Bouteflika : Une réélection…pour défauts
Les Algériens doivent bien aimer leur président pour l’avoir réélu, pour un quatrième mandat, alors qu’il est probablement en fin de vie. Pourtant, à y regarder de près, c’est un choix que de refuser le changement. Un choix démocratique si, vraiment, le scrutin s’est déroulé selon les convenances et que la fraude dénoncée par le principal adversaire de Bouteflika, l’ancien Premier ministre Ali Benflis, n’est pas d’ampleur a faussé le…