Le gourou, les policiers, le journaliste et le blogueur
Un gourou, arrêté parce qu'il n'avait pas les papiers d'immatriculation de son véhicule, a du s'entretenir avec deux policiers. L'histoire ne s'est pas arrêtée là.
Lundi midi je mangeais au Macdo situé en face de la fontaine des Innocents à Châtelet quand une jeune femme sympathique m’aborde. Elle me propose de participer à l’enregistrement d’une émission de télévision.
En Mauritanie, le phénomène fait tâche d’huile : les journalistes peshmerga ! Ceux que j’ai pour habitude aussi d’appeler les « journulistes », nom qui, j’avoue, est loin de rendre compte de tous les aspects que revêt cette pratique du journalisme alimentaire. L’appellation « peshmerga » (en référence aux combattants kurdes) vient sans doute de cette absence de règle. Absence de formation aussi. On peut être manœuvre, boucher, ou chamelier et décider, sans crier…
« J’ai reçu un message de mon rédacteur en chef, pour me dire que la ligne éditoriale était de ne pas fustiger la France et le gouvernement de transition ! »Agressés, interpellés, arrêtés, mis sur écoute…Quelle justice pour les journalistes ? « C’est ça le paradoxe ! On s’acharne contre les Sanogo, les Yamoussa, les Touré de la Sécurité d’État, les Siméon Keïta et d’autres, pour avoir commis de graves…
« Tu sais, ce serait bien que tu ailles infiltrer la manif de Pegida de ce soir, devant l’Hôtel de ville », m’avait suggéré, avec le sourire sardonique de celle qui vient d’avoir une idée particulièrement géniale et tordue, la rédac’ chef du petit magazine berlinois où je travaille en ce moment. "
Ce matin, j’ai découvert un article intéressant sur un des « hommes forts » de l’Afrique. Le billet dont il est question ne faisait pas du « Roi de la savane » son sujet. Son objet était tout autre. Il présentait l’analyse du discours du « Lion indomptable » par la pléthore de journalistes camerounais. Je tiens à préciser que Paul Biya ne m’a pas déçu. Il aura au moins agit comme tout le peuple le…
Avant les années 70, et surtout avant qu’on en arrive à la crise de l’emploi et à la crise économique permanentes que nous vivons actuellement, beaucoup de métiers étaient suscités par la vocation et la passion. De nos jours, tout le monde exerce tous les métiers pour peu qu’ils puissent en vivre. La vocation est cette chose qui donne à l'individu de l'amour pour son métier, surtout si ce métier ressemble à un service à rendre aux autres.
Je ne veux pas paraître agressif mais je le dis comme je le pense. Mes propos, aujourd’hui, ne s’inscrivent pas comme une critique frontale des professionnels ou une victimisation des étudiants et enseignants de l’institut de presse. Loin de là, je veux tout simplement bâtir des ponts entre enseignants et professionnels des médias car la situation actuelle ne peut pas tenir à long terme. Je suis bel et bien d’accord…
Déjà un an que Verlon et Ghislaine, deux journalistes de RFI ont été lachement executés par les barbus litteraliste d’Allah. Ne les oublions pas. ils sont morts pour que la liberté vive! Mille Verlon Plus, mille Ghislaine Nous sommes somme De Tous ces vers longs, Qui à jamais tissent et gisent dans la laine.
Si vous avez la chance (ou le privilège, c'est selon...) d'être abonné aux chaînes de télévision câblées, il vous sera facile de faire un constat sur la place que chaque pays semble accorder aux Noirs dans l'espace médiatique.
Depuis 15 ans Laurent Sadoux présente Afrique midi, l’édition du journal de Radio France International la plus suivie à-travers le monde. Je sui allé à la rencontre de ce journaliste charismatique. Qui est-il ? Comment travaille-t-il ? Laurent Sadoux accepte de se livrer.
La série de billets sur la situation de la presse écrite camerounaise s’achève à présent et l’occasion est arrivée d’aborder un sujet très important qui concerne la survie même de cette presse agonisante. Comme je l’avais dit tantôt la presse camerounaise a commencé sa décadence à travers des années de braise (1990-1992) et après l’arrivée et la vulgarisation de l’outil internet (Généralement après les années 2000). Ce n’est que dans…
Elimane Sembene, est journaliste sénégalais vivant au Maroc. Il sort major de la promotion 2011-2012 de l’Institut Supérieur de l’Information et de la Communication (ISIC) de Rabat,c’est le seul institut public au Maroc, l’équivalent de la prestigieuse école de journalisme sénégalaise, le Cesti .Il est le premier étranger à majorer dans cet établissement après un parcours de 4 ans (2008-2012). L’isic accueille chaque année des étudiants venus de l’Afrique subsaharienne notamment des…
Je me rappelle très bien la première impression que m’a faite Roland quand je l’ai rencontré au journal. Chaussé de ses éternelles sandales de rando kaki qui laissaient paraître à leurs ouvertures ses non moins inséparables chaussettes noires, il assumait, avec une parfaite décontraction, le cliché de l’Allemand provincial d’un certain âge qui n’a que faire des canons de l’élégance pourvu qu’il soit à l’aise dans ses pompes, au sens…
Pendant que la communauté internationale commémore ce jour la journée internationale de la liberté de la presse, les journalistes en formation à l’Ecole nationale d’administration et de magistrature (Enam) de l’Université d’Abomey-Calavi (Uac) du Bénin poussent un cri de désespoir et expriment leur amertume. Face aux conditions difficiles dans lesquelles se déroulent leur formation. Le 12 mai 2013, le Président de la République, le Dr Boni Yayi recevait à son…
Dans certains pays du Sud, il est courant de voir des journalistes accepter de l’argent ou cadeaux de leurs sources. En RDC, ça s’appelle « coupage ». C’est l’une des causes de la misère éternelle des chevaliers de plume. Voici comment en finir. Par Gaïus Kowene En RDC (et un peu partout en Afrique aussi), il est courant de voir des journalistes travailler en clics. Quand je parle des clics je fais allusions…