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Dans l’après-midi du 16 mars 2021, la toile tchadienne est emportée par une nouvelle surprenante. Il s’agit d’une rencontre entre le président Deby et le jeune opposant Succès Masra.

Il vous est déjà arrivé de flirter avec une étrangère ? La première fois que je me suis rendu au Kenya, j’ai vécu cinq jours de folie. Lorsque j’y suis reparti en septembre 2020, je n’avais jamais oublié la fille que j’avais rencontrée lors de mon premier séjour dans ce pays. Malheureusement je partais quelques jours plus tard.

Ce mois-ci, nous sommes allés à la rencontre de Linda Landrine, une jeune citoyenne du monde vivant actuellement au Cameroun, pour avoir sa vision des voyages et en apprendre un peu plus sur ses expériences inoubliables.

C'était difficile pour moi, à ce moment là, de savoir que j'allais les fréquenter et les suivre pendant quelques années, après en être presque tombé amoureux, un début de soirée d'octobre 2009. Vous comprendrez le coup de foudre après avoir vu une vidéo d'elles.

J'ai rencontré le grand Manu Dibango. Nous avons discuté de culture et particulièrement de musique en Afrique, mais aussi de l'intérêt d'Internet pour les musiques africaines.

Toute la pression du début d'année étant tombée, c'était le moment choisi par un camarade pour tenter sa chance.

Elle est mère, femme au foyer, actrice, chorégraphe, metteur en scène, danseuse, modèle de pub, scénariste, directrice d’entreprise, multitâche, multifonction. Rencontre avec Prudence Maidou.

Le thé est un facteur de rassemblement pour les jeunes, dans la capitale guinéenne et en périphérie. Autour d'un verre, on discute de tout et de rien.

Dans le but de faire mieux connaître le blogging et la blogosphère haïtienne et francophone, j’ai posé quelques questions à Osman Jérôme, blogueur haïtien.

Il était beau, fort et grand, souriant et un peu timide. Il me semblait avoir des yeux bleus comme cette mer derrière nous. Je remarquai que je ne savais pas comment les rendez-vous se déroulent en France. Il me regarda dans les yeux, serra mes épaules dans ses bras et répondit : « On n’a pas tant de différences ». J’étais plus âgée mais cela me fit plaisir qu’il me rassure. Cet été-là,…

A quel moment ai-je oublié qu’une langue est censée nous réunir plutôt que d'être un objet de discorde ?

Je suis la blogueuse sonore qui – parait-il – ne parle pas beaucoup, beaucoup… Comme d’autres font ça très bien, je préfère garder mes forces pour écrire ici, et partager sons et photos… 😉

Dans la nuit parisienne, les anges s'appellent désormais Madeleine et Torpédo. Récit d'une rencontre.

Ce soir il s’est confié à moi. Il m’a parlé de sa vie, de « ses femmes », de son travail et de ses projets… rien de surprenant, il me raconte souvent sa vie. Je ne peux donc pas comprendre pourquoi je me sens si mal. Je l’aime toujours. C’est le tsunami de  ma vie. Je m’amuse à le dire sans me rendre compte qu’un tsunami ça fait toujours des dégâts. Et des…

Lorsque Grand Corps Malade, slameur et poète français, a relaté dans son tube le « voyage en train » toutes les étapes importantes de l’amour, il n’a sûrement pas pensé que son texte inspirerait des amoureux de la littérature, nichés dans un continent lointain du globe. Encore moins des écrivains maliens.

Ces instants défilent dans ma tête sans cesse. Des choses mais aussi des lieux, des lieux et des noms… La poussière, très présente tout au long de l’histoire qui commence de façon banale au détour d’une rencontre fortuite sur une terre  de couleur ocre, s’invite dans tous les moments. S’accrochant à nos vêtements et à nos chaussures comme pour dire « ne me quitte pas ». Comme sorti de nulle part et…

Le coq avait chanté, ensuite le muezzin et pour finir l’alarme de mon réveil. C’était une nouvelle journée qui s’annonçait. Et qui dit nouvelle journée dit nouvelle corvée. Mais ce jour-là, je n’allais pas comme d’habitude revêtir mon uniforme scolaire. J’avais décroché un rendez­-vous avec un neurologue à l’hôpital.

J’ai comme un sentiment d’insatisfaction. Mes yeux ont dû perdre la propriété qui s’attachait à son charme, ou c’est le charme d’Aïda qui a migré vers le passé. Elle n’a plus sa fraîcheur. Cette joie de vivre. Cette insouciance. Je regarde un visage maigri et préoccupé. Buriné par les soucis. C’est un temple de tristesse, malgré le sourire qu’elle s’efforce de présenter.