Louise Pascale

Objectifs for hapiness

Se concentre, respirer, visualiser et viser

Quels sont vos objectifs ?

Voici une question qu’on nous pose souvent, que ce soit dans à un entretien d’embauche ou à un premier rendez-vous. Et curieusement, à chaque fois, nous bredouillons ou nous inventons quelque chose pour ne pas paraitre « bête ». Et pourtant !

Selon ma petite philosophie, se fixer des objectifs est l’un des piliers d’une vie épanouie. Parce que vivre sans objectif c’est un peu comme chercher à atteindre une destination inconnue sans carte. On a plus de chance de se perdre en chemin ou encore de tomber sur une horde de loups que d’y arriver.

C’est pareil avec nos objectifs : nous ne risquons pas de les atteindre si nous ne les avons pas clairement pensés. Oui, ne pas définir nos objectifs, c’est les vouer à l’échec un peu comme les bonnes résolutions du nouvel an.

« Vous ne trouverez pas ce que vous ne cherchez pas. »

Confucius

 

Se fixer des objectifs : la méthode selon MSoH

Les objectifs que l’on se fixe doivent remplir un certain nombre de critères si l’on veut pouvoir les atteindre. Voici donc les critères sur lesquels je m’appuie pour définir des objectifs gagnants, réaliser ses projets et m’épanouir dans la vie.

  • Respirez

« Rome ne s’est pas fait en un jour »

Avant de commencer, installez-vous dans un coin tranquille que vous affectionnez particulièrement et respirez. Pensez à cette personne que vous voulez être. Pensez à cette vie que vous désirez vivre. Et lancez-vous. 

  • Se fixer des objectifs sains

Les objectifs que nous nous fixons doivent contribuer à notre épanouissement. Ils doivent nous aider à améliorer les aspects sombres de notre vie.

Au lieu de se dire « à partir d’aujourd’hui, je serai moins gentil », on se dira « je prends la décision de ne plus me faire abuser ».

Ça c’est quelque chose de positif !

  •  Se fixer des objectifs clairs

Le chemin qui nous sépare de notre but peut sembler bien court et pourtant.

C’est pourquoi, nos objectifs doivent rester simples et motivants.

Au lieu de se dire « je suis en surpoids, à partir d’aujourd’hui, je ne mange plus de sucreries et de charcuterie », on se dira plutôt « dès aujourd’hui, je mange mieux ».

  •  Se fixer des objectifs réalisables

Certes notre objectif doit être un défi motivant, mais il ne doit pas être hors de portée. L’idée est de ne pas se décourager en ayant « les yeux plus gros que le ventre » c’est-à-dire en étant trop ambitieux ou trop perfectionniste. Il est toujours préférable de progresser par petits pas, que de viser quelque chose d’immense et de ne rien faire du tout.

Se fixer un bon objectif revient donc à trouver le juste équilibre entre acceptable et réaliste.

  •  Prendre son temps

Je suis contre cette idée qui veut qu’un objectif connaisse une date butoir. Tout simplement parce que si par nos objectifs nous désirons devenir de meilleures personnes pourquoi l’être jusqu’à une certaine date ?

Oui, vous avez toute la durée de votre vie pour vous rendre meilleur.

Si vous avez besoin d’un petit coup de pouce en plus pour rester motivé, sachez qu’il existe des applications très bien faites pour garder le cap de ses objectifs. Je pense par exemple à l’application Goalmap.

 

Télécharger l’application Goalmap pour toujours avoir vos objectifs à portée de main

 

S’épanouir, selon moi c’est améliorer sur tous les aspects de sa vie. Il s’agit de travailler sur sa présence sûrement mais aussi sur la pensée positive sans oublier la définition de la vie et le plus important à savoir le passage à l’action pour vivre notre vie de rêve.

Et comme il est bien connu qu’un objectif bien déterminé et bien défini c’est un objectif à moitié atteint… apprendre à bien se fixer des objectifs, c’est en finir avec cette fâcheuse tendance que nous avons à ne jamais tenir nos bonnes résolutions. C’est aller au bout de ses projets, et participer à réussir sa vie.

 

Alors à vous de jouer! Quel est ce grand objectif qui vous tient particulièrement à cœur? Arrivez-vous à le formuler? Exercez-vous à l’énoncer clairement ! Avez-vous besoin d’outils pour rester motivée? Connaissiez-vous Goalmap?

 

Much love.

L.P.


Le phénomène « revenge porn »

Il y a quelques jours, Rob Kardashian humiliait publiquement son ex compagne Blac Chyna en postant sur Instagram des clichés de cette dernière dénudée pour se venger de ses infidélités. Le petit frère de Kim K risque la prison pour s’être adonné au « revenge porn ». Mais qu’est-ce que c’est exactement le « revenge porn »?

Le « revenge porn » est le fait qu’un conjoint publie des photographies ou des vidéos à caractère sexuels mettant en scène son partenaire (passé ou actuel).

Ce mode de vengeance est devenu un phénomène de société ces dernières années. On se souvient encore des photographies de Nathalie Nkoa certains.

D’où proviennent donc ces images ?

Dans la plupart des cas, les images sont prises avec le consentement de la future victime et sont destinées à rester dans un cadre privé. Elles sont alors réalisée avec soit un téléphone soit un caméscope. Beaucoup de victimes admettent avoir réalisé des vidéos de leurs ébats par amour.

Petite analyse : Quand on n’a aucun amour pour soi, on est prêt à tout pour se faire aimer par les autres.

A qui profite ce genre de vengeance ?

Outre les querelles et les potins, certains sites « people » se sont spécialisés dans la publication de ce genre de fichiers. Il a suffit à Rob Kardashian de télécharger les images sur l’un de ces sites et d’attendre que les personnes connectées à des réseaux sociaux fassent le reste. C’est un véritable business.

Petite analyse : Demandez-vous ce que vous faites sur internet ? Etes-vous connectez pour enrichir les propriétaires des réseaux sociaux ou pour enrichir votre esprit ?

Pour une idée de l’ampleur que peut prendre le phénomène : sur le compte Instagram de Rob Kardashian, on pouvait compter plus de 1000 commentaires par minute après la publication des photos de Blac Chyna.

Que risque le « vengeur » ?

Kevin Bollaert, créateur américain d’un site spécialisé en la matière, encourageait les internautes à lui envoyer des photos de leurs anciennes compagnes. Fervent justicier, il offrait en échange aux victimes la possibilité de voir leurs photos retirées moyennant des sommes allant de 300 à 350 dollars. Kevin Bollaert a finalement dû s’acquitter de près de 4 millions de dollars de dommages et intérêts.

Quant à Rob K, il risque six mois d’emprisonnement et 1000 dollars d’amende.

Petite analyse : Si jamais l’envie vous prenais de vous livrer à ce type de vendetta, sachez que le « revenge porn » est reconnu comme étant un crime dans certains états. Alors renseignez-vous avant.

 

Le monde est rempli de personnes souffrantes de beaucoup de maux. La plupart d’entre elles n’en n’ont même pas conscience. Alors, faites attention aux personnes que vous fréquentez. Prenez le temps de les connaitre réellement et lorsque ce que vous découvrez en elles ne vous plait pas, éloignez vous tout simplement d’elles. Mais plus que tout, sortez de cet état d’esprit qui voudrait que vous ayez l’impression que vous n’existez que si telle ou telle autre personne vous aime.

 


Le dressing chic d’une working-girl.

C’est incontestable : il y a des pièces mode féminines qui sont des basiques, des incontournables et indémodables à avoir absolument dans son dressing. Voici les vêtements essentiels pour une working-girl.

  • Un jean

 

Pas besoin de sortir de l’ENA pour savoir que le jean denim est un incontournable du dressing, un indémodable qu’il faut avoir à tout prix !

Mon conseil : optez pour un jean brut tout simple! Choisissez-le dans une coupe « slim » ou droite, voire légèrement évasée, mais surtout prenez-le foncé et uni (noir, blanc ou bleu).

  • Une chemise légère et ample

 

Pouvant s’associer aussi bien à un pantalon, une jupe (rentrée à l’intérieur bien évidement) ou un jean. Elle est votre meilleure alliée.

Mon conseil : choisissez-la légèrement transparente pour un côté sexy. Portez-la façon « boyish-sexy » en retroussant les manches. Choisissez-la en couleur uni et pourquoi pas avec des motifs (à pois par exemple).

  • Une petite robe noire

 

Rien à ajouter sur ce « must-have »… Tout a déjà été dit. Un parfum à son effigie a même vu le jour chez Guerlain ! C’est LA robe avec un grand « R ». Elle nous rend belle, glamour et séduisante quelle que soit sa forme ou sa longueur. Elle nous sauve la vie quand on ne sait pas quoi mettre (en journée comme en soirée, en hiver comme en été, à 20 ans comme à 50).

Mon conseil : prenez-la à la bonne longueur (soit juste au-dessus des genoux, soit juste au-dessous.

  • Un débardeur « Marcel »

On parle d’un top très fluide, un brin « loose », à larges bretelles, qui ne moule pas nos formes de sirène pour éviter le « trop sexy » ou le « trop vulgaire » (sans parlé du « trop saucissonné »…). Sublime rentré dans une jupe longue, so rock sur un « slim » noir, très estival sur un short en jean , très chic dans un pantalon chino, à pinces ou de smoking : on l’aime et on est si bien dedans !

Mon conseil : le collectionner dans de multiples coloris unis et neutres (blanc, noir, gris, beige, bleu marine…).

  • Un cardigan ou un pull ample

 

C’est la touche parfaite pour apporter un peu de peps et de décalage à une tenue ultra féminine et délicate. Il est possible de le porter sur une robe en dentelle que sur une robe fourreau ou encore un jean associé à une paire ultra-féminine. Il est confortable et pratique.

Mon conseil : Si vous optez pour le cardigan choisissez-le à la bonne longueur en fonction de votre taille et dans une matière adaptée à vos latitudes. Et si vous optez plutôt pour un pull, prenez en un à grosse maille.

  • Un t-shirt à message

On demande à ce t-shirt les mêmes qualités qu’au débardeur marcel. Il est donc important de le posséder décliné en plusieurs couleurs, dont les trois basiques indispensables qui sont le gris, le noir et le blanc. Avec ce trio gagnant vous êtes parées. Combiner le avec le reste de votre penderie pour donner à votre silhouette une allure décontractée ou habillée, tendance ou très classique, boyish ou girly, neutre-minimaliste ou colorée-bariolée.

  • Un blazer

 

C’est la veste qui donne une touche de chic à n’importe quelle tenue. De la robe longue au pantalon de smoking en passant par le jean boyfriend. Le blazer (noir de préférence) va absolument avec tout. Et, une fois que vous possédez déjà l’incontournable blazer noir, amusez-vous à l’acheter dans d’autres couleurs pour varier les plaisirs (parfait en blanc, en gris, en bleu marine, en rouge et même dans des couleurs très flashy, voire fluo !).

  • Un pantalon noir

Après la petite robe noire, icône par excellence de notre garde-robe, il y a le pantalon noir, tout aussi efficace. En journée avec des slippers ou une paire de tennis en cuir blanc, vous pouvez tout aussi bien le porter avec les fameux escarpins ou nos très chères sandales à talons pour un esprit plus habillé. Quelle que soit sa forme, voilà la pièce mode parfaite qui peut vous suivre du matin au soir, quel que soit votre programme et les soirées improvisées : elle sait s’adapter !

  • Une jupe droite

 

On aime son élégance simple. La jupe droite s’accorde avec tout et peut même être essentielle dans certaines professions. On la choisit donc avec soin. Pour plus de féminité, on la préfère crayon mais dans une matière confortable avec de l’élasthanne par exemple et dans des tonalités gris, marine ou noir.

  • Une pièce imprimée

 

C’est cette pièce qui révèle notre personnalité. On opte pour le motif qui nous convient (imprimés floraux, animaliers, ethniques). On joue la carte ultra-colorée ou celle classique en adoptant des motifs blancs ou noirs.

Mon conseil : faire attention aux dimensions du motif et surtout la sublimer en l’associant à des pièces unies.

Dix pièces, dix basiques pour avoir un look chic et raffiné au boulot et même en fin de soirée (pour les accros de l’after-work).


Des vacances attendues et méritées.

Les vacances, cette période que grands et petits attendent avec impatience durant toute l’année.

 

Je suis de ces personnes qui pensent que faire un « break » de quelques jours voire de quelques semaines durant l’année est important. J’associe cette pause au rendement et à la performance des employés, des élèves et même des mamans.

Nous pouvons profiter de cette période pour faire ces petites choses précieuses et essentielles à notre équilibre moral, intellectuel et même psychologique. Parce que oui, entendre crier « maman » dix mille fois par jour peut me rendre folle. Parce qu’avoir une pile de documents posée sur le bureau durant toute une année me donne des envies de suicide. Parce que faire les comptes de la vente de poissons ou de légumes en se rappelant les critiques essuyées durant la journée rend amer.

 

Les vacances sont une évidence. C’est un moment durant lequel on peut s’adonner à certains plaisirs (pour les accros aux régimes profitez-en pour manger du chocolat, des frites… le tout sans avoir mauvaise conscience). On s’éloigne alors du quotidien ennuyeux dans lequel on étouffe. On sort de notre routine. On en profite pour s’offrir un voyage (intellectuel, spirituel et pas seulement physique). On se découvre de nouvelles passions et on apprend ce qu’on ignore (c’est l’occasion pour la génération des femmes androïdes d’apprendre à faire la cuisine, à dresser une table ou un lit, à entretenir un jardin). C’est peut-être le moment pour faire un petit bilan sur sa vie (si tu aimes parler, raconter et rire dans le dos des autres, c’est le bon moment de te rendre compte que tu n’en tires aucune gloire, si tu dépenses tout ton salaire à entretenir ton teint et ta coupe, c’est l’occasion de te demander si tu soignes autant ton image intérieure que celle extérieure). Mais plus que tout, c’est une période de partage, d’amour et de rires.

 

Il y a néanmoins un souci… Tout le monde a-t-il droit à des vacances ?

La réponse est « non ». Les vacances c’est un privilège que seules les personnes qui fournissent des efforts durant l’année peuvent se permettre. D’ailleurs, il n’y a que ceux qui sont actifs qui peuvent connaitre le goût véritable d’une pause annuelle.

Alors si tu es conscient que depuis le début de 2017, tu ne t’es pas dit une seule fois que 24 heures c’est insuffisant pour faire tout ce que tu as à faire durant une journée alors tu ne mérites pas de vacances.


Mantra Daily: ces petits mots tout doux.

Pour affronter le quotidien bien trop chargé quoi de mieux que de visualiser chaque matin un « mantra » de pensées positives.

Vous avez sans doute entendu parlé des biscuits chinois (miam… ) qui renferment quand on mort dedans un message. Ils sont certes industriel et par conséquent les messages ne nous sont pas personnellement destinés mais c’est toujours un plaisir de se retrouver avec un petit mot du genre « Souris, tout le monde te regarde » ou encore « Plus tu es grosse, plus tu es difficile à kidnapper alors mange un biscuit ».  Ces petits mots dont je vous parlent sont des cousins de ceux que l’on retrouve dans les biscuits chinois… Sans le biscuit.

Les mantras sont des petits mots tout doux, à imprimer et à découper pour se promettre à soi-même de passer une journée remplie de bonnes vibrations, de couleurs et de fous rires. Ils nous boostent. Nous donnent force, courage et détermination.

Pour un maximum d’efficacité, vous pouvez les coller (comme des post-it) ou les accrocher sur un frigo afin que vous preniez conscience que vous êtes magnifique dans votre petit 46, sur le miroir de votre salle de bain pour vous rassurer que votre mascara vous fait des yeux de biche, sur votre mur d’inspiration « mood-board » pour méditer le temps d’une page de pub , ou encore à parsemer dans votre agenda, pour positiver au fil des mois.

Pourquoi commencer la journée avec un mantra ?

  • Parce que vous êtes juste top
  • Parce qu’avec ces petits mots d’amour vous serez des « wonder women » (même si cette case-là est déjà cochée chaque jour de l’année !)
  • Parce qu’il est bon de s’imprégner de bonnes énergies et d’être inspiré par du positif de bon matin

 

Ps : Tout le monde peut en profiter (même les enfants) à condition d’adapter le message à l’âge de la personne concernée.


#1: Rituel du coucher

Crédit photo: Google.com

 

 

Il y a quelques temps, j’ai décidé de profiter pleinement de mes nuits afin d’être plus apte à affronter mes longues journées.

J’ai alors pris de nouvelles habitudes et adopter une routine simple et efficace.

Voici mon petit rituel du coucher.

#1 : Manger léger

Pendant la nuit, notre corps, notre peau et tout notre organisme en profitent pour se régénérer et nous permettre de repartir du bon pied le lendemain. Seulement, si on mange des produits difficiles à digérer, notre corps aura plus de mal à travailler et notre repos s’en trouvera perturber.

La solution : on dîne léger, on évite de manger gras et épicé, on proscrit café, thé et jus de fruits souvent trop sucrés et excitants.

#2 : Méditer

S’arrêter seulement 10 minutes par jour pour ne rien faire d’autre que fermer les yeux et se recentrer sur soi-même, ça change tout.

La solution : on arrête tout et on prend ce temps dédié rien que pour nous et notre bien-être. On chasse les pensées parasites et on ne pense qu’à l’instant T. On respire profondément pendant minimum 5 minutes en visualisant ce qu’il y a de meilleur.

Pour les personnes ayant une vie religieuse, on peut en profiter pour en faire un moment de prière.

#3 : Tenir un journal

Il parait que écrire soulagerait notre esprit et améliorerait également notre système immunitaire.

La solution : on court s’acheter un joli carnet qui nous inspire par sa couleur, ses dessins ou la texture de ses pages et on se trouve un coin tranquille pour écrire.

La solution: Chaque soir, on trace les grandes lignes de la journée suivante.

#4 : S’étirer

On ne s’en rend pas toujours compte, mais tout au long de la journée notre corps encaisse de plein fouet les petites contrariétés, le stress et autres tracas du quotidien. Nos muscles finissent par se crisper et se tendre, on oublie souvent de respirer et la migraine n’est souvent pas loin. Il n’y a rien de pire pour se coucher.

La solution : avant d’aller dormir, il est fortement conseillé de s’étirer pendant quelques minutes afin de se libérer des tensions et toxines emmagasinées toute la journée. On en profite pour marcher et écouter la nature ou pour faire quelques brasses. Pour ceux qui ont des enfants, profités-en pour faire une partie de cache-cache.

#5 : Réguler sa température

La nuit, pendant notre sommeil, notre température baisse. Ainsi, avant d’aller dormir, on savoure un bon bain ou une douche gourmande pour détendre nos muscles.

La solution : on transforme sa salle de bain en temple du bien être en prenant un bain ni trop chaud, ni trop froid. Les plus téméraires peuvent prendre une douche froide.

#6 : Lire

La lecture est un excellent moyen pour se détendre. Six minutes suffisent pour nous détendre et réduire notre stress de 68 %.

La solution : on se fait une petite pile de livres à côté de son lit pour en avoir toujours un à portée de main et juste avant de dormir on lit quelques pages.

#7 : Eteindre les appareils (télévision, ordinateur, téléphone, etc.)

La lumière de nos écrans, les notifications intempestives et les inépuisables informations en tout genre des réseaux sociaux ont de quoi nous maintenir éveiller longtemps. Les écrans de nos tablettes et leur lumière bleue empêcheraient notre cerveau de sécréter la mélatonine, l’hormone du sommeil.

La solution : pour les plus addicts, on règle nos appareils afin que la luminosité de l’écran passe du bleu au jaune (moins agressif pour le cerveau). Et pour les plus courageux, on met tout simplement son téléphone sur « ne pas déranger ». Ainsi, si une urgence se fait sentir (après plusieurs appels simultanés d’un même numéro) notre téléphone se réactive et nous prévient. Zéro stress pour ceux qui auraient peur de louper un coup de fil très important.

#8 : Bien s’hydrater

Buvez-vous assez d’eau toute la journée ? Une personne de taille moyenne perd chaque jour jusqu’à 2 litres d’eau. Or, comme le corps est composé à 80 % de ce précieux liquide pour bien fonctionner, il est impératif de boire suffisamment.

La solution : on boit régulièrement tout au long de la journée pour éviter migraine et coup de fatigue mais il est aussi important de boire un grand verre d’eau avant d’aller se coucher pour laver son organisme – surtout si on a bu quelques verres au dîner.

#9 : Se coucher tôt

Il n’y a rien de plus bénéfique pour se reposer que de se coucher à la même heure chaque jour. Le corps et le cerveau ont besoin de rituels rythmés.

La solution : on essaie de se coucher avant minuit car ce sont les heures les plus propices au repos.

Alors, avez-vous une routine pour le coucher ? Si oui, partagez-la avec nous sinon, qu’en pensez-vous tout simplement ?

Lulu…


Etre « journaliste » chez le lion

Ce matin, j’ai découvert un article intéressant sur un des « hommes forts » de l’Afrique.

Le billet dont il est question ne faisait pas du « Roi de la savane » son sujet. Son objet était tout autre. Il présentait l’analyse du discours du « Lion indomptable » par la pléthore de journalistes camerounais.

Je tiens à préciser que Paul Biya ne m’a pas déçu. Il aura au moins agit comme tout le peuple le pensait en faisant ce discours. Excusez-moi de ne pas employer le terme « Excellence » pour les têtes du continent. C’est juste que à travers mon éducation, mon dictionnaire Larousse, mes lectures et ma culture, j’ai compris que ce terme n’est utilisé que pour ceux qui excellent. Bon, j’avoue nos hommes politique excellent dans la médiocrité, le mensonge. Peut-être méritent ils alors ce sésame. Pour eux, je l’écrirai avec « e » et non « E ».

Je m’égare du sujet là. Ne m’en voulez pas, c’est qu’ils sont si distrayants.

« Les Experts Yaoundé« *. Le titre à susciter en moi de la curiosité. Je me suis régalée, aucune déception. Une question me brûlait les lèvres: « pourquoi les journalistes font cette fausse analyse du discours présidentiel? » Et au sortir de ma lecture, l’inspiration!

Au Cameroun, le métier de journaliste n’a pas sa place. Pour rentrer dans ce milieu très fermé il faut être soit du Centre, soit le « cousin du cousin de la grande tante de un tel »*. Vous l’aurez compris, au « pays du Lion chat », le salaire n’est pas le seul fruit du travail. Il peut être celui de la chance. La chance d’être né dans l’ethnie « reine »* du moment. La chance d’avoir le même gêne qu’un tel journaliste. Même si le dit gêne a été brassé et filtré au point de ne même plus exister à l’état de traces ou de poussières.

Si vous n’êtes pas chanceux de nature, tout n’est pas perdu mes amis. Après tout même Donald* a souvent connu des moments heureux En écartant bien les jambes vous pourrez aussi vous frayer un chemin dans cet univers et devenir la prochaine « Nadine Patricia Mengue »*. Encore faut-il rencontrer un certain « Gervais Mendo Ze »* vous dites vous! Mais non, c’est devenu un peu moins compliqué, ou plus facile. Figurez-vous que même le caméraman peut après la livraison de votre entre-jambes vous embaucher et alors, grimper les échelons ne sera qu’un jeu d’enfants. Il suffit d’ouvrir encore plus les jambes pour ses supérieurs. Aujourd’hui, cette technique n’est plus secrète. D’ailleurs même vos abdominaux, vos pectoraux, vos atouts de « mâle »peuvent vous ouvrir ces portes. Ils aiment tous dans cet univers. Donc que vous soyez une Nadine ou un Foly* Paul vous pouvez tentez votre chance si le coeur vous en dit.

Il y a aussi l' »investisseurs ». Celui qui du jour au lendemain commence à mener une lutte acharnée pour redorer l’image du « Pape et de ses cardinaux ». Il commence par vous casser les oreilles dans le quartier alors qu’on est loin des périodes électorales. Ses armes? Un t-shirt portant en imprimé le visage fripé du lion chat, des discours de « bar » car il va s’en dire qu’il n’a aucune instruction. Ses parents auraient voulu en faire un maçon, un électricien mais lui, il se sent investi par le « devoir d’un bon camerounais » à savoir: boire un casier de « 33 » bien glacées (car ils aiment quand elle transpire aux contact de l’air miséreux ambiant celle-là). Ceci accompagné d’un bon « soya » très épicé en ayant une main sur la fesse de la serveuse ou de la tenancière du maquis et faisant un karaoké. Il connait toutes les chansons de Lady Ponce, il connait la « position 74 », il sait « mettre l’eau dans le coco ». Mais il sait aussi que en menant sa campagne pour Paul et ses compères, il se peut que après un certain temps, un député du RDPC habitant le quartier le remarque et lui offre un poste quelque part dans les bas fond de la CRTV.

Voilà comment on devient journalisme dans « l’Afrique en miniature ».

On n’a pas besoin de têtes pensantes. Les licences en communication, les Masters en français, les doctorats en journalisme… surtout pas. On a pas besoin de l’oeil critique, de vrais analystes et leurs vraies analyses .

Après tout, qui êtes vous pour pensez? Ceci n’est réservé qu’à un seul homme.

Etre journaliste au Cameroun c’est être la femme du numéro 1 du pays. Numéro 1 et non numéro 9. Une femme très soumise de surcroit, une « vraie femme » africaine. Pourquoi une femme? Tout simplement parce que en Afrique, les devoirs d’une femme sont les suivants: défendre son mari envers et contre tout. L’élever aux yeux du monde même quand il lèche le sol tant il est bas. Rester quand tout le monde lui tourne le dos et s’en va. Tout sacrifier pour lui comme une adolescente à ses premiers amours. Et même quand elle le trompe, ou en a le désir, elle reste la parfaite maitresse et épouse pour sauver les apparences.

Sauf que le journalisme n’est pas un mariage mais un métier. Sauf que nous savons que l’éducation au Cameroun se porte mal. Sauf que Boko Haram continue à faire peur, à terroriser. Sauf que l’agriculture au Cameroun est à son point le plus bas. Sauf que le prix des produits alimentaires ne cesse d’augmenter et les paniers des ménagères d’être de plus en plus léger. Sauf que le développement ne se fait pas de façon équitable entre toutes les régions du pays. Sauf que on meurt encore de Paludisme au « pays des lions ». Sauf que Paul Biya n’est pas éternel quoique sa longévité commence à énerver plus d’un.

C’est triste de devoir se référer à des sources extérieures pour savoir comment se porte la politique dans son pays. Toujours lire à travers le regard des autres pour voir une tâche sur son propre chemisier. C’est une douleur de se rendre compte que les paroles qui nous berçaient, ces paroles qui sortaient de la bouches de nos frères, n’étaient que des mensonges. Voir tout un réseau de média déformer la réalité sans aucun scrupule afin d’abrutir un peu plus chaque jour toute une Nation. Toujours apprendre dans quelle situation nous vivons grâce aux études et aux statistiques de l’ONU, du FMI… Oui, c’est clair, en Afrique, on mendie pour du riz, pour des médicaments, pour des fonds mais aussi pour la vérité.

Alors, avant de devenir ces journalistes de pacotilles alignant des chapelets de fautes à l’écrit comme à l’oral, avant d’appartenir au harem du lion en carton, interrogez vous sur l’essence du mot « journaliste ». Et là, je suis sûre que vous serez de ceux dit de l’opposition ou peut-être juste des maçons, des agriculteurs.

La CRTV est la première chaîne nationale au Cameroun, la supposée numéro 1et celle que personne ne suit plus.

 

 

Attention: Ceux de l’opposition ont souvent un peu plus de cran et bien qu’appartenant à des partis politiques d’opposition, on les préfère. On les tolère. Oui, au Cameroun, le journalisme est très lié à la politique. Alors si d’aventure vous vous retrouvez du mauvais côté, ne vous étonnez pas de faire un jour l’objet d’un mandat de je ne sais quoi car chez les lions, point de liberté d’expression. Un seul homme rugit et les autres miaulent.

 

Petit lexique:

* Pour lire « Les Experts Yaoundé » cliquez sur ce lien:https://lepetitecolier.mondoblog.org/2014/12/31/les-experts-yaounde/#comment-5651

* « cousin du cousin de la grande tante de un tel » Dans les pays corrompus c’est ainsi que les choses marchent. On est tous cousins de quelqu’un, de près ou de loin mais encore faut-il que le dit cousin soit bien inséré dans la société pour en bénéficier sinon, il devient juste un cousin Aristide, sans valeur.

* L’ethnie « reine » est celle à laquelle le chef de l’Etat appartient. En Afrique c’est bien connu quand quelqu’un connait une ascension, sa tribu est de la partie. Même quand il y a rien à en tirer de bon.

* Donald est un personnage de Disney. Pour tout vous dire c’est un canard, super malchanceux. Il est un ami de Mickey (très chanceux le Mickey) et le neveu de Picsou. Vous voyez qu’on est toujours le « quelqu’un de quelqu’un ».

* « Nadine Patricia Mengue » est une ancienne journaliste animatrice camerounaise à la CRTV devant son insertion dans ce domaine à ses charmes et ses relations dont l’une avec « Gervais Mendo Ze ».

* « Gervais Mendo Ze » ancien Directeur Général de la Cameroon Radio Television (CRTV).

* Foly* de son nom Foly Dirane (nom d’artiste ou nom réel je n’en sais rien) est un animateur camerounais au talent incertain. Mais il est un des meilleurs vous dira la CRTV (tiens tiens, encore la CRTV).

 


Mauvaise et malheureuse année mon Afrique

Dans quelques heures, nous dirons bonjour à 2015. Un des rares évènements auquel même l’Afrique est conviée.

Il faut l’avouer, nul besoin d’un budget pour cela. Le ciel et le calendrier s’en chargent pour nous. Ils nous offrent ce cadeau.

Au fait, en quoi cette année sera t-elle nouvelle pour notre contient à l’esprit miséreux et aux moeurs aussi légères que les cuisses d’une des courtisanes de Henri IV? Nous la vivrons avec le sentiment de « déjà vu ». Oui, nous avons déjà vu la famine en 2014, et même en 2013. En parlant de famine, elle sévit depuis des décennies sur nos terres pourtant fertiles. Quel paradoxe! Les guerres tribales seront une fois de plus à la une de l’actualité du continent, elles côtoieront les détournements de fonds publics de nos chers gouvernements, les assassinats politiques, les privatisations de ce qui nous restent d’entreprises et les éternels discours de nos chefs d’Etat. Pour les plus chanceux, le visage de celui qui tient le pays d’une main de fer aura changé sinon, il faudra attendre sa mort pour voir sa tête remplacée par celle du cousin au mieux ou celle du fils au pire.

Parlant du discours en lui même. Qui les écoute encore ces mensonges? Très peu de personnes ou alors des vieillards sourds et aveugles qui ne s’en rendent pas compte. Normal, on dirait un enregistrement du tout premier discours pour l’occasion. Les mêmes mots, les mêmes promesses. Il n’y a que l’apparence du bon monsieur qui a changé. Ah, c’est vrai la mode à laquelle il est vêtu est celle de l’occident. Elle change à l’arrivée de chaque nouvelle saison et chaque année. Il est donc normal que ce costume soit si différent de celui dans lequel il avait déjà tant de mal à cacher son ventre rempli des millions de la nation quand il en a eu pitié sinon des milliards quand il est « un chef d’Etat africain qui se respecte ». Et comme depuis des décennies, le dit discours est ponctué par cette phrase qui n’a jamais su trouver un quelconque sens à nos oreilles encore moins dans nos esprits « bonne et heureuse année« . Après tout un discours de fin d’année sans n’en serait pas un.

En quoi 2015 sera une bonne année pour nous africains? Arrêtons nous à bonne car heureuse, on sait qu’elle ne le sera aucunement. Nous souffrirons d’avantage.

En 2015, l’Afrique restera ce qu’elle est. A savoir cette pièce de théâtre dont les acteurs ne sont que les maux les plus sombres de la planète. On pourrait même croire que nous aimons ces petits drames qu’ils nous offrent. Quand je dis « nous » je ne parle pas de vous qui mourrez de soif, ou qui succombez de suite d’un paludisme dans des hôpitaux. Que dis-je là? Dans les cimetières pour vivants qui nous servent d’hôpitaux. Ou encore de vous à qui on ment que l’école primaire est gratuite pour tous. Ni de vous qui vivez avec de l’eau au niveau des genoux, encore moins de vous qui bien que diplômés depuis 10 ans, êtes encore sans emploi. Non, je ne parle de pas de vous qui à mon sens constitués la vraie Afrique, celle du coeur et des valeurs même si souvent faute de moyens de subsistance vous devenez des bandits de grands chemins. Je ne parle pas de vous qui avez le sourire lorsque vous avez pu manger un épi de maïs. Je ne parle pas de vous qui survivez au lieu de vivre. Je parle de ces vautours, de ces rapaces, de ses oiseaux de malheur à la cervelle trop riche de cochonneries en tout genre et à la bedaine trop remplie. Des ces hommes qui ont fait du pouvoir leur avoir et de nos biens les leurs.

Oui, ils aiment ça. Voir le petit peuple souffrir et se mourir. Ils aiment le faire agoniser et dans leur glace, ils se voient tels des aigles parce que à l’approche des périodes électorales, ils nous auront offerts quelques graines de riz, quelques heures d’électricité et un peu d’eau pour faire passer la pilule.

Et avec ça, ils nous souhaitent une bonne et heureuse année. Depuis toujours, ils nous la souhaitent.

Vous voulez que l’année 2015 soit bonne et heureuse pour nous?

Alors, donnez nous de la dignité, donnez nous ce qu’on mérite en tant qu’êtres humains. Donnez nous du pain et un endroit où dormir à l’abri des moustiques. Apportez nous un peu de chaleur. Faites ce pourquoi on vous a élu si vous avez été élu sinon, comportez vous en homme d’Etat après tout, personne ne vous a obligé à prendre le pouvoir et à vous en accaparez.

J’ai 25 ans. 25 années que je vois offrir au peuple africain les mêmes promesses à travers un discours de plus en plus assommant. 25 ans que mes frères et soeurs, mes parents se meurent sur un continent riche en hommes et en ressources. Et cette année, ils clôtureront tous leur discours comme toutes les autres fois. Avec une ribambelle de résolutions, une liste exhaustive d’objectifs et des ambitions démesurées. Et vous penserez encore qu’ils ont eu les yeux plus gros que le ventre. Mais moi, aujourd’hui, je pense qu’ils nous mentent tout simplement.

Ils feraient mieux de nous souhaiter une mauvaise et malheureuse année 2015 pour changer et peut-être là, nous seront chanceux ils ne tiendront pas leurs promesses et elle sera alors bonne et heureuse notre année.

Mais c’est un peu trop beau pour devenir réalité alors sans vouloir jouer les prophètes mes frères, en 2015, l’Afrique sera toujours fidèle au rendez-vous de la honte, de la pauvreté, de la famine, de la tristesse, des grossesses précoces, des viols, du braconnage et des pillages, de la mort, de la maladie, de la corruption, des guerres, des retards en tout genre. Et malgré tout cela, se sera toujours le continent du sourire.

 


Qui suis-je?

Bonjour et bienvenu dans mon univers. Dans votre univers.

 

Je suis une africaine, tout ce qu’il y a d’africain mais je me sens aussi bien en Afrique que sur n’importe quel autre continent. Du coup, je n’ai pas les cheveux crépus, j’adore manger asiatique mais je porte en moi certaines valeurs africaines qui selon moi sont importantes en tant qu’être humain.

Mon univers c’est tout ce qu’il y a de plus simple. Il s’agit d’une bulle plutôt colorée et remplie de vie.

Je vais partager cela en vous présentant ma philosophie, ma façon de voir le monde, de comprendre certaines choses. Et comme je suis une grande bavarde, j’aborderai tous les sujets qui me passeront par la tête: Afrique, politique, relations humaines, cuisine, beauté, nature, diététique, savoir-vivre etc.

J’espère que vous trouverez ici des réponses à vos questions, que vous apporterez des réponses aux miennes.

Merci.

 

Louise Pascale