Villains : mon premier album téléchargé légalement
L’attente de Villains a été une souffrance. Sa découverte, une jouissance.
L’attente de Villains a été une souffrance. Sa découverte, une jouissance.
Le 20 décembre 2012, je publiais une compilation des 8 chansons les plus sexy avant la fin du monde. Souvenez-vous : on nous avait prédit l’apocalypse à cause d’un trou dans le calendrier maya. Deux ans et demi plus tard, la Terre est toujours là et je reviens avec une bande-originale d’un séisme au Népal. Cette année, ça swingue pour la fête de la musique.
Il s’est passé beaucoup choses à Katmandou depuis le 25 avril 2015. Tout s’est enchaîné.
Quand je parle de musique népalaise à mes amis qui ne vivent pas ici, je sens de la suspicion à l’autre bout de la fibre optique. On imagine les voix stridentes des chanteuses indiennes ou les mélodies irritantes des films de Bollywood. C’est vrai qu’il y a un peu de ça. Mais enfermer les artistes népalais dans la catégorie des copieurs serait comme penser qu’il n’y a que des treks à faire au Népal. Ils ont aussi leurs identités.
Il a fallu que je me retrouve à Katmandou pour qu’une rescapée de l’Holocauste me raconte l’histoire des détenus juifs de l’île Maurice. Autant que je m’en souvienne, on n’a jamais commémoré l’Holocauste à l’île Maurice. Quelques-uns de mes enseignants en ont parlé, mais cette partie de l’histoire n’est pas enseignée dans les écoles mauriciennes. Il faudrait déjà qu’on commence avec l’histoire de notre propre pays. Pourtant, 30 000 de…
Sold raconte l’expérience horrible d’une adolescente népalaise à Calcutta. Alors que sa sortie officielle est prévue pour mars 2015, plus de 500 personnes ont eu le privilège d’assister à une avant-première du film au cinéma QFX Kumari de Katmandou, le mardi 18 novembre. J’en faisais partie. « Si tu veux avoir l’Oscar de la meilleure photographie, il suffit de tourner un film au Népal », m’a dit Luke, un Australien en stage à…
Lectrices, lecteurs, internautes, internautes, public chéri mon amour[1], Je vous demande pardon – spécialement aux cinq abonnés au Feedburner de ce blog. Je vous ai laissés pendant deux longs mois. Je suis le premier (et peut-être le seul) à en avoir souffert. Mais je suis de retour. Pourtant, avec tout ce qui s’est passé ici, j’aurais pu vous raconter plein d’histoires.
Je déteste radoter. Mais parfois, il faut redire les choses essentielles : Mondoblog c’est bien, c’est beau. Je sais, ça fait un peu fleur bleue. Mais je suis un grand sentimental (surtout quand il s’agit de ce projet). Je suis conscient que je peux donner l’impression d’être un vulgaire homme-sandwich pour Mondoblog. Mais comprenez-moi bien : je suis Mondoblog.