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Il y a ce livre que j’ai perdu dans ma débâcle précipitée loin de mon époux… Ce livre de Simone de Beauvoir qui a eu un impact florissant sur le déclic salutaire qui m’a permis de reconquérir ma dignité au monde de femme respectable. Lire « Le deuxième sexe » de Simone de Beauvoir m’a permis de sortir de cette vie oppressante de femme au foyer.

Ce jour-là, la mission annulée, Sika décida de rentrer plus tôt et n’appela pas Djovi. Elle savait que Djovi la trompait. Malgré le froid ambiant et l’air sec de l’harmattan, de la sueur perlait sur son visage, elle se tenait devant la maison, le regard fixé sur la porte mal fermée.

Le monde du sale en deux sections : la drogue et le crime ! Qui vous dit que n’importe quelle plume peut y s’aventurer ? Pour commettre ou en parler, il faut d’abord du courage avec son sujet. C’est indéniable. Et puis, c’est une problématique sociale très préoccupante. Connaissons-nous la proportion de la société actuelle qui s’engloutit dans la noirceur de la drogue notamment? Et le crime? Savons-nous combien y sont plongés? Khadija…

L’ouvrage No home, de Yaa Gyasi, est un travail de mémoire, qui vient raconter l’histoire de l’esclavage. Mais au-delà de ça, c’est le récit de plusieurs peuples, tribus et familles déracinés sur 250 ans.

Lire, c’est faire vivre un nouveau monde en soi, c’est remonter le temps, c’est revisiter un passé mais aussi et surtout réaliser un idéal ardent.

Anas Atakora. J’échange avec l’écrivain au Festilarts 2021. Je lui parle, entre autres, de procrastination. Il me rassure ; ça fait partie du processus. Il évoque un chapitre de Traces de parcours. Je vous en parle ici.

Pour bien se lancer dans l’écriture, il faut lire beaucoup et prendre l’habitude d’écrire régulièrement. Une lecture régulière d’œuvres littéraires nous prépare à l’écriture. C’est lorsque nous sommes bien remplis de livres, que l’aventure de l’écriture devient aisée.

J’aime cette authenticité africaine qu’on retrouve dans ses livres. Ses personnages africains, son origine, sa culture et ses valeurs qu’elle ne manque de partager. Avec elle, j’ai pu me faire une définition du féminisme. Et voir à quel point ce combat est pertinent et profond.

Lorsqu’un personnage de roman devient aussi réel que ceux qui vous entourent, les pages que vous lisez vous marquent à jamais. Un appartement à Paris est un de ces romans. C’est ce que Guillaume Musso a réussi à créer.

À seulement 21 ans, le jeune Lionel Hinimbi signe déjà son entré dans la sphère des écrivains. À son actif, Les Tout-puissants. Un roman qui traite de l’épineuse et sempiternelle problématique des violences faites aux femmes

Dans quelques jours, le 19 août plus précisément, paraitra «La plus secrète mémoire des hommes», le dernier roman de l’auteur sénégalais Mohamed Mbougar Sarr. C’est l’occasion pour moi de vous livrer mon avis sur Terre Ceinte, le tout premier roman qu’il a publié et par lequel j’ai découvert cette plume exceptionnelle.

Il m’a appris le pouvoir de la reconnaissance, de l’humilité et du souvenir. Il m’a montré mes erreurs passées et m’a aider à tirer de bonne leçon de ma vie et faire de meilleur choix dans le futur.

Le cœur à rire et à pleurer, de Maryse Condé, est une autobiographie touchante de vérité et de simplicité. Scindé en plusieurs chapitres indépendants, ce récit relativement court questionne sur des thématiques essentielles telles que la race, la famille ou encore l’éducation.

Trois ans après avoir reçu le prix Nobel, l’écrivain Gabriel García Márquez signe en 1985 ce chef d’œuvre de la littérature qui traverse le temps sans prendre une ride. L’amour au temps du choléra, ce n’est pas une énième histoire d’amour qui vous embue les yeux au fil des pages.

Apprêtez vous à ne plus savoir qu’est ce qui est fiction ou une réalité. Qui est le personnage, qui est l’auteur ? Guillaume Musso nous fait découvrir une partie de son imagination, à travers les pages de La vie est un roman.

De purs hommes, roman de Mohamed Mbougar Sarr, est l’un des premiers de la littérature africaine à aborder frontalement le sujet de l’homosexualité. Le récit est bref mais il n’en appelle pas moins à la réflexion, sur un sujet qui reste tabou dans de nombreux pays.

En attendant le vote des bêtes sauvages est mon gros coup de cœur de ce début d’année. Je ne crois même pas que je viens d’écrire cette phrase.

Lors de son passage à l’Institut français du Togo le 13 février dernier, l’auteur béninois Florent Couao-Zotti, dont le roman « Western Tchoukoutou » a fait ce jour-là l’objet d’un café littéraire, a bien voulu nous accorder quelques mots.