tanigoldy

L’émergence d’un autre mode de rencontre

LES SITES ET RÉSEAUX SOCIAUX : L’ÉMERGENCE D’UN AUTRE MODE DE RENCONTRE

À l’âge des ordinateurs, où l’internet est un moyen de faire des connaissances à travers le monde, trouver la bonne personne reste toujours une expérience délicate à faire. De plus, lorsque les réseaux sociaux et autres sites de rencontres sont créés et utilisés à ces fins, les avis sont partagés sur : la pertinence, l’utilité, le bien fondé et la fiabilité de ce mode de rencontre. En outre, les inscrits sur ces sites étant de ceux-même qu’on peut rencontrer en ville, il est inutile de « porter des gants » contre cette pratique. Après tout, on a tous utilisé ces réseaux sociaux à des fins professionnelles ou pour d’autres raisons personnelles. On est donc en position de se demander si ce sujet ne mérite pas un détour.

Nos grands parents ont connus l’époque des rencontres arrangées. Beaucoup de cultures la pratiquent encore par une forte influence dans les mariages arrangés et forcés. Cette pratique de rencontre arrangée n’a pas totalement disparu, surtout pour les parents et amis qui s’inquiètent pour leur proche. Pour les « très indépendants », l’ère de l’internet a offert un autre mode de rencontre différent des correspondances (publications papiers) : les rencontres virtuelles. Alors, ces derniers présentent autant d’avantages et d’inconvénients que les précédentes.

Love seeker
Love seeker

Pourquoi ces sites sont pour la plupart aussi réels que les rencontres qu’on effectue dans la vraie vie: Rencontres virtuelles vs. Rencontres réelles/fortuites/opportunes

Les sites de rencontres sont des plateformes dédiées, tout comme le sont certaines places publiques (où les gens sont connus pour faire : des rencontres ou seulement pour s’amuser). Toutefois, il ne fait aucun doute que les rencontres fortuites bénéficient d’une plus grande touche de passion, que celles qui peuvent survenir sur le net. À ce titre, on pourrait considérer les rencontres virtuelles moins réelles que les autres. Pourtant, ils ne sont pas complètement dénués de réalisme. En effet, partant des moments de la première impression (l’envie de connaitre l’autre, qui poussent à la prise de contact), jusqu’à la première rencontre (premier rendez-vous), on peut considérer cela comme les préliminaires. Certes, ces derniers ne durent pas aussi longtemps lors des rencontres virtuelles que lorsqu’ils se déroulent dans la vraie vie. Plus précisément, ce qui peut arriver lors de la première rencontre (le premier face-à-face des contacts virtuels) est plausible lors du premier rendez-vous (premier tête-à-tête des individus de la vraie vie). Lors de la première rencontre (issu d’une prise de contact virtuelle) : la rencontre au grand jour peut présenter un certain décalage, tantôt par rapport aux attentes et idées sur la personne, tantôt par rapport à l’ambiance de la conversation. Lors du premier rendez-vous (issu de la vraie vie) : le rendez-vous peut présenter les aspects de la personnalité au profit de l’un ou de l’autre, selon qu’ils sont à l’aise ou non pour ce premier rendez-vous. Bref, les aléas sont les mêmes, peu importe le mode de rencontre. Alors, inutiles d’être trop critiques contre les gens qui explorent ces nouveaux moyens de rencontre virtuelle, au simple prétexte que cela se déroule « derrière un ordinateur ». Ces gens semblent s’être préparés à faire « la rencontre », ce qui laisse penser qu’ils ont des qualités à saluer dans les rapports humains.

 

ManWoman
ManWoman

Les « inscrits » sont prédisposés à plus de transparence : une forme d’honnêteté présumée (du fait de la nature des rencontres).

Ces gens s’inscrivent sur les plateformes pour faire des rencontres. À ce titre, homme/femme peuvent faire : une rencontre très intéressante ou plusieurs en même temps. Venant tous pour « tenter leur chance », ces gens sont littéralement « à la poursuite des rencontres ». Dans ce cas, on peut se permettre d’affirmer que ce mode de rencontre est plus clair sur le tempérament des « inscrits » que les tendances cachottières des individus (rencontres réelles). En effet, indépendamment pour certains « inscrits » d’indiquer les raisons/objectif de leur inscription, les rencontres sur ces plateformes sont clairement basées sur les multiples fréquentations (des uns avec les autres en même temps), jusqu’à ce que le cercle se restreigne à « un couple ». Ainsi, même si la transparence de ces rencontres n’est pas totalement perceptible et partagé par tout le monde, il est suffisamment présumé pour conférer une pertinence aux sites de rencontres.

Par ailleurs, si ce moyen de rencontre peut aujourd’hui être considéré comme suffisamment transparent, c’est que le côté « exigeant » des gens qui se rencontrent de manière fortuite (en demandant de leur le compagnon/compagne qu’il/elle ne fréquente pas d’autres personnes en même temps), n’a plus sa raison d’être ou a lamentablement failli (dans son rôle de confort dans les relations). On peut même se demander si cette exigence n’est pas qu’une illusion ou un fantasme que les gens se créent eux-mêmes. Après tout, homme/femme, quand ils font de nouvelles rencontres, ne claquent pas tout de suite la porte à cette dernière. Ils manifestent tout au plus une certaine réticence parce que :

  • Quelqu’un a déjà attiré leur attention,
  • Ils ne veulent pas s’aventurer avec plusieurs personnes en même temps,
  • Ils les fréquentent différemment jusqu’à ce que l’une d’elles soit prédominante,
  • Ils jouent le jeu du mensonge pour ne pas laisser filer une rencontre potentiellement intéressante (car ils veulent mettre en quelque sorte toutes les chances de leur côté afin de faire un bon tri parmi ces personnes),
  • Ils restent derrière les sentiments en germe par un comportement plus nobles jusqu’à ce que le moment soit venu de s’ouvrir totalement…

Dans tous les cas, cette exigence issue des rencontres fortuites, reflète seulement le niveau d’honnêteté et de transparence des gens envers eux-mêmes et envers les autres.

Ainsi, dans l’un ou l’autre type de rencontre, même si les sites de rencontres donnent aux gens le bénéfice du doute en présumant l’extrême transparence des rencontres, il appartient au final à tout un chacun de confirmer cette intégrité auprès des gens qu’ils rencontrent. Enfin, si l’on veut éviter tout embarras, incompréhension, mésentente ou pire, éviter toute scène de ménage, il nous appartient d’être plus exigeant envers nous-mêmes pour juger : pertinence, utilité, bien fondé et fiabilité des divers modes de rencontre. Après tout : « On n’est jamais à l’abri d’un bon feeling ! » (Citation anonyme).

À bon entendeur, salut !

Un couple/amoureux/silhouette
Silhouette d’un couple amoureux

 


Chez moi: Home sweet Niamey home

Chez moi

“Home sweet Niamey home”, ce sont les premiers mots qui expriment comment il m’est difficile et doux, à la fois, de penser à mon pays. Je suis peut-être partie trop longtemps de “chez moi”, mais si on continue encore aujourd’hui à écrire et à chanter que: “Home is where the heart is”, c’est bien parce qu’en partie c’est vrai. En effet, “chez moi” peut être l’endroit où je  concentre mes intérêts présents, en raison de mon quotidien. Il peut aussi être, là où je me sens chez moi,  par la seule force de la pensée ou de la volonté du cœur. Pour ma part, chez moi c’est Niamey (capitale du Niger) du simple fait d’y être née et d’y avoir grandi. Dès lors, ce lien et ces pensées me poussent à vous livrer une description de Niamey, du moins celle que j’ai en surface. Vous comprendrez alors en quoi certains points représentent l’empreinte du Niger . Certes, ma description pourrait être différente de celle d’un concitoyen nigérien (point de vue, proximité, actualités). Pourtant, ces dernières se rejoindront sur plusieurs points:

  • l’amour de la patrie qui a guidé nos écrits
  • les maux qui ont suscités nos écrits
  • les influences que ces derniers ont sur notre style d’écriture
  • le choix des thématiques auxquelles nous sommes plus enclins

France-Niger : une distance bien gérée?

Bientôt 5 ans en France sans retourner à mes sources, beaucoup de gens me disent: Comment tu fais? La maison ne te manque pas? À cela je n’ai pas su répondre par le simple: “J’irais quand je le pourrais”; pour ne pas donner l’apparence de me plaire en « Occident » et d’avoir oublié mes proches, sinon d’être trop fauchée pour faire un tel voyage. C’est pourquoi, je me contenterais d’un sourire au coin de la bouche en disant: “On verra”. Car ce sourire en dit long pour moi. En effet, ce sourire m’aura donnée le temps de plonger dans mes pensées, à travers le contact que j’ai gardé avec mes proches, l’actualité et les souvenirs qui ont le don de me réchauffer le cœur. C’est ainsi que je gère la distance et que Niamey demeure mon “coup de cœur”.

Niamey, mon précieux!

Il peut paraître présomptueux de penser à son pays, comme un objet qu’on veut jalousement préserver, mais je pense que là ce n’est qu’un effet de la nostalgie. Ainsi, je décrirais Niamey comme un endroit où:

  • Le mariage représente avant tout, “la moitié de la foi”. Personnellement, j’en ai compris le sens. En effet, pour tout célibataire (ou autre statut relationnel), les traits de caractères comme la résistance à toute forme de tentation, la patience et l’attention (l’écoute et la tolérance) envers son prochain peuvent être : soit des traits de la personnalité, soit des caractères choisis par simple morale. Aussi, tout bien considéré, un jeune marié a une “forme” d’obligation morale à les acquérir pour une bonne de vie de couple, pendant que le célibataire prend le temps d’adhérer à cette morale. Ainsi, selon cette morale religieuse, un jeune marié a deux fois plus de chance d’améliorer sa foi que le célibataire.  C’est  donc sur ce point que j’en comprends le sens. Par ailleurs, les jeunes mariés ont par leur engagement, comme les personnes liées par un lien de sang, créé la leur le jour du mariage. C’est ce qui justifie que le vœu général qui leur est adressé se formule souvent comme suit : « Que tout ce qui  vous a conforté vous unir perdure. Que ces petits détails, qui ont inspirés votre engagement, alimentent sans cesse votre amour et constitue l’empreinte personnel de votre couple, afin qu’il vous aide à vivre ensemble le reste de votre vie ». Cependant, je n’en ai pas saisi toute la portée car après cet engament, c’est une autre partie du savoir vivre que l’on apprend avec son conjoint. En effet, les vœux formulés au jour du mariage se rejoignent sur l’idée suivante : « Soyez patients et tolérants l’un envers l’autre ». Autrement dit, même si l’on parle de la vie comme un fleuve tranquille, lorsqu’il s’agit de faire preuve “d’un laissé allé”, nous savons tous que vivre en société n’est pas sans accrochage. Aussi, lorsque je dis n’avoir pas saisi toute la portée du mariage (moitié de la foi), c’est pour m’accorder le bénéfice du doute sur les petits détails qui entourent le quotidien d’un couple “marié”. Je peux tout au plus supposer que : la foi de la personne mariée est doublement mise à l’œuvre ; tant en ce qui concerne la résistance à toute forme de tentation qu’à la patience et l’attention envers le conjoint(e). Alors, tant que je n’en aurais pas fait l’expérience, je ne ferais que supposer.
  • L’Internet et tout le High-tech sont en “ébullition”, car même si l’accès n’est pasrapide et constant (comme en Occident), la jeunesse sait en tirer l’utilité et les mettre à sa portée “par la force de sa volonté”.
  • La famille place “de grandes espérances en tout enfant”, pour réussir là où ils n’y sont pas parvenus.
  • C’est la vie au dessus de ses “moyens: la misère demeure dans plus de la moitié des foyers du pays, mais la population vit dans le luxe qu’elle préfère qualifier de simple confort. Une qualification qui ne sert que de paravent, pour nier le tort de s’abandonner à la luxure. Une tendance qui pourrait s’expliquer par tant de choses dont ; le poids des apparences en raison des fréquentations (suscité en général par la jalousie ou encore le simple désir de plaire), la culture de l’habillement liée à la mode, coût des fêtes.
  • L’éducation devient “laxiste” et moins stricte. En effet, comparée à celle reçu par nos parents (ou même celle que j’ai reçu), la jeunesse née après l’an 2000 a reçu une éducation moins stricte qu’auparavant . Je suis presque tentée de rejeter toute la faute sur l’accès à l’internet, pour la simple raison que certains en font une utilisation “futile”. Seulement, je fermerais ainsi la porte à tous les bienfaits qu’on tire de l’accès en temps réel aux cultures/mentalités extérieures. Car, « tout ce qui ne relève pas de la culture ou de la coutume propre à un pays, n’est pas forcément mauvais ». Par exemple, je pense que, le simple fait d’être témoin du passage de la violence à la guerre, par intolérance envers “l’autre communauté” (raciale/ethnique/religieuse), fait appelle à notre conscience pour s’accepter et vivre en toute quiétude. Pourtant, être aussi témoin du “zèle” de cette jeunesse en termes de respect et d’obéissance, me pousse à faire le rapprochement avec l’éducation donné en Occident (transmise par les voies de communication et face auxquelles les parents ne font pas le poids). Pourtant, force est de constater que les mentalités changent, les échanges avec le monde extérieur ont de l’influence et le poids de la religion s’exerce moins sur l’éducation.
  • Il n’y a pas “foule de distractions”, mais les jeunes savent s’amuser de manière plus ou moins sobre.
  • “On vit plus dans la religion qu’on ne la vit”. Avec une population à 98% musulmane, les pratiques et bases culturelles de la population ont une forte connotation religieuse. Pourtant, la pratique religieuse est propre à chaque individu. Dès lors, lorsque l’on constate que la majorité de la population, représentée par les jeunes, profite de son époque plutôt que de vivre une phase que questionnement de soi/culture de sa foi; on est en droit de remettre en question la pratique religieuse de la population.
  • Les superstitions ne sont pas qu’illusion et théorie. Le surnaturel fait partie de nos traditions. De ce fait, même si on n’y croit pas comme de fervents adorateurs, on y croit par ouverture d’esprit en les acceptants comme possible (pour en avoir été témoin ne serait-ce qu’une fois en tant que « Nigériens »).
  • La dépression et les maladies mentales en germe ne sont que supercherie ou sorcellerie. En effet, lorsqu’un proche souffre d’une forme d’aliénation, par superstition la cause la plus probable est la sorcellerie. De ce fait, comme premier traitement ce sont vers les médecines religieuses et surnaturelles qu’on s’oriente.
  • Les dernières girafes de l’Afrique de l’Ouest sont chez moi : j’ai eu le plaisir de les contempler sans jamais m’en lasser. Pendant que l’on s’attarde à regarder leur cou et leurs jambes interminables, on oublie que le temps n’est pas aussi long.
Girafe - Niamey (Niger)
Girafe de Kouré (Niger) par Thierry Karsenti via Wikipedia
  • Le squelette de dinosaure, une beauté spectaculaire. On ne saurait résister à son appel, chaque fois que l’on fait un détour au musée de Niamey.
  • La politique fait couler beaucoup d’encre, car les maux qu’elle génère sont intarissables.
  • Aller au marché c’est comme faire un crochet chez un parent. On papote, on rigole, on marchande. De plus,  on quitte le marchand avec plus que son achat; une nouvelle connaissance, un fait divers et le sourire. Néanmoins, une fois sur son propre chemin, il faut faire attention aux pickpockets, car ils ne sont jamais loin.

    Petit Marché - Niamey (Niger)
    Entrée du Petit Marché (Niamey) par Luciadecartagena via Wikimedia

 

  • La zone fluviale (mieux que d’autres) dispose d’espaces relaxants. En effet, comme dans tout pays, tous les moyens sont mis en œuvre pour rendre le pays attractif. De ce fait, il y  a de beaux endroits où l’on a presque envie de s’éterniser. C’est le cas du quartier où se situe l’espace qui fait office de plage, appelé “pilule” et qui a l’habitude d’accueillir des événements culturels comme FIMA (Festival International de la Mode Africaine). A la pilule, une légende, telle les contes sur la sirène, raconte qu’il est dangereux de s’aventurer aux abords du fleuve. Cette sirène, appelée “Mami Wata” dans la langue locale, a comme on l’a tous connu le don de charmer les riverains. Alors, même si l’on a conscience qu’elle est plus intéressée par les hommes que par les femmes, on ne peut s’empêcher de penser à ce qu’elle pouvait faire subir aux femmes. Comme quoi, grandir avec des légendes nous donne une imagination débordante, mais nous laisse aussi perplexe. Avec des superstitions plein la tête, on est prudent quand on s’y rend.  Alors, à tous les curieux, faites y un tour, vous pourriez y faire sa connaissance.

Malgré ses maux de société, ce sont aussi toutes ces petites choses qui font de Niamey, un lieu si précieux à mes yeux.


Bonjour tout le monde !

Je m’appelle Tani Adamou. Passionnée de l’écriture et de la langue anglaise, je compte nourrir ces passions en commençant par les partager sur goldyworld . L’été dernier, comme un déclic, je suis passée de la rédaction pour mon propre plaisir au partage de mes écrits avec tout public intéressé. A cette occasion, j’ai eu la fortune de tomber sur le concours de Mondoblog qui a conforté mes premiers pas, en m’orientant vers l’animation du présent blog.

Jean Cocteau disait que : « Ecrire est un acte d’amour. S’il ne l’est pas il n’est qu’écriture ». Vous comprendrez par cette citation que l’une, plus que l’autre, m’anime à ne jamais rester inactive sans écrire. Aussi, c’est dans ces moments d’inspiration que je prends ordinairement le temps de me rafraîchir l’esprit des points de vue des autres. En effet, comme le disait tantôt Emile-Auguste Chartier : « Celui qui ne lit que ce qui lui plaît, je le vois bien seul. Toujours en compagnie de ses chétives idées personnelles, comme on dit; mais il ne sortira jamais de l’enfance ». J’espère jusque-là que je n’ai pas perdu votre attention et que vous partagez l’avis que tout écrit vaut le coup d’œil fondamental.

Toutefois, je ne vais pas m’asseoir sur ces idées et ma motivation personnelle pour que vous me lisiez. Sur ce blog, je vous proposerai dans un premier temps mes analyses de faits de société (en version anglaise aussi dès que possible), mais aussi tellement d’autres choses ! Je vous proposerai éventuellement une rubrique « découvertes » des nouvelles et faits divers relatifs à mon pays d’origine (Niger) que je me permettrai de nommer « sweet home ». Certes, je vis et respire la France aujourd’hui, mais mes origines influent encore sur le regard que je porte sur tout ce qui m’entoure. Enfin, au fil du temps avant même que vous le remarquiez, je serai à mesure de vous proposer des articles d’une grande diversité. Pour commencer, j’espère que vous apprécierez particulièrement mes premiers articles qui parlent du nouveau mode de lecture né des réseaux sociaux et de la manière dont on crée et vit de nos propres réalités.