Cassandra fait de la politique
Je ne crois pas qu’on puisse changer le monde sans la volonté farouche de regarder les germes de bonheur qui poussent entre les pavés. La révolte, la colère, l’indignation contre les océans de bitume, ça prend aux tripes, certes, ça mobilise le temps d’une manif, d’un coup de gueule, d’un débat puis on s’y écrase, on se noie dans l’amer du désespoir.