A la recherche du président disparu
Ce fut le grain à moudre, le chou gras pour les chèvres-commentateurs (chers commentateurs) de la vie politique du pays… en gros, tous les Togolais…
Le vieux continent est en proie à une crise de foi notamment à travers une déchristianisation très marquée (un net recul de la chrétienté) ; l’Afrique, a contrario, semble connaitre un véritable âge d’or religieux, du moins pour ce qui est des religions célestes. Tant et si bien que, selon le mot du Pape François, « elle est le poumon spirituel du monde ». A côté de la généralisation de…
Heureux les pauvres en esprit, car le royaume des cieux est à eux ! Heureux les affligés, car ils seront consolés[1]. Ces mots prononcés il y a plus de deux mille ans doivent résonner différemment dans l’oreille du miséreux et du privilégié. Pour le premier, il doit s’agir d’une assurance et d’une promesse qui rendent le fardeau quotidien moins lourd, pour le second, une blague transpirant l’hérésie, de la poudre aux…
J’ai hésité avant d’écrire ce billet, mais l’heure n’est plus à la tergiversation. Il est temps de prendre des mesures drastiques pour en finir une bonne fois pour toute avec ce spectacle décadent qu’est dévenue la « Seleção ». Neymar, David Luiz et Dunga ne sont que les bouc émissaires d’un mal plus profond qui détruit le football brésilien depuis des décennies. Il faut en finir avec l’équipe brésilienne de footaball.
MIGRANTS : le mot s’est lentement et insidieusement glissé dans le cercle lexical des tragédies qui n’émeuvent plus. Il figure dans la rubrique « Afrique » aux côtés de GUERRE, FAMINE, PAUVRETÉ, ÉLECTIONS VIOLENTES et bien d’autres mots-maux. Lampedusa est devenue aussi célèbre que la Tour Eiffel ou Les Champs-Elysées dans l’esprit de nous autres africains. Certains rêvent d’y débarquer, d’autres y voient l’horreur de la mort qui s’empare impitoyablement des frêles…
A quoi bon se préparer pour des examens si ceux-ci ne peuvent même pas avoir lieu ?
Un conte sur l’importance de ne pas se montrer trop « gourmand »…
Prés de deux semaines après l’attentat du 15 juin qui a frappé la capitale tchadienne N’Djamena, l’acte n’a toujours pas été revendiqué. Les autorités accusent la secte islamiste nigériane Boko-Haram, mais ne présente aucune preuve pour soutenir ses accusations.