Bouaké – faut-il « brûler » les taxi-motos ?
7 juillet 2017
Après la crise en 2011, l’Etat ivoirien a redéployé les forces de l’ordre dans la région du Gbêkê, principalement à Bouaké, l’ex-capitale de la rébellion ivoirienne. La police, la gendarmerie, les FRCI (Forces républicaines de Côte d’Ivoire) et le CCDO (Centre de Coordination des Décisions Opérationnelles) sont tous présents et à la tâche. Malgré cette présence remarquable des soldats, un phénomène né de la crise de 2002 semble constituer le véritable problème de sécurité à Bouaké : les taxi-motos.