Le chercheur d’or, dort
On ne le dit pas assez, mais la ruée vers l'or, est parfois une course vers l'au-delà
Cher Ping, Il y a longtemps que j’ai voulu t’écrire...
Oh, my beautiful Burundi! Tes enfants veulent sauvegarder ta culture Mais ne tardent pas à tomber dans les pièges De tes ennemies bénignes, Qui se croient meilleures inventaires De ce que serait toi. Pourtant, ils le font très sévère…
Les dirigeants africains dansent autour de leurs fortunes Les peuples africains pensent à leurs infortunes
De toutes les femmes qu’a connu Laskazas, celle-ci est sa plus belle histoire. S’il ne s’agissait que de beauté, Tu serais la seule a être courtisée. Et s’il ne s’agissait que de bonté, Tu serais la seule a être épousée. Le Créateur n’a été ainsi inspiré Que lorsqu’il dessinait ton nez… Et si ce sont tes yeux qui m’ont attiré, C’est ta douceur qui m’a condamné. Le temps a cessé sa triste avancée…
Les élans du cœur sont sacrés et innommables ; ne leur sied parfois que le silence.
Wassakou vient nous donner une nouvelle leçon d'Amour.
Ah ces rustres / Qui si tôt le matin / Pour du pain / Ou une mie / Se disputent.
Demain dès l’aube, il oubliera sa prunelle, La rosée emportera leurs promesses éternelles, Avant que le soleil ne se lève sur leurs peurs, Et qu’ils ne soient plus en mesure de se faire des adieux en douceur. C’est le fruit de ce lien qui s’est douloureusement brisé hier soir, Cette étincelle brûlante qu’on ne peut voir, Parce qu’étant un sentiment avide, Qui laisse peu à peu un vide. A l’heure…
« Garçons jouant au foot » par Olivier Epron Une rue une de celles où j’ai perdu mon enfance et ma jeunesse j’y ai grandi joué au foot, j’y ai fait le fou, j’y ai découvert l’amitié Une rue joyeuse, éclatante, comme un soleil d’été à la plage un après-midi rue sablonneuse bac à sable Une rue d’enfants qui ne savent pas ce qu’est la vie Car la vie à cet âge…
C’est la nuit. Rien à faire. C’était pendant la panne sèche.Pas de films, marre des livres (il m’arrive parfois d’en avoir marre, mais cela ne dure jamais, Dieu merci !, juste quelques heures). Que faire alors ? Pourquoi pas un article pour Mondoblog ? Ecrire. Je voulais écrire un article et j’ai écrit ceci. J’ai voulu alors le ranger dans un tiroir, comme tous les autres, comme tant d’autres. Il…
A ceux qui sont morts en voulant fuir « l’enfer » de leur pays et qui voulaient rejoindre l’Espagne, qui signifie l’eldorado pour eux. Ceux qui croient que partir est la seule issue. Partir, à tout prix. Pour peut-être revenir un jour, la tête haute. Ces quelques vers, qui n’y feront rien. Une vague. Dessus La vague Des hommes qui rêvent… Partir Ailleurs Qu’importe où Partir Qu’importe Le risque La…
Panne sèche. Pas de signe de vie depuis trois semaines, la faute à l’inspiration; aucun sujet et, manque de bol, problème d’ordi. Alors on fait appel au tiroir où dorment les « poèmes commis, inédits et qui redoutent la lumière ». Place au poème… et bonne lecture. A bientôt, j’espère. Les pauvres -et quelques intrus – (titre provisoire) Dans mon pays, les pauvres – et quelques intrus – dorment, dehors, à…
Pour finir l’année en beauté – ou presque – rien ne vaut un poème (pas très gai, mais pas trop triste). A l’année prochaine. Bonne année Bal(l)ade d’un homme et d’un chien perdus Je ne sais plus si je courais ou si je marchais mais je m’en allais comme le Bateau ivre seul Et voilà que je rencontre un chien Comme moi il était perdu comme lui j’étais perdu…