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CONTROLE SANITAIRE ET VETERINAIRE

Ma deuxième galerie est consacrée au service sanitaire et vétérinaire au Cameroun. Ces images sont muettes mais parlent beaucoup. Elles nous démontre comment et dans condition se déroule le contrôle sanitaire et vétérinaire au Cameroun dans son ensemble.



Les enfants travailleurs

Ils ont de 7 à 15 ans et sont de plus en plus nombreux à délaisser les bancs de l’école  pour travailler. Certains restent à la campagne pour surveiller les troupeaux ou s’occuper des travaux des champs. En ville, on les croise dans les rues un plateau sur la tête transportant des charges, faisant des courses. La plupart d’entre eux se livrent à ce qu’on appelle des petit boulots.

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Seul en brousse, le jeune berger Bouba court derrière un troupeau d’une trentaine de têtes qu’il peine à mettre sur la bonne piste qui conduit au pâturage.
Âgé de 9 ans, ce jeune berger bororo a abandonné l’école très top, en classe de cours préparatoire, pour devenir pastoureau comme son frère aîné.
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Tel ce petit Bouba, ils sont de plus en plus nombreux, les jeunes âgés de 7 à 15 ans, qui ayant abandonné les études très tôt, se retrouvent dans les brousses bâton à la main, ou dans les champs : machette ou houe à la main, ou dans les rues des villes camerounaises un plateau sur la tête transportant des charges .
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Ici, nous avons deux jeunes apprentis en électricité automobile. Celui au premier plan est déjà performant en dépannage automobile; tant en électricité qu’en mécanique. D’après son patron et formateur, il est fin prêt à entrer dans le marché du travail.
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Et pourtant, ce jeune qui rêve de devenir patron d’un grand garage automobile dans le futur ne sait ni lire, ni écrire. Lorsqu’on lui demande comment il compte exploiter les rapports de ses employés, ou consulter des documents de travail lorsqu’il sera propriétaire d’un garage, il ne manifeste aucune inquiétude. Comme tous les autres jeunes illettrés, il répond : « Beaucoup de patrons bamilékés* n’ont pas été à l’école et d’ailleurs ce n’est pas seulement avec l’école qu’on réussit dans la vie».
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Le Gajec, Groupe d’initiative commune des âmes jeunes du coin qui œuvre entre autres à sensibiliser les jeunes sur l’importance de l’école se mobilise pour les faire changer d’avis.
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Un jeune pousseur, d’environ 11 ans, en plein centre-ville. Fatigué, il s’arrête un instant devant une station-service pour souffler. On le voit concentré sur un bout de papier. Il semble le lire, mais de près on constate qu’il admire plutôt les dessins. D’ailleurs, ce jeune ne maîtrise pas assez bien la lecture. Et pourtant, il vient d’abandonner les études en classe de cinquième pour venir pousser à Bafoussam. Comme lui, ils sont nombreux à abandonner les bancs faute de moyens, et surtout de motivation, pour travailler.
PAGE 18D’après Douanla Boris président de l’ONG Enfance joyeuse « …Tout commence généralement au début de la nouvelle année scolaire lorsque après des vacances pleines d’activités à la recherche de quoi assurer la scolarité, ces jeunes, séduits par le grand profit tiré de ces vacances, abandonnent naïvement les études pour entrer pleinement et prématurément dans la vie active. Il existe aussi ceux qui à force d’associer les études et le travail, finissent par préférer naïvement l’argent à l’école.
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Dans les rues de nos grandes villes, Yaoundé, Douala, Bafoussam… on rencontre davantage les enfants travailleurs, généralement commerçants ambulants. La majorité de ces jeunes sont originaires de l’ouest du Cameroun. Cette région de forte densité avec une population jeune et très dynamique est  l’une des plus riches du pays et de ce fait généralement exclue des aides humanitaires… »


FUNÉRAILLES A L’OUEST DU CAMEROUN

SNovembre approche et le peuple de l’Ouest Cameroun s’apprête à entre dans une longue période cruciale de l’année. C’est la période des funérailles.
Tout commence l’avant dernier mois de l’année et pour finir juste au début de la saison de sèche, pour finir en Mars de l’année suivante juste au début de la saison pluvieuse.
Depuis des décennies, cette cérémonie funéraire organisée à la mémoire d’un défunt est une tradition très respectée chez les Bamiléké (Peuple majoritaire de l’Ouest Cameroun après les Bamouns). Des fils aux arrières petits du défunt, c’est l’occasion pour chaque d’eux de rendre un dernier et vibrant hommage à leur disparu.
SA l’approche des funérailles de son père décédé en Juin 2010, Madame Kenne et son époux viennent de réunir une dernière fois ses fils et petits fils pour une dernière mise au point. Après la distribution des billets d’Invitation aux amis et connaissances de la famille, cette sexagénaire et ses proches s’apprêtent à vivre un long moment difficile.
120727_151042Car si les funérailles sont un moment de fierté, c’est aussi long moment de stress dû à l’organisation, mais aussi un instant de forte dépense à la fois pour les organisateurs et leurs amis et connaissances qui doivent les assister financièrement ou matériellement et pour les plus intimes, l’assistance physique dans les préparatifs est d’une grande importance.
P1150172Alors que quelques ressortissants de l’Ouest pensent qu’il serait mieux de Bannir cette cérémonie car trop dépensière, d’autres pensent eux à la transformer en un grand festival des peuples Bamilékés. Pour ces derniers, cette tradition qui donne lieu de rencontre pour certains et de retour aux sources pour les autres, est une richesse culturelle et touristique à préserver.
SIls trouvent qu’il sera mieux de réfléchir à la rentabiliser d’avantage au profil des organisateurs, des médias… D’ailleurs, il n’est pas rare de trouver à titre publicitaire sur les billets d’invitation, les t-shirts ou les pagnes, les banderoles des funérailles quelques logos et slogans des marques et entreprises.


LE PATRIARCHE DU VILLAGE BAMOUGONG

P1170936Ses 109 ans sur le dos ne semblent pas peser sur lui. D’ailleurs, son sourire en dit d’avantage. Né vers 1905 à l’Ouest du Cameroun dans le Département de la Menoua, Papa Kiampi s’est trouvé dans le village Bamougong dans le département des Bamboutos où il s’est établi il y a un siècle aujourd’hui. Pour la petite histoire, c’est en fuyant les allemands qui à l’époque contraignaient les peuples colonisés aux travaux forcés que ces parents se sont retrouvés dans les Bamboutos.
P1170942Depuis 1997, il est devenu le dernier vivant de sa génération. Et pourtant, en dehors d’une blessure au pied droit qui l’empêche de bien marcher depuis le mois de février 2014, il dit être bien portant dans sa peau.
P1170920Sa vision et son audition moins nettes qu’il y a quelques années ne sont pas un problème pour lui. A quelques mois de ses 110 ans, il est plutôt très heureux d’avoir vu toute une décennie défiler devant lui.


LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE

Les pays d’Afrique Équatoriale peuvent encore se vanter d’avoir une forêt qui dans très peu de temps cédera place au désert. En entendant le vieux Bouba du Grand-Nord Cameroun parler d’un Septentrion qui avait encore dans les années 1900-1910 une forêt de type tropical mais qui donnait quand même un sourire à la population de ce côté et qui est aujourd’hui presque désert, on peut image un Grand-Sud Cameroun riche en forêt semblable à au Grand-Nord actuellement sec… Mais si ces pauvres pays qui comptent beaucoup, (Malgré la mauvaise gestion de ce secteur), sur le bois, venaient à renoncer, ils ne s’en sortiront pas. Pourtant, ça sera bien beau pour nous et pour ceux-là même qui sont des véritables responsables du changement climatique. Mais après ce qui s’est passé là-bas en Copenhague, on peut dire que ces gens se moque vraiment de nous les pauvres du Sud.FORET


France-Cameroun : un couple stérile

Au début du vingtième siècle, monsieur France de passage au golfe de Guinée rencontra sur son chemin une belle dame de la famille Afrique, nommée mademoiselle Cameroun. Il s’en éprit éperdument : un vrai coup de foudre. Les deux tourtereaux ne voulaient plus se quitter et décidèrent de se marier.

 

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Suivant la tradition, M. France accompagné de sa famille Europe, versa la dot auprès de la belle famille Afrique et ensuite officialisa leur mariage devant Monsieur ONU le maire de la Terre. Après plusieurs années d’union, ne voyant aucun enfant issu de cette union, on se demande s’il n’y a pas un problème d’infertilité dans ce couple ? Si oui, qui des deux mariés est donc stérile ? En tout cas, nous espérons que ce n’est pas dame Cameroun. Impossible;  il se raconte partout dans l’arrondissement Terre que cette jolie dame séduisante aurait commis le péché d’adultère avec monsieur  Chine. De cette relation seraient nés plusieurs enfants qui sont : Barrages de Lagdo, Palais des congrès de Yaoundé, Hôpital Gynéco- Obstétrique de Yaoundé, Palais des Sports. Et il semblerait que cette dame attend encore un enfant du même géniteur.

Dame Cameroun est donc bien fertile. Faut-il crier que M. France est le stérile du couple ? Surtout pas, car il se dit de ce côté qu’au début de leur union, ils ont eu quelques enfants qui n’existeraient plus. Ayant appris que sa femme avait des enfants avec quelqu’un d’autre, M. France n’a pas traité cette dernière de prostituée.  Non, il a trouvé mieux en traitant les enfants de bâtards dont l’avenir serait incertain. Mais nous, vu l’état de ces gamins, nous pensons que son mari était tout simplement jaloux

Esprit occidental, monsieur France ignorait que chez les Bantous, l’enfant est la chose la plus importante dans un couple. Lui, il se contente seulement d’exploiter la beauté de sa femme qui aujourd’hui estime qu’un divorce serait mieux pour eux. Et nous pensons que dame Cameroun raisonne parfaitement bien. Un divorce, c’est ce qu’il faut. Le mariage Cameroun-France doit prendre fin afin que M. Chine qui aime bien dame Cameroun l’épouse en toute tranquillité. Oui. En se mariant, monsieur Chine et madame Cameroun feront beaucoup d’enfants, car la famille Asie aime elle aussi les enfants comme la famille Afrique.


LE COQ DE MON GRAND PERE

COQMon grand-père avait un coq. Un oiseau pas comme les autres de sa famille. Il bavardait beaucoup et avait toujours à dire même quand le silence est nécessaire.Le jour où je fis sa connaissance, il était midi au village et il n’avait encore rien mangé. Dans la cours de la petite concession du grand-père, on l’entendait …chanté à tue-tête loin dans les caféiers. Pour une première fois, l’on se trompait facilement en pensant qu’il s’agissait d’un orphelin égaré dans les champs. Pourtant, c’était Pimpomard le coq de mon grand-père qui se plaignait comme d’habitude de ventre vide. Ce chant n’était pas le cocorico que nous connaissons tous ; mais plutôt un cri de détresse. Si paresseux, il attendait certes comme tous les mâles, que les nombreuses poules qui tournaient autour de lui lui donnent à manger. A force de l’écouter, j’avais fini par apprendre aussi cette chanson donc en voici un extrait:
Pauvre oiseau de mon maître.
Idiot de moi en chemin tordu.
Malade mental d’été ensoleillé et d’hiver glacière.
Pourquoi la misère m’a-t-elle choisi ?
Orphelin du bonheur sur terre
Mes jours ne connaissent que peine
A quand la joie dans mon cœur ?
Rêves transformés en cauchemars
Dieu au secours du pauvre.
Au début, je ne compris pas très vite la signification de son nom ni même l’origine. Pourtant, son nom voulait dire celui qui se plaint beaucoup de ses souffrances, évidemment de la communauté de ceux-là : Pimpomard, le nom et les cris des êtres qui se plaignent beaucoup… Et justement, leur chanson porte leur nom.


LA POLITIQUE DU VENTRE

POLIMon grand-père disait toujours qu’il reconnait quand ses coqs ont faim. Il n’avait pas besoin de programmer leur régime alimentaire. Lorsqu’ils avaient faim, ils chantaient à tue-tête. Il ne s’agissait pas de ce cocorico que nous connaissons tous; mais plutôt du cococo-roco. Ce cri de faim semblable à celui des opposants camerounais. Et lorsque Grand père leur donnait à manger, ils arrêtaient ce cococo-roco à l’instant même. Tout comme ces coqs, les opposants camerounais bavardent haut et fort. Ils font du tapage. Et lorsqu’ils sont appelés aux affaires, ils oublient tout et s’alignent derrière le partie au pouvoir.
Les exemples sont là. Qui est ce Monsieur occupant le poste du Ministre de la Communication? Hier, il était corps et âme avec l’opposition mais depuis son arrivée aux affaires, il n’a pas tardé à s’aligner derrière le partie au pouvoir.
Certes, c’est un coq qui chantait et notre grand-père a écouté ses cris de detresse. C’est quel echec pour l’opposition camerounais si jamais ils sont de même!


A LA MEMOIRE DE CES JEUNES-LA QUI TOMBÈRENT POUR RIEN

MEMOIRELe 27 Fevrier 2007. C’était à Douala, comme toujours, que le feu a été allumé par les jeunes affamés. Puis, activé à Mbouda, Bamenda, Buea… ce feu se propagea rapidement vers Yaoundé où ses flammes atteignirent environ plus vingt mètres de hauteur.
Ils avaient faim ces jeunes camerounais. Rien de plus! Réclamèrent tout simplement leur pain volé par les bandits de la République. Confondus aux voleurs, ils se cachèrent derrière des choses obscures pour raconter du n’importe quoi. Comme quoi, ils sont matérialisés par les « apprentis sorciers ». ils envoyèrent alors leur gens tirer sur les pauvres jeunes comme des chasseurs tirant sur les bêtes du Dja. Beaucoup moururent et d’autres furent arrêtés et jetés en prison où ils peinent comme des diables. Il y a deux ans que cela se passa. C’était au Cameroun le pays de nos grands papas. Aujourd’hui, en souvenir de ces jeunes frères, prions pour eux…
C’était un exemple. Un bon exemple. Pour que le Cameroun ne s’enfonce pas définitivement dans cette eau souillée, la jeunesse doit faire ce qu’elle peut. C’est pas dans les chambres qu’on obtiendra ce qu’on veut.
Non, le Cameroun, ne sombrera pas dans la tragédie africaine.


LA FOLIE EST PARFOIS BONNE

LE FOUConneries! Hummm…
C’est fou! Oui! Cet enfant est fou mais il a réussi Mardi denier à arracher un 50000 f cfa à une grosse pointure camerounaise après l’avoir offert un instant d’humour. Mais ce qui a plus intéressé, c’est le message que transmettait cet gamin. Le garçon avait faim mais ne savait pas comment avoir un 100 f cfa pour manger. En jouant cette comédie cachant pourtant une tragédie, il a touché le cœur de ce monsieur.
Il faut parfois être fou pour réussir certains coups dans la vie. C’est quoi la comédie? C’est un acte théâtral derrière lequel se cachent des messages parfois tragiques. On dit alors comédie pour parler de la tragédie. D’où folie est important. Si tous les journalistes étaient comédiens, la guerre de liberté de presse n’existerait pas… Soyons comédiens.


Quand des jeunes Camerounais se réfugient dans l’alcool

LE BOIRE

« J’ai commencé à goûter à l’alcool à l’âge de 28 ans » affirme-Papa Atangana confortablement installé autour d’un pot dans un bar au carrefour Carrière, l’un des lieux chauds de la capitale camerounaise, Yaoundé. Dans ce carrefour comme dans tous les autres de la ville et même ailleurs, se trouvent environ trente bars où l’on rencontre des consommateurs de plus en plus jeunes, dont l’âge varie entre 15 et 25 ans.

Pourtant, l’âge maximal pour consommer l’alcool au Cameroun est fixé à 18 ans. Pour Papa Atangana, c’est une question de génération, car à son époque dit-il : « On avait même peur de l’alcool. Tout consommateur de l’alcool ou de tabac était respecté, car il était pour nous un grand, un adulte. Il était presque impossible pour nous de s’approcher des bars. C’était un lieu réservé aux grandes personnes. En revanche, aujourd’hui, les adultes, les pères, se disputent les places dans les bars avec leurs enfants. »

Quand on fait un tour dans les bars ou dans les clubs « Matango et Bilili » (Bars de vins traditionnels) le spectacle est affligeant : un bâton de cigarette à la main, un groupe de jeunes tous ivres nous invitent sur leur table remplie de bières. « C’est la fin de l’année scolaire! »  explique l’un d’eux en secouant un peu le corps au rythme d’un puissant Makossa de Longue-Longue dans Kirikou. Une chanson qui invite pourtant la jeunesse à fuir l’alcool source de la misère. Mais pour ces jeunes,   » l’alcool est plutôt un truc pour oublier un peu la misère « ou les déceptions du quotidien. La plupart du temps, c’est parce qu’ils n’arrivent pas à trouver leur pain quotidien que de nombreux jeunes Camerounais  se tournent ce soi-disant remède.

Après une année de galère, il faut un truc pour oublier ça. L’alcool est devenu l’ami de consolation des jeunes . Malheureusement, après l’état d’ivresse les soucis continuent tant qu’on n’a pas trouvé une bonne solution au problème. L’alcool augmenterait plutôt le problème. L’alcool et le tabac ne sont amis de personne.« Ce sont des tueurs silencieux, rappelle Papa Atangana qui boit quand même, juste pour se distraire, surtout que l’alcool n’est pas si mauvais. Il faut seulement se modérer », ajoute-t-il en souriant. Et ces jeunes continuent à boire, en pensant qu’un jour ou l’autre, ils partiront en laissant tout ça.


LES INONDATIONS ET LE CHOLERA: LES MEILLEURS ENNEMIS DE L’EXTREME-NORD CAMEROUN

malades-cholera770 (1)Presque chaque année, les inondations frappent la Région de l’Extrême-Nord Cameroun. Tout juste après, une mortelle épidermique s’en suit: le méchant choléra. Fortement installé dans cette partie du pays, la maladie semble avoir trouvé un bon milieu, à cause de la mauvaise hygiène qui se vit là-bas. Parce que cette Région est habitée par des hommes très sales? Ils peuvent penser aussi à ça; mais quand on sait que c’est apparemment, malgré sa grande beauté, la plus pauvre des Régions, on peut comprendre pour la mauvaise hygiène. L’autre jour, quelqu’un se demandait si le savon et autres produits de nettoyages se ramassent au Cameroun. A l’Extrême-Nord où la vie est tellement coûteux, les habitants dont leur tradition voudrait qu’ils mangent avec les frères dans un même plan en plus avec la main, achèterait-il du savon pour se laver les mains au lieu d’un morceau de pain? Avec cette sècheresse de plus en plus persistante, le manque d’eau ne serait pas aussi à l’origine de cette épidermique ce choléra? Avec ces enfants qui parfois s’amusent à jouer tut nus dans les « mayos » après les fortes pluies qui inondent le lieu, transportent les germes du choléra, et souillent les légumes parfois consommés sans moindre respect de règle hygiénique, peut-on rejeter le tort à ces populations si misérables? Ce que le gouvernement devrait faire actuellement ne serait pas de voir comment facilité le coût de vie de ce côté? Car ils sont déjà plus d’une centaine de mort, et il y en aura des milliers si rien de plus concrète n’est fait.

PHOTO: CAMEROUN24.NET


MODERNISATION DU SECTEUR AGRICOLE AU CAMEROUN: A QUAND LA TECHNOLOGIE DANS NOS CHAMPS ET NOS FERMES

imageLe Cameroun a longtemps mangé à la sueur du front du vieux paysans aujourd’hui abandonné à lui-même. Abandonné parce qu’ils ne possèdent plus grande chose pour le bien-être. Malgré tout, ces âmes pleines de bonté, après avoir cultivé, il leur est devenu très difficile de mettre leurs fruits à la disposition des leurs enfants: à cause de routes impraticables. Raison du coût élevé de ces fruits sur le marché… Ces vieillards qui au bout de leur force ont toujours sûr faire de leur mieux pour nourrir l’enfant du pays, sont à bout de force, et bientôt, ils déposeront « machettes et houes », et partiront pour un repos bien mérité. A causer de leur âge très reculé, ils n’en peuvent plus.

Et ces enfants qu’ils laisseront, mourront-ils, de famine? Non, ils vivront! Mais ils devrons se battre bec et ongle pour avoir de quoi survivre. Avec le monde de plus en plus moderne, ces enfants, jeunes du pays aux terres fertiles, aujourd’hui accusés de paresseux, fainéants qui ne peuvent rien faire, tomberont eux aussi dans l’agriculture avec « machettes et houes »? Pourtant, ce pays de famine malgré son sol riche, possède tant des moyens pour développer le secteur agricole. Paradoxalement, aujourd’hui, dans un monde aussi moderne, notre pays très cher continue à travers certains élites, à encourager l’agriculture et l’élevage artisanats, on attend encore tout de nos mères et pères qui ne peuvent pas se reposer en paix là-bas au village. A quand les tracteurs dans nos champs? A quand la pêche moderne dans nos eaux? A quand la mécanisation du secteur agricole? Et surtout, n’oublions pas que c’est le meilleur moyen d’encourager les jeunes à s’intéresser à ce secteur, pour mieux lutter contre la faim.

PHOTO: LEBABI.NET


LES GRANDES NATIONS DU NORD SE CACHES DERRIERES L’OTAN POUR DICTER

drone_illustrationElles ne sont pas des nations délinquantes au régime criminel comme certains pays du Sud, mais elles sont quand même des puissances meurtrières. Elles sont la France, les USA, l’Angleterre, l’Allemand… Elles sont les plus grandes criminelles de la planète. Elles se cachent derrière leur OTAN pour bomber les innocents en Afrique et en Asie.

Elles ont bien vu les nations de ces Continents comme leur pauvres mouches. On comprend tout maintenant. Mais que peuvent faire ces pauvres nations. Rien. Absolument rien. Elles resteront encore pour longtemps si minable et continueront à subir. Nous pensons à toutes ces nations qui subissent sans force actuellement la colère de leur force meurtrière.

Mais cette fois, grâce à l’influence de la Russie, elles se sont sentis vraiment faible de bomber la Syrie. Dieu merci. Merci à la Russie, la Chine et autres pays grâce à qui l’OTAN n’a pas pu démontrer sa force diabolique.

Après tout, ces nations du Nord ne risque rien. De même, leurs dirigeants aussi criminels que le diable ne peuvent être pourchasse par la CPI malgré leur nombreux crimes en Asie et en Afrique. Car ils ne sont pas nos présidents africains.

Quelques organismes de défense des droits de l’homme, telle ANNESTIE INTERNATIONALE les ont souvent incriminé mais ce ne sont
que les juges impuissants.