Tchad : une femme nommée cheffe de village
C’est la première fois qu’une femme est nommée cheffe de village au Tchad. La décision fait débat, encore aujourd’hui, pourtant elle est courageuse et appelle à une évolution des mentalités.
Je ne trouve aucune créativité dans le fait de réduire les femmes courbées aux attractions touristiques. Cela s’apparente plutôt, d’une manière indirecte, à la promotion du tourisme sexuel. Cette démarche est misogyne et sexiste malgré le fait qu’elle vise l’amélioration des moyens de subsistance des femmes.
Aujourd’hui, le monde semble avoir réalisé ses torts vis à vis des femmes. Les traitements de faveur qui leurs sont accordés font des jaloux, pourtant ils tentent de rééquilibrer une situation encore très inégalitaire.
J’ai un ami qui a épousé ses deux femmes au même moment. Allah, je vous jure que c’est vrai ! Le maire a demandé aux deux dames si elles acceptent leur homme, si elles promettent de l’encadrer et de le nourrir, et elles ont répondu à l’unisson : « Oui, nous le voulons ! »
« C’est compliqué » pourrait être le statut Facebook idéal pour résumer la situation amoureuse entre les filles et le football. Une relation qui m’a donné l’occasion d’assister à des débats toujours très animés en France, à l’île Maurice ou Madagascar. Et comment ça se passe au Népal ? (Crédit photo : Stéphane Huët)
C’est normalement une femme qui aurait dû écrire ce billet. Mais après avoir constaté le silence de mes amies « mondoblogueuses » sur cette question ô combien importante j’ai décidé de m’attaquer à ce que je considère comme une « bêtise journalistique » élevée au statut de « mythe » en terme d’écriture. Avez-vous remarqué qu’à chaque fois qu’une femme remporte une élection, les plus grands journaux du monde titrent quelque chose comme « Une dame de fer…
L’occasion est trop belle pour qu’on passe à côté d’un sujet si pertinent. Le 08 mars, journée de la femme; mars, mois de la femme diront certains. Mais dans les faits, elles sont marginalisées dans nos sociétés. Au Brésil, par exemple, vous rencontrerez des médias absolument sexistes et oppresseurs par rapport aux femmes. C’est ce qu l’on peut découvrir (pour ceux qui ne connaissent pas le Brésil) dans un documentaire…
On aime aussi le Carnaval parce qu’il tombe justement au premier trimestre. Les étudiants tentent poussivement de boucler un semestre qui s’étire, comme souvent, depuis le mois de septembre. Le charme du Carnaval réside aussi dans le fait qu’il ramène un peu de cette joie tout juste égarée au passage du nouvel an. Cette année, la passion des brésiliens pour cette fête populaire passe son épreuve de feu alors que…