ouest entre les localités de Eyumojock et de Mundemba.

Le parc comptabilise plus de 620 espèces d’arbres et d’arbustes et près de 500 espèces d’herbes. On y rescence également plus de 400 espèces d’oiseaux, 82 espèces de reptiles et 92 espèces d’amphibies et environ 1000 espèces de papillons… Les mammifères et poissons sont également nombreux et représentent respectivement 130 et 160 espèces!

Certaines zones du parc on été aménagées pour faciliter la visite, notamment la visite de la canopé sur des ponts suspendus.

Il est également possible de faire des excursions fluviales à la découverte des pélicans et villages de pêcheurs.
Source WIKIPEDIA

Porteurs traversant le pont d'acces au parc national de KORUP dans la region sud ouest du Cameroun
Porteurs traversant le pont d’acces au parc national de KORUP dans la region sud ouest du Cameroun


CAMEROUN VISITE AU TRICENTENAIRE D EBOGO EN TOUTE COURTOISIE

Ebogo est un site féérique situé dans un environnement verdoyant et paisible de la forêt équatoriale qui offre aux visiteurs diverses attractions, notamment des ballades en pirogues sur le fleuve Nyong; la découverte du «Gros arbre tricentenaire» d’environ 12 mètres de diamètre; la capture de divers papillons; la pêche traditionnelle de diverses espèces de poissons; l’élevage de tortues terrestres à la chair succulente; des randonnées pédestres dans la forêt sur le sentier botanique; la vision d’oiseaux sauvages dont les perroquets retranchés dans une île; le tout sous le guidage enthousiaste de Monsieur Ernest ONANA, surnommé affectueusement «le dernier crocodile».

Ebogo, c’est aussi le côté très accueillant des populations avec des danses culturelles bantou dont le «Bikutsi» pour agrémenter le séjour des touristes sans oublier le rafraichissant vin de palme qui arrose les grillades de poissons d’eau douce et autres mets traditionnels à l’instar du «pkwem» préparé à base de feuilles de manioc et d’huile de palme.

A Ebogo, l’administration du tourisme an collaboration avec l’Organisation Mondiale du Tourisme(OMT) a mis en place le programme STEP (Sustainable Tourism for Eliminating Poverty) pour le développement durable à travers les activités touristiques. C’est ainsi que les infrastructures de base ont été aménagés (voies d’accès; les structures d’accueil) les populations locales ont reçu des formations en vue de la gestion durable du site.
Franck Mensah Gampson

L' ARBRE TRICENTENAIRE D EBOGO DANS LA REGION DU CENTRE CAMEROUN
L’ ARBRE TRICENTENAIRE D EBOGO DANS LA REGION DU CENTRE CAMEROUN

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BALLADE EN PIROGUE SUR LE FLEUVE NYONG A EBOGO REGION DU CENTRE CAMEROUN
BALLADE EN PIROGUE SUR LE FLEUVE NYONG A EBOGO REGION DU CENTRE CAMEROUN
VUES DES BERGES DU FLEUVES NYONG AUX EAUX ETRANGEMENT NOIRES DANS LA REGION DU CENTRE CAMEROUN
VUES DES BERGES DU FLEUVES NYONG AUX EAUX ETRANGEMENT NOIRES DANS LA REGION DU CENTRE CAMEROUN
VUES DES BERGES DU FLEUVES NYONG AUX EAUX ETRANGEMENT NOIRES DANS LA REGION DU CENTRE CAMEROUN
VUES DES BERGES DU FLEUVES NYONG AUX EAUX ETRANGEMENT NOIRES DANS LA REGION DU CENTRE CAMEROUN
PIROGUES SUR LE FLEUVE AUX EAUX NOIRES A EBOGO LE LIEU DE L ECOTOURISME CAMEROUNAIS
PIROGUES SUR LE FLEUVE AUX EAUX NOIRES A EBOGO LE LIEU DE L ECOTOURISME CAMEROUNAIS
VUES DES BERGES DU FLEUVES NYONG AUX EAUX ETRANGEMENT NOIRES DANS LA REGION DU CENTRE CAMEROUN
VUES DES BERGES DU FLEUVES NYONG AUX EAUX ETRANGEMENT NOIRES DANS LA REGION DU CENTRE CAMEROUN


CAMEROUN… LE CYCLE DE LA VIE VUE PAR UN ARTISTE

The cycle of life in the village grass field (Bamileke) by Princess Boutinyui/Le cycle de la vie au village grass field (Bamileke) par Princesse Boutinyu
The cycle of life in the village grass field (Bamileke) by Princess Boutinyui/Le cycle de la vie au village grass field (Bamileke) par Princesse Boutinyu
The cycle of slavery by Princess Boutinyui/Le cycle de l'esclavage par Princesse
The cycle of slavery by Princess Boutinyui/Le cycle de l’esclavage par Princesse


CAMEROUN… LE TEMPS QU IL FAIT, LE TEMPS QUI PASSE

Partout au Cameroun, il y a le temps qu il fait, il y a le temps qui passe.
Avez vous déjà essaye, séduit par un porche accueillant, d entrer, pour rien, pour le plaisir, chez l habitant de votre propre ville, en lui disant :
– Bonjour Madame/Monsieur, je viens vous voir, parce que votre maison est jolie et que j ai envie de vous connaitre.
Cela a-t-il le sens commun ?
Non, l aventure, cela s organise. Il faut un itinéraire, un départ, un budget. Il faut un plan de travail et un emploi du temps.
C est peut etre cela, au fait l aventure, cette lutte contre soit meme et la piste si longue, cette obstination d insecte têtu qui va son chemin quoi qu il arrive.
Voyager au Cameroun, c est oublier tous les jours ce qu’ avait été la veille, retrouver la jeunesse, goutte a goutte se perdant. Il faut s eveiller chaque fois avec un regard neuf a Belabo, Gorum, Bamkim, les voir comme s ils n étaient pas seulement les elements d une succession de souvenirs a classer. L enthousiasme se boit frais !
Peut etre entreverez vous la beaute, la science, la sagesse, sans avoir le temps de les reconnaitre ? Peut etre des chances vous seront-elles tendues et l ignorance paralysera t elle votre bras ? Nous ne saurons sans doute jamais ce qui passe a portee de nos mains, déjà creusées pour saisir et recevoir, nous ne saurons sans doute jamais quel vide de l esprit nous aura empêche d y songer.

Faire le tour du Cameroun, c est surtout, par dela le pittoresque des agences de voyage, apprendre a connaitre les Hommes qui le peuplent. Alors on s apercevra que les primitifs ne sont pas toujours ceux qu on pense, et que de toute facon on est toujours le sauvage de quelqu un.
Partout, malgre la diversite des mœurs, les questions essentielles restent semblables. A niveau de vie egal, les problemes de tous les Hommes sont les memes. Parfois vous rencontrerez un village heureux comme le village Idool, et vous serez tente de vous y arrêtez, d y déposer définitivement vos bagages. Mais toujours comme des automates, il vous faudra continuer.
L aventure est en fin de compte purement interieure.
Bon voyage.

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paysage de la region de BAMBOUTOS dans l ouest camerounais l un des plus beaux paysages du Cameroun
paysage de la region de BAMBOUTOS dans l ouest camerounais l un des plus beaux paysages du Cameroun
paysage de la region de BAMBOUTOS dans l ouest camerounais l un des plus beaux paysages du Cameroun
paysage de la region de BAMBOUTOS dans l ouest camerounais l un des plus beaux paysages du Cameroun
preparation au feu de bois dans une cuisine camerounaise
preparation au feu de bois dans une cuisine camerounaise
Arret sur image dans une rue de Yaounde... vieux TACO, salon de coiffure pas cher..
Arret sur image dans une rue de Yaounde… vieux TACO, salon de coiffure pas cher..

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Entree dans la ville de Kumbo
Ville du Cameroun
Kumbo, aussi appelé Banso, est situé dans la region du Nord-Ouest au Cameroun et est le chef lieu du département du Bui. La ville est située à une altitude d'environ 2000 mètres. La population de Kumbo est majoritairement d'origine nso, observez la couleur de la terre
Entree dans la ville de Kumbo
Ville du Cameroun
Kumbo, aussi appelé Banso, est situé dans la region du Nord-Ouest au Cameroun et est le chef lieu du département du Bui. La ville est située à une altitude d’environ 2000 mètres. La population de Kumbo est majoritairement d’origine nso, observez la couleur de la terre
Kumbo
Ville du Cameroun
Kumbo, aussi appelé Banso, est situé dans la region du Nord-Ouest au Cameroun et est le chef lieu du département du Bui. La ville est située à une altitude d'environ 2000 mètres. La population de Kumbo est majoritairement d'origine nso
Kumbo
Ville du Cameroun
Kumbo, aussi appelé Banso, est situé dans la region du Nord-Ouest au Cameroun et est le chef lieu du département du Bui. La ville est située à une altitude d’environ 2000 mètres. La population de Kumbo est majoritairement d’origine nso
ARC EN CIEL AUX CHUTES D EKOM NKAM LIEU DU TOURNAGE DE CERTAINES SCENES du film "Greystoke, la légende de Tarzan" avec Christophe Lambert
ARC EN CIEL AUX CHUTES D EKOM NKAM LIEU DU TOURNAGE DE CERTAINES SCENES du film « Greystoke, la légende de Tarzan » avec Christophe Lambert
Detail de la grande case de la chefferie de BAFUT dans la region du nord ouest Cameroun, classee patrimoine mondial de  l unesco
Detail de la grande case de la chefferie de BAFUT dans la region du nord ouest Cameroun, classee patrimoine mondial de l unesco
Danseurs en tenues traditionnelles dans la region de l ouest Cameroun a l occasion d une manifestation culturelle
Danseurs en tenues traditionnelles dans la region de l ouest Cameroun a l occasion d une manifestation culturelle
UNE VUE DU Lac Barombi Mbo DANS LA REGION DU LITTORAL AU CAMEROUN
Le lac Barombi Mbo est un lac de cratère situé au Cameroun. 
Altitude : 300 m
Superficie : 5 km²
Profondeur moyenne : 69 m
UNE VUE DU Lac Barombi Mbo DANS LA REGION DU LITTORAL AU CAMEROUN
Le lac Barombi Mbo est un lac de cratère situé au Cameroun.
Altitude : 300 m
Superficie : 5 km²
Profondeur moyenne : 69 m
PREPARATION DU KOKI METS TYPIQUE DU CAMEROUN DANS UNE CUISINE TRADITIONNELLE
PREPARATION DU KOKI METS TYPIQUE DU CAMEROUN DANS UNE CUISINE TRADITIONNELLE
joyeux anniversaire des tas de belles choses parmi les plus belles de la vie
joyeux anniversaire des tas de belles choses parmi les plus belles de la vie
FEMME CAMEROUNAISE
FEMME CAMEROUNAISE
RITES TRADITIONNELS DANS UNE CHEFFERIE BAMILEKE DE L OUEST CAMEROUN
RITES TRADITIONNELS DANS UNE CHEFFERIE BAMILEKE DE L OUEST CAMEROUN
Un sentier s enfonssant dans la broussaille paysage de la region sud ouest du Cameroun
Un sentier s enfonssant dans la broussaille paysage de la region sud ouest du Cameroun



CAMEROUN VISITE D UNE CHEFFERIE BAMILEKE

BAFOUSSAM AU COEUR DU PAYS BAMILEKE
La chefferie aurait été fondée autour du 13e siècle par Fo Njonvoum venant de la plaine Tikar. Bafoussam vient de fussep qui signifie « les gens assis sur une richesse, un trésor ». Cependant, d’aucuns disent que Bafoussam serait une « mauvaise occidentalisation » de fuh’sep signifiant « on gagne plus en vendant en détail qu’en gros ». D’après cette version, les Bafoussam seraient « le peuple des gens qui achètent en gros et revendent en détails ».
BAFOUSSAM

VUE D UN DES BATIMENTS DE LA CHEFFERIE DE BAFOUSSAM OUEST CAMEROUN
VUE D UN DES BATIMENTS DE LA CHEFFERIE DE BAFOUSSAM
OUEST CAMEROUN

 

 

 

 

VUE D UN DES BATIMENTS DE LA CHEFFERIE DE BAFOUSSAM OUEST CAMEROUN
VUE D UN DES BATIMENTS DE LA CHEFFERIE DE BAFOUSSAM
OUEST CAMEROUN
VUE D UNE DES PORTES SCULPTEES DE LA CHEFFERIE DE BAFOUSSAM OUEST CAMEROUN
VUE D UNE DES PORTES SCULPTEES DE LA CHEFFERIE DE BAFOUSSAM
OUEST CAMEROUN
VUE DES RICHESSES ARTISANALES DE LA CHEFFERIE DE BAFOUSSAM
VUE DES RICHESSES ARTISANALES DE LA CHEFFERIE DE BAFOUSSAM
DETAIL DES MOTIFS D UNE PORTE DE LA CHEFFERIE DE BAFOUSSAM
DETAIL DES MOTIFS D UNE PORTE DE LA CHEFFERIE DE BAFOUSSAM
MASQUE BAMILEKE DE LA CHEFFERIE DE BAFOUSSAM OUEST CAMEROUN
MASQUE BAMILEKE DE LA CHEFFERIE DE BAFOUSSAM OUEST CAMEROUN

PAR LES CHEMINS DU CAMEROUN…. lieux mythiques à voir au moins une fois dans sa vie
VENIR AU C AMEROUN ET ALLER A LA CHEFFERIE DE BAFOUSSAM AU COEUR DU PAYS BAMILEKE
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BAFOUSSAM

Leadership was founded around the 13th century by Fo Njonvoum Tikar from the plain. Bafoussam just fussep which means « people sitting on a treasure, a treasure. » However, some would say Bafoussam a « bad Westernization » of fuh’sep meaning « more is gained by selling in large details. » According to this version, Bafoussam are « people people who buy wholesale and sell it in detail. » – avec Menhet El et Anthony S. Cottman, à Bafoussam ouest Cameroun


CAMEROUN AU PARADIS DES SINGES L’île de Pongo

CAMEROUN VISITE AU PARADIS DES SINGES L’île de Pongo

L’île de Pongo sert de terre d’accueil pour des chimpanzés orphelins victimes le plus souvent de braconnage. Le projet Papaye-France, au travers de Patricia, offre une deuxième vie à ces singes qui en ont déjà perdu leurs parents. Cette excursion vous fera vivre une expérience rare au contact de ces petits hommes poilus.
Que faire sur place

Passez tranquillement la journée au rythme des singes. Prévoyez pique nique, eau et pensez aux singes (Ils sont friands des fruits autre que les bananes ainsi que du miel !)

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SINGE ET  CHIEN AMUSANT SUR  L ILE DE PONGO SONGO DANS LA REGION DU LITTORAL CAMEROUN
SINGE ET CHIEN AMUSANT SUR L ILE DE PONGO SONGO
DANS LA REGION DU LITTORAL
CAMEROUN
SINGES S AMUSANT SUR  L ILE DE PONGO SONGO DANS LA REGION DU LITTORAL CAMEROUN
SINGES S AMUSANT SUR L ILE DE PONGO SONGO
DANS LA REGION DU LITTORAL
CAMEROUN
SINGES S AMUSANT SUR  L ILE DE PONGO SONGO DANS LA REGION DU LITTORAL CAMEROUN
SINGES S AMUSANT SUR L ILE DE PONGO SONGO
DANS LA REGION DU LITTORAL
CAMEROUN

L’île de Pongo sert de terre d’accueil pour des chimpanzés orphelins victimes le plus souvent de braconnage. Le projet Papaye-France, au travers de Patricia, offre une deuxième vie à ces singes qui en ont déjà perdu leurs parents. Cette excursion vous fera vivre une expérience rare au contact de ces petits hommes poilus.
Que faire sur place

Passez tranquillement la journée au rythme des singes. Prévoyez pique nique, eau et pensez aux singes (Ils sont friands des fruits autre que les bananes ainsi que du miel !)


ARCHITECTURE EN TERRE CRUE

Des matériaux, des techniques et des savoir-faire au service de nouvelles applications architecturales
Un matériel toujours actuel
Si l’emploi de la terre dans les pays que l’on dénomme aujourd’hui « avancés » régressait après la Seconde Guerre mondiale, soit il y a à peine cinquante ans, il perdure dans la plupart des pays dits « en développement ». D’un côté, l’industrialisation du bâtiment et les grandes mutations des sociétés industrialisées rendaient désuètes les techniques ancestrales basées sur l’emploi des matériaux et des savoir-faire locaux, sur l’entraide des communautés ; d’un autre côté, la pénurie des matériaux transformés, chers en devises et en énergies importées, le creusement des écarts de développement et l’accumulation de la dette contractée au sein du système monétaire international, la survivance des modes de vie des sociétés locales toujours conviées à s’entraider pour survivre, imposaient la perpétuation d’emploi des solutions localement disponibles, matériaux et savoir-faire. Dans ces pays démunis de moyens industrialisés, sous des latitudes très diverses, la terre y demeure le matériau de construction principal si ce n’est essentiel. Est-ce à dire pour autant qu’il s’agisse d’u matériau pauvre et de techniques, inaptes à favoriser un accès légitime et nécessaire au développement ? Certes non car ce matériau et ces techniques sont le plus souvent fort bien utilisés et peuvent garantir une réelle qualité architecturale, permettent aux communautés de continuer à édifier leur cadre de vie privé ou public et d’intégrer les réalisation bâties dans une problématique cohérente de développement autocentré tirant le meilleur parti des ressources disponibles au plan matériel comme humain. D’autre part, les développements de la recherche scientifique et architecturale sur le matériau terre et les techniques de construction aux cours des dernières décennies, l’investissement des industriels et des entreprises du bâtiment, convergent aujourd’hui vers la mise à disposition d’un ensemble de procédés de production et de solutions techniques parfaitement maîtrisées et d’une grande variété offrant une grande souplesse d’adaptation aux multiples terrains d’application possibles.
UN PAYSAGE ARCHITECTURAL MONDIAL TRES MARQUE
Les recensements les plus récents au plan mondial, bien que tout à fait partiel, avancent une réalité quantitative des architectures de terre qui concerne 30% du logement de la population mondiale. Dans les seuls pays en développement, il s’agit de 50% de la population rurale et d’environ 20% de la population urbaine. Ces chiffres issus du croisement d’une information d’enquêtes statistiques sur des terrains variés et d’une bibliographique, sont certainement en-deçà des réalités. 60% de l’habitat péruvien est en briques de terre moulée ou en terre damée. 83% des logements de Kigali, capitale du Rwanda sont en terre. Plus de 70% du par immobilier de l’Inde est en briques de terre moulée ou en couches de terre superposées et concerne plus de six cents millions de personnes. En France près de 15% des habitations rurales sont en terre crue avec, pour la région du Dauphiné, des villages qui comptent jusqu’à 90% de leur bâti en « pisé » (terre damée en coffrages). En Californie, on comptait en 1980 près de 200 000 maisons en « adobe » (briques de terre séchée au soleil) et la progression d’emploi de ce matériau est de 30% l’an.
Du plus humble habitat en concessions aux greniers multiformes d’Afrique, des palais des émirs de l’ethnie Hausa du Nigéria au aux ksours et kasbahs du Maroc, des mosquées maliennes au quartiers denses d’Ispahan en Iran, des demeures fortifiées de la région de Najran en Arabie Saoudite aux immeubles en terre hauts de plus de dix étages de Shibâm, dans la vallée de l’Hadramaout au Yémen du Sud, des fermes en briques moulées d’Aquitaine aux châteaux baroques et néo-classiques du Val de Saône, en France, des pueblos des indiens du Nouveau Mexique aux maisons en anneaux concentriques des Hakkas de la Province du Fujian, en Chine, la terre entière est marquée de façon indélébile par l’architecture de terre, vestige de l’histoire vécue et cadre vivant de l’histoire en évolution.
UNE DES SOLUTIONS POSSIBLES ET RAISONNABLES POUR L AVENIR
Confrontés dans les années soixante-dix à « la crise de l’énergie », les pays industrialisés dépendant du pétrole étaient précipités dans une remise en question radicale des solutions techniques éprouvées, trop « énergivores ». Le secteur bâtiment n’était pas épargné et l’on cherchait des solutions permettant d’économiser l’énergie en amont (fabrication et mise en œuvre des matériaux) et en aval (maintenance) de la chaîne de production. Les recherches sur la biomasse, l’énergie solaire, allaient de pair avec des expérimentations qui réactualisaient les matériaux traditionnels et tentaient d’en rationnaliser les procès de production. La terre redevenait un matériau de tout premier intérêt et des institutions gouvernementales soutenaient une importante activité de recherche et d’expérimentation à la fois dans la sphère d’application des pays en développement dans le cadre d’actions de coopération bilatérale ou multilatérale. Aujourd’hui, la menace exercée sur l’équilibre écologique des milieux naturels pollués, dégradés ou pillés, accentue l’intérêt que l’on peut porter à des matériaux et des techniques qui portent en eux-mêmes le souci de l’environnement. L’implication de plus en plus grande des populations dans le contrôle et la gestion de la production du cadre de vie à la fois du fait d’une nouvelle conscience de ces possibilités, d’une recherche qualitative et d’un temps de loisir accru, est associée à l’emploi de techniques simples et économiques, faciles à mettre en œuvre, permettant une grande part d’auto construction partielle ou totale. Les Etats-Unis d’Amérique, l’Australie et l’Allemagne, confrontent de nouveaux modèles d’intervention sur le bâti qui responsabilisent davantage l’habitant dans la réalisation de son cadre vie. Le matériau terre dans ces perspectives offre des atouts certains et y prend une bonne place.
Dans les pays en développement, écrasés par la dette et confrontés à une urgence de construction sans précédent connu dans l’histoire, les matériaux, les techniques et les énergies importées sont le plus souvent inaccessibles au plus grand nombre et contribuent à confronter un « mal développement ». La construction en terre apparaît être un des moyens efficaces de production à court terme d’un habitat et d’équipements communautaires (écoles par exemple) économiques et de qualité (adaptation culturelle, climatique). Les décideurs de ces pays ne s’y trompent pas qu’ils mobilisent en phase amont des études de faisabilité de leurs « programmes éducation» ou de leurs programmes d’habitat social par exemple, la recherche sur les ressources et des savoir-faire locaux, les techniques intensives créatrices d’emplois et permettant une monétarisation progressive des populations. Le temps est aujourd’hui révolu des expérimentations coûteuses et le plus souvent sans lendemain. Il faut promouvoir une nouvelle confiance dans les ressources disponibles, il faut démultiplier les réalisations et former les hommes qui les emploient.
LES AVANTAGES AU PLAN DE L ENVIRONNEMENT
Il paraît particulièrement important de relever les nombreux avantages que présente la technologie de la construction et de l’architecture de terre crue au plan de l’environnement. Cette question devient actuellement très centrale et rejoint celle des problèmes contemporains de société qui prennent davantage de la place dans les stratégies politiques, économiques, sociales et culturelles liés à la planification et l’aménagement de la qualité de la vie. On retiendra ici un sens large du concept d’environnement, à la fois au plan écologique, économique, technique, sanitaire et psychologique, culturel et humain.

Au plan de l’environnement écologique
La terre crue offre l’avantage d’un bilan pollution et dégradation entièrement positif :
elle ne participa pas à la déforestation qu’entraîne par exemple l’emploi des ressources végétales par la cuisson des matériaux de terre cuite.
Elle ne consomme pas d’énergie non renouvelable (pétrole, gaz…)
En exploitant des gisements sur les sites de construction, elle permet une réduction notoire de l’énergie nécessaire au transport des matériaux.
Elle ne contribue pas à une dégradation des paysages comme le fait l’extraction des minéraux et minerais qui éventrent les collines et sites à ciel ouvert. Une grande part de la terre remuée par les grands travaux publics (routiers et autoroutiers notamment) peuvent être recyclés pour une utilisation en construction (décentralisation de la distribution très aisée)
Elle ne contribue pas à l’amenuisement des ressources en agrégats du type gravier ou sable exploitées en carrière ou dans les lits des cours d’eau, dans des sites insulaires ou des lagons mettant en péril l’équilibre écologique de ces environnements naturels.
Elle n’utilise que très peu d’eau, ressource essentielle à la vie des peuples.
Elle ne produit aucun déchet d’exploitation industriel ou chimique et présente en outre l’avantage d’un recyclage quasi complet.
Au plan de l’environnement économique
Elle est souvent compétitive voir plus économique que les technologies concurrentes en n’exigeant pas de mobilisation financière importante pour l’infrastructure de production le plus souvent légère.
Elle garantie des seuils d’amortissement rapide des investissements par le peu d’infrastructure de production mobilisable.
Elle contribue sous des formes décentralisée à, intensive artisanale et semi-industrielle ainsi que par sa grande souplesse d’adaptation, à la dynamisation des sociétés locales par la création d’emplois sur l’ensemble de la chaîne de production.
En permettant une économie d’énergie et de devises importées.

Au plan de l’environnement technique
Elle offre des propriétés de comportement thermo physique et hydrique qui contribuent à la régulation des ambiances de confort thermique et à une mise en valeur des mécanismes de fonctionnement bioclimatique de l’habitat : bonne conduction, capacité de stockage énergétique et déphasage thermique (effusivité et diffusivité), amortissement des écarts de température, etc.
Elle ne mobilise le plus souvent qu’un outillage de production et de mise en œuvre simple et accessibles à une large population de constructeurs et d’auto constructeurs.
Au plan de l’environnement sanitaire et psychologique
Non polluante pour son exploitation
Elle contribue au bien-être psychologique par les qualités propres du matériau mises en valeur par l’architecture, telles que texture de surface, couleur de la matière, forme et luminosité du matériau. Elle participe activement à l’embellissement du cadre de vie.
Au plan de l’environnement culturel et humain
Elle prolonge l’héritage des traditions architecturales en matériaux locaux de nombreux pays et participe au respect ainsi qu’à la survie et l’actualisation des environnements culturels, architecturaux et urbains.
Elle permet une prise en charge locale, par les populations elles-mêmes de la production de leur cadre bâti et participe ainsi à l’expression du droit démocratique pour tous d’aménager son cadre de vie.
C’est bien dans le « Grand Livre de l’Histoire » que sont aujourd’hui recherchées les possibles solutions d’un avenir qui réservera à la construction en terre, parmi un large registre de techniques locales, un nouveau rôle technologique, social, culturel, économique et politique de tout premier plan.

CASE MOUSGOUM VILLAGE DE POUSS EXTRNE NORD CAMEROUN
CASE MOUSGOUM VILLAGE DE POUSS EXTRNE NORD CAMEROUN

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VILLAGE MOUSGOUM A POUSSEXTREME NORD CAMEROUN
VILLAGE MOUSGOUM A POUSS
EXTREME NORD CAMEROUN
CASE MOUSGOUMENTREE DU PARC DE WAZA EXTREME NORD CAMEROUN
CASE MOUSGOUM
ENTREE DU PARC DE WAZA EXTREME NORD CAMEROUN


LES HOMMES PRESQUE INVISIBLES DU GRAND NORD CAMEROUN…

CES LIEUX MAGIQUES DU CAMEROUN QUI SEMBLENT INHABITES ET POURTANT IL SUFFIT JUSTE D OBSERVER
CES LIEUX MAGIQUES DU CAMEROUN QUI SEMBLENT INHABITES ET POURTANT IL SUFFIT JUSTE D OBSERVER

 

Voyager au Cameroun, c’est oublier tous les jours ce qu’avait été la veille, retrouver la jeunesse, goutte à goutte se perdant. Il faut s’éveiller chaque fois avec un regard neuf à Belabo, Gorum, Bamkim, les voir comme s’ils n’étaient pas seulement les éléments d une succession de souvenirs. L’enthousiasme se boit frais !

Peut-être rencontrerez-vous-vous la beauté, la science, la sagesse, sans avoir le temps de les reconnaître ? Nous ne saurons sans doute jamais ce qui passe à portée de nos mains

Parfois vous rencontrerez un village heureux comme le village Idool, et vous serez tenté de vous y arrêtez, d’y déposer définitivement vos bagages. Mais toujours comme des automates, il vous faudra continuer.

 

 

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VISITE AU VILLAGE DES FEMMES AUX CHAPEAUX EN CALEBASSES

0aCameroun166 - Tourou - CopieTourou : Ce village est à la frontière du Nigéria à 35 kilomètres de Mokolo soit environ 2 heures de trajet avec une bonne voiture en saison sèche. La marché du jeudi y est très typique. En guise de chapeau, les femmes portent sur la tête de calebasses rouges ressemblant à des casques.


Dans les pas de l’humanité… VISITE AU SANCTUAIRE KOMA DANS LES MONTS ALANTIKA

Le peuple Koma, réputé pour son mode de vie authentique en zone montagneuse, est unique en son genre. Les Koma, cultivateurs réfugiés dans les Monts-Alantika (« Allah Ntikan » qui signifierait en langue locale « atteint par Dieu seul ») sous la poussée de l’invasion Peulh, ont conservé une civilisation ancestrale, loin des axes majeurs de communication. Dans ce sanctuaire culturel, ce peuple, simplement vêtu de cache-sexe, réinvente chaque jour le feu, grâce à la magie du silex. La température aux Monts Alantika atteint parfois les 5 degrés, et le soleil caniculaire qui s’abat sur ces montagnes constitue en saison sèche, un frein considérable pour l’agriculture. Sel, riz, et autres denrées, sont entre autres des présents qui font plaisir aux montagnards Koma. Il est déconseillé de leur offrir des vêtements, de peur de les acculturer et de contribuer fortement à la dévalorisation de leurs traditions. Destiné aux personnes en très bonne condition physique, ce circuit nécessite beaucoup d’endurance. Un défi sensationnel que tout Homme devrait surmonter au moins une fois dans sa vie pour jauger sa capacité à faire face au danger et à braver les événements les plus périlleux. Dans les Monts-Alantika, les montées ou descentes sont parfois raides, mais chacun pourra le faire à son rythme. Porteurs et pisteurs accompagneront toujours les plus lents comme les plus rapides.

Familles KOMA dans leur environnement naturel perdu dans les magnifiques nonts ALANTIKA au nord du CAMEROUN
Familles KOMA dans leur environnement naturel perdu dans les magnifiques nonts ALANTIKA au nord du CAMEROUN

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