Zacharie Saint Victor

Quel avenir pour les enfants délaissés en Haïti ?

credit photo: blogsosenfants.org
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creddit photo: osibouake.org
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Quand les droits des enfants sont violés, laissés aux abois et quand ils ont recours au mal pour survivre. Ça devrait éveiller notre conscience. Je pleure le désespoir, la mélancolie et le drame des enfants délaissés en Haïti. Cette situation est frustrante et pénible pour l’avenir de ce pays. Si rien n’est fait, on assistera à l’inverse de ce dicton « enfant d’aujourd’hui et adulte de demain », ce serait enfants d’aujourd’hui et danger pour demain.

L’enfant d’aujourd’hui, adulte de demain. Si nos enfants sont délaissés, demain à quoi on peut espérer ? S’ils ne sont pas éduqués, quel avenir pour ce pays ? S’ils n’ont pas reçu d’amour, comment à leur tour vont-ils donnés ce qu’ils n’ont pas ?

Dans mon pays, ça va mal ! Des enfants donnent naissance à des enfants. Ce qui est pire, ils sont laissés à eux-mêmes. Parmi ces enfants, ils ne connaissent pas leurs parents, surtout leur père. C’est lsa croissance démographique, ça engendre la misère, la désolation, la délinquance et la violence.

Ils n’ont pas de modèle, c’est une crise d’identité. Ils sont manipulés par ses paires. Ils sont maltraités et ils vivent mal. Ils n’ont aucun refuge pour les prodiguer des soins nécessaires. Ils grandissent dans la misère, dans les conditions infrahumaines, dans la pauvreté et dans la délinquance.
Ils sont nombreux dans les rues, surtout sur les places publiques. Ils font toutes sortes d’activités pour survivre. Ce sont eux qui lavent les voitures, qui les essuient au moment de l’embouteillage. Ce sont eux qui remplissent les voitures de passagers. Ils sont livrés à la mendicité. Ils sont intégrés dans des gangs. Ils tuent les gens pour peu d’argent par-ce-qu’ils n’ont ont aucune notion sur l’importance de la vie. Ils sont livrés à la drogue, aux cigarettes et aux alcools. Ils dorment dans les rues, sur les galeries et sur les places publiques sans couverture. Ils sont très dangereux.

Leur nombre augmente graduellement, surtout dans la zone métropolitaine. Sortir des provinces, prendre des bus pour venir à Port-au-Prince à la quête d’une vie meilleure. Hélas ! Ils sont domestiqués, leur parent leur donne à une personne de la capitale dont ces derniers connaissent tous les maux de ce monde. On les appelle des « Restavek » c’est une forme d’esclavage moderne. Ils travaillent péniblement, ils ont subit de violences sexuelles, de violation de droit et de punitions sévères. Ce sont eux qui doivent assurer toutes les tâches ménagères. Certains ne vont pas à l’école. Et, l’enfant de la famille devient le chouchou de la famille.

Par conséquent, ses enfants n’ont pas connu d’amour et d’affection. Ils sont très mal vus dans la société. Ils sont emprisonnés et n’ayant aucun droit à un avocat pour plaider leur cause. Du jour ou de l’heure, ils les relâcheront, personne ne sait. Ils sont auteurs de plusieurs assassinats. C’est de la frustration, du dégout, de la mélancolie et de la tristesse.

Aujourd’hui ou demain, si rien n’est fait pour les rééduquer, pour mettre leur talent en évidence et pour les aider psychologiquement et socialement. Le pays deviendrait une bombe à retardement, que l’on veuille ou non ca va exploser. Ou sont les élites de ce pays ? Où sont les gouvernements de ce pays ? Où sont les religieux de ce pays ? Où sont les organisations de ce monde ? Où sont les institutions internationales ? En effet, C’est un avenir malheureux, mélangés de tourments et de misères. Un pays de corruption et sous-développés.

Zacharie SAINT VICTOR


L’interdit tente

credit photo:slate.fr
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Chaque société est régie par un ensemble de lois, de normes et des interdictions. Au sein même de chaque institution ou d’une d’organisation, il y a toujours des principes, des lois et des interdictions à respecter afin d’assurer leur bon fonctionnement. Certaines interdictions ne sont pas les mêmes dans tous les pays. Par exemple : tel comportent dans une société peut-être conforme et ce même comportement dans une autre société peut vous qualifier de déviant ou de délinquant.

On retrouve diverses formes d’interdictions : religieuses, etatiques, institutionnelles… certaines interdictions sont temporaires, par exemple des mineurs qui doivent attendre ses 18 ans pour avoir accès a certaines choses. En outre, pour les croyants qu’on les interdit le sexe avant le mariage.

Au regard de la psychologie sociale, Considérons l’influence de l’individu sur la société et l’influence de la société sur l’individu : Il y a interaction. Oui, il existe un rapport constant et présent, c’est comme le recto et le verso d’une feuille. On ne peut pas découper le verso sans découper le recto d’une feuille. Cependant, est-ce-que l’individu se soumet toujours aux lois et à toutes les interdictions ? Les lois sont-elles justes ? Toutes les interdictions sont elles toutes au profit d’une société ? Ne sont-elles pas des armes pour assurer un pouvoir conservateur ou synonyme de domination aveugle ? Une société peut-elle fonctionner sans les interdictions ?

Les interdits tentent. Tout ce qui tente, attire, incite a quelque chose, crée le désir et l’envie. Fort souvent, on lit dans les pancartes, les panneaux, sur les écrans pour citer que ceux-là « C’est interdit d’entrer, de fumer. C’est interdit pour les enfants ». Certaines fois on ne dit pas pourquoi c’est interdit. Vous imaginez quand on vous dit : « C’est interdit d’entrer », au moment même ce qui passe dans votre tête et vos autosuggestions. On est curieux de savoir ce qui se passe derrière cette porte.

Cette même curiosité nous permet de comprendre bien des réalités au sein de la société. Malgré les interdits ; nombreux sont les toxicomanes et des jeunes dépendants de la drogue. L’augmentation des mineures à la prostitution. Malgré les interdits, on enregistre des cas de viols, d’agressions sexuelles, de vols et des gens assassinés.

Les interdits suscitent la révolution. Doit-on toujours obéir aux lois ? Saint Augustin a dit : « A une loi injuste, nul n’est tenu de l’obéir ». En sociologie, on montre que : un peu de déviance par rapport à la norme faire avancer la société. De ce fait, la révolution de Martin L. King est une déviance par rapport aux normes de cette époque. A cette époque, on interdisait l’intégration des noirs dans cette société. Il est devenu un scandale afin de concrétiser son rêve.

Violer certains interdits sociaux aura de grandes conséquences sur notre vie et sur notre environnement. Quand il nous est interdit de couper les arbres, d’éviter la pollution de l’air, des rivières et des mers qui créent un déséquilibre à l’échelle planétaire. Quand les lois nous interdisent de tuer, de faire souffrir l’autre. Et, dit non à la violence, à l’abus sexuels et de respecter l’autre avec ses différences et sa vision du monde. L’interdit tente, soyez vigilant pour ne pas transgresser les lois ou pour ne pas soumettre aveuglement aux lois.


L’importance de la musique

credit photo:yrle.com
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credit photo:canailleblog.com
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Pour écrire ce billet, le livre d’Henri Abran ayant pour titre : « L’influence de la Musique sur l’apprentissage, le comportement et la santé », a été ma principale source d’inspiration et m’a suscité davantage sur l’importance de la Musique. De ce fait, je lui témoigne tout mon respect et mes sincères félicitations.

Depuis la genèse de ce monde jusqu’à aujourd’hui la musique reste et demeure. Elle est indispensable à la vie. Elle est présente à tous les moments de la vie, dans toutes les sociétés et a toutes les époques. La musique est omniprésente, on l’utilise soit à la naissance, pendant la guerre, pendant les festivités, au moment des cultes religieux, pendant les funérailles pour citer que ceux-là. Elle est universelle. Selon Napoléon : La musique a, de tous les arts, l’influence la plus profonde sur l’âme.

La musique a plusieurs dimensions. Considérons les dimensions simples qui rentrent même dans la structure interne ou ses fondements comme : la hauteur, la durée, l’intensité et le timbre vocal et instrumental. Ensuite les dimensions complexes : organisation ou fonctionnements des éléments simples, c’est-à-dire les styles, les formes et l’ambiance générale qui se dégage de l’audition d’une musique donnée.

La musique touche toutes les dimensions de l’homme. Telle société agit d’une certaine façon à partir d’une forme ou d’un style de musique donnée. Nous écoutons pas la musique de la même Facon, nous n’interprétons pas les chansons de la même manière. Que l’on veille ou non, elle aura un effet sur nous. De ce fait, quels sont les effets de la musique ? Quels sont ses bienfaits ?

Les effets de la musique

Les effets physiologiques : Effets sur les cellules, les divers systèmes, sur le métabolisme et les rythmes fondamentaux. Selon un médecin et musicothérapeute, Altschuler, la musique agit sur la pression sanguine, la respiration, le pouls, le metabolisme et l’énergie musculaire. Echevin, relie le plaisir musical à la mélodie. Celle-ci engendre des sensations perceptives, la perception auditive, visuelle, olfactive, gustative et cénesthésique. Pour Echevin, l’un des effets les plus importants de la musique serait de faciliter de rétablir les rythmes fondamentaux, le rythme cardio-vasculaire, la digestion la tension la relaxation.

Les effets cérébraux

La musique peut équilibrer et renforcer le système nerveux. Selon Aivanhov : Une atmosphère créée par le chant, la musique, l’unité, l’harmonie permet de se transformer de travailler sur soi-même et surtout d’équilibrer le système nerveux qui se renforce de cette façon. On dit également que la musique est l’activité électrique du cerveau.

Les effets cognitifs

La musique a des effets directs ou indirects sur l’intellect et sur d’autres facultés. Pour Cayce : La musique aide à établir l’harmonie entre le physique, l’émotion, le mental et l’âme. Elle peut aussi transformer les tensions de l’anxiété en énergie créatrice. Et, selon Altschuler, elle stimule l’imagination et l’intelligence.

La musique contribue à un bon apprentissage, c’est comme un catalyseur ou un facilitateur. Elle est contagieuse. Elle agit sur le comportement de l’homme. Aristote disait : La musique a le pouvoir de former le caractère. Georges Duhamel, médecin, ecrivain musicologue disait également : Dis-moi qui tu ecoutes, je te dirai qui tu es.

Grâce à la musicothérapie, la musique a de grands effets sur la santé. De ce fait, elle a une influence sur les comportements des malades, sur leur guérison et même leur apprentissage. P. Echevin rapporte que Constantin, frère du Tsar, était colérique. Le piano seulement a le pouvoir de le calmer. Quand il résidait à Varsovie il demandait qu’on aille chercher le jeune Chopin et il lui écoutait pendant des heures. Tout comme le roi Saul faisait appel à David. Nombreux sont les témoignages au sein des hôpitaux, des centres psychiatriques… sur les bienfaits de la musique sur la santé. Nombreuses sont les maladies que la musique apporte de guérison.

La musique est plus haute que toute philosophie humaine. Elle est partout. Je termine ce billet avec les pensées du célèbre Aivanhov. Pour lui : les quatre voix (basse, tenor, alto et soprano) représentent les quatre cordes du violon. Ce dernier serait aussi un symbole de l’homme. La corde de sol représenterait le cœur, celle de l’intellect, celle de la représenterait l’âme et le mi l’esprit. Les quatre nous rappelleraient que les quatre principes du cœur, de l’intellect, de l’âme et de l’esprit doivent vibrer en harmonie dans l’être humain. Comme le violoniste doit accorder son violon avant de jouer, l’être humain doit accorder son être entier pour faire un véritable travail intérieur. D’après ces affirmations, la voix du ténor et la corde du seraient liées à l’intellect, donc à une certaine forme d’apprentissage.

Zacharie SAINT VICTOR


Le changement est possible

credit photo:electrosphere.blogspot.com
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Chacun espère du changement dans le monde auquel il vit ou il appartient. Sortir d’une situation à une autre situation jugée meilleure. On souhaite toujours que les conditions de vie changent. On a des projets, des attentes et on espère toujours à ce que demain soit meilleur. Certains pensent que le temps à lui seul peut tout faire sans sa complicité, mais non !

Fort souvent, on prétend que nous sommes trop petits pour changer nous-mêmes et le monde qui est autour de nous. On croit que les autres peuvent réussir à tous les coups, mais nous, c’est non ! Nombreux sont ceux qui sont trop dépendant d’une personne pour les venir en aide en guise de changement. Mais comment on peut changer sans le vouloir, sans être motivé et sans croire au changement ?

Le changement est possible quand nous commençons à changer l’objet de nos pensées. L’homme est le fruit de ses pensées. Tout ce qu’on pense on peut le devenir. Toutes les grandes réalisations de ce monde ont pris naissance dans les pensées. Ce que nous pensons, nous les attirons. La pensée peut-être notre thérapeute ou notre source de maladie. Imaginez des maladies dites psychosomatiques, que nous créons par peur ou par anxiété dans nos pensées. Pouvons-nous espérer une guérison si nous ne changeons pas l’objet de nos pensées. Les médecins ne peuvent pas vous guérir sans qu’avant tout vous le pensiez et vous le souhaiteriez.

Prenez soin de vos pensées. Voici ce que la Bible nous exhorte à travers l’épître aux philipiens, chapitre 4 le verset 8 : Portez vos pensées sur tout ce qui est vrai, tout ce qui est honorable, tout ce qui est juste, tout ce qui est pur, tout ce qui est digne d’être aimé, tout ce qui mérite l’approbation , ce qui est synonyme de qualité morale et ce qui est digne de louange.

La pensée est primordiale et elle devient nos paroles. La pensée précède la parole. La parole est créatrice et transformatrice. La parole est une arme que nous ne devons pas minimiser sa puissance. Elle peut changer le monde autour de nous, si nous les utilisons à bon escient. Le changement ne serait pas possible sans la puissance de la parole.
Le changement est possible par des actions concrètes. C’est une complémentarité entre : la pensée, la parole et l’action.

credit photo:novaplanet.com
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Considérons, La révolution Indienne avec M. Ghandi, il ne pouvait pas tolérer la domination de cette puissance étrangère. Face à tout, il savait que le changement était possible. De ce fait, changer le sort de son peuple et de son pays était l’objet de ses pensées. Il a utilisé également l’arme la plus puissance qu’est la parole : prêchait la non-violence et la non coopération. Il accompagnait le peuple dans ses entreprises en signe d’action concrète. Oui, il a sorti de l’ordinaire, par ce que le changement était possible.

Le changement est possible si vous le souhaiteriez vraiment. Vous pouvez changez-vous-mêmes et changez ce monde autour de vous. Pour changer ce monde, commencer par changer vous-mêmes. Vouloir, c’est pouvoir.

Zacharie SAINT VICTOR


Des valeurs qui n’ont pas de prix

credit photo:fr.wikipedia.org
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L’homme bénéficie des valeurs, qui sont indispensables à la vie, auxquelles il ne peut rien donner en échange. Ce sont les bienfaits de la vie, de la nature et du créateur. Tout ne s’achète pas. L’argent, l’or et le diamant sont insignifiants à certaines choses.

Comme dit l’autre : La vie ne vaut rien et rien ne vaut la vie. Qui peut donner le souffle de vie ? A quoi peut-on remplacer la vie, si ce n’est pas la vie elle-même ? Au cours de notre vie, indeniablement, chacun d’entre nous ressent la douleur de la perte d’une personne si chère. La séparation est dure, malgré nos cris, nos souvenirs et notre attachement avec cette dernière, nous ne pouvons rien faire. A ce moment nous pensons comment la vie est précieuse et un jour nous aussi nous devons passer par là. Si seulement la vie pouvait vendre et s’acheter, les gens qui détiennent les richesses du monde ne laisseront rien pour les pauvres. Heureusement, c’est un don. La vie est donnée à tous et à toutes, et elle n’a pas de prix.

La santé ne s’achète pas. Pour rester en vie, nous devons avoir une bonne santé. Notre organisme, notre corps devraient bien fonctionner. Ne sommes-nous pas conscients quand nous ne protégeons pas notre santé ? Au quotidien, nous devons lutter pour que nous restions en bonne santé. Elle ne vend pas à l’hôpital. Pourquoi les médicaments ont presque toujours des effets secondaires ? Pourquoi n’existe-t-il pas de traitement pour certaines maladies ? Rester en santé dépend de notre comportement sur notre environnement. Que donnerons-nous en échange de la sante ?

L’amour ne se vend pas. Qui peut comprendre tous les mécanismes et toutes les implications de l’amour. On peut posséder le corps d’un homme mais pas son amour. Le véritable amour dépasse la compréhension de l’homme. L’amour a-t-il une définition propre, où nous pourrons cerner toutes ses manifestations. A quoi on peut acheter l’amour de quelqu’un ?

Les valeurs intrinsèques de l’homme n’ont pas de prix. La bonté, le respect, l’honnêteté, la joie, le bonheur, la dignité, la réputation, l’humilité, l’intelligence,la paix pour citer que ceux-là, notre vie en dépend tellement pour assurer le lien qui nous unit. Nous les utilisons toujours aux dépens de notre famille, de nos amis ou de notre entourage.

Ces valeurs forment notre caractère, notre idéal et notre savoir être. Nous les utilisons à chaque instant de notre vie. Dès fois, nous ne pouvons pas faire la différence entre l’une et l’autre. C’est une combinaison, un système l’une dépend de l’autre. On les a tous besoin pour rester en vie.

Zacharie SAINT VICTOR


Le prix de la persévérance

credit photo:belleetcultivee.com
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La persévérance, c’est partir d’un point A pour arriver à un point B. C’est comme une course, il y a toujours un point de départ et un point d’arrivee. C’est un carrefour, nécessairement pour tout travail réussi, on devrait passer par-là. Pour toutes les entreprises de l’homme, elle est l’empreinte de toutes les réussites. Indéniablement, la persévérance a toujours un prix. Dans n’importe quoi on persévère, on aura toujours une récompense.

Si la persévérance, c’est partir d’un point A pour arriver à un point B. Pour mener à bien notre course, nous devons faire l’usage de ces caracteristiques comme : la patience, la prière, la soumission, la confiance, les sacrifices, résister aux tribulations, la fidélité, le courage, l’humilité, la ténacité et l’attraction. A travers l’histoire du monde, tous les athlètes qui ont réussi, ont témoigné qu’ils ont faits l’usage de ces caracteristiques.

La persévérance touche tous les aspects de la vie. A travers la Bible, Dieu ne nous récompensera pas si nous n’avons pas gardé sa parole de persévérance. Voici ce qui est dit, dans Apocalypse 3 versets 10 à 11 (Bible traduction : Louis Segond, version 1975) «Parce que tu as gardé la parole de la persévérance en moi, je te garderai aussi à l’heure de la tentation qui va venir sur le monde entier, pour éprouver les habitants de la terre. Je viens bientôt. Retiens ce que tu as, afin que personne ne prenne ta couronne. » De ce fait, pour avoir cette couronne nous devons garder sa parole dans la persévérance.

Vivre, c’est persévéré. Imaginez la persévérance d’une mère ou d’un père pour son enfant. Dans mon pays, il y a un dicton qui dit : « Pitit se baton vyeyés ». De ce fait, ils accompagnent leur enfant tout au cours de leur vie. Rester à leur chevet, comme un médecin au malade. Même s’ils mènent une vie d’opprobre, de misère ils n’abandonnent jamais. Ils n’ont pas peur de braver les dangers et de résister aux tribulations. Ils sont patients de voir grandir leur enfant. Mais ils savent bien qu’ils ne perdent pas les fruits de leur travail. Dans ses vieux jours, dans sa vieillesse et au soir de leur vie, ils n’auront qu’à compter sur eux. C’est un support, c’est une force, une garantie et une forte assurance. Ils auront un prix pour leur persévérance.

L’agriculteur doit toujours persévérer dans toutes ses activités. Il a foi, il a confiance et il fait bon usage du temps.
Tous les grands travaux des scientifiques ont été faits avec persévérance. La persévérance simplifie le monde. La technologie aujourd’hui n’est pas celle d’autrefois. L’ordinateur, lors de son invention n’est pas celui d’aujourd’hui. Cependant, il faut respecter le principe du continuum.

Toute notre vie, nous faisons usage de la persévérance. Ça implique toutes les dimensions de notre vie. Le processus du developpement, intellectuel… Dans la construction d’un foyer. Le courage d’affronter la vie malgré tout. La foi et la confiance d’un homme à travers son chemin, même si on lui dit que le pont est coupé et nombreux sont ceux qui sont passés par-là ont péris, il sait quand même qu’il trouve une issue. S’il faut pousser des ailes, il le fait.

La persévérance n’est pas un juge. L’essentiel, elle fait son travail : elle récompense toujours. Dans quoi est-ce que vous persévérez dans la vie ? Sachez-que vous aurez un prix coûte que coûte.

Zacharie SAINT VICTOR


Des scènes du scénario de la crise politique en Haïti

Crédit photo:radiotelevisioncaraibes.com
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Sur la scène d’Haiti, présente la crise politique de ce pays. Des manifestants gagnent les rues pour réclamer le départ du gouvernement en place. 18 novembre 2013, un véritable combat se livre entre les deux camps : l’opposition et les partisans du gouvernement Martelly et de Lamorthe. En toute fin du mois de janvier, les élèves ont manifesté pour revendiquer leur droit à l’éducation. Les professeurs à leur tour étaient en grève. A l’heure actuelle, le président Martelly est aux Etats-Unis, pendant ce temps une éventuelle manifestation pour vendredi 07 février. Que se passera-t-il ?

A l’heure actuelle, la crise politique est alarmante en Haïti. Nombreuses sont les revendications contre le gouvernement en place. Une foule immense gagne les rues pour demander le départ du président. Le 18 novembre 2013, date historique pour la nation ou pour la première République noire indépendante. Au Cap, pendant que le président fait son discours, une véritable manifestation s’engage dans la zone métropolitaine de Port-au-Prince surtout à Pétion-ville. A cet effet, deux camps s’entredéchirent.

La partie de l’opposition, composés des membres des autres parties politiques, des anciens leaders et des gens dans des zones défavorisées. Son slogan « Desalin pral kay Petyon ». Sortant de Martissant, Cité-soleil, bas Delmas… La foule est de plus en plus croissante pendant tout le parcours. Pour faire passer leur revendication : branches d’arbre en main, banderoles et pancarte qui véhiculent leur message. Également, ils sont munis des photos des anciens présidents qu’ils chérissent tant. Ceux qui se montrent plus menaçants cachent leur visage. Ils écrivent sur les murs, lançant des propos et des injures. De loin ou de près, certains étudiants sont aussi impliqués. Reprochant à ce dernier d’être anti-démocratique et dictatorial. Ils profitent de ce moment pour dégager leur émotion et leur frustration.

Arrivée à Pétion-ville, c’est là, la plaie se blesse ! L’autre groupe défend aveuglement leur président. Prêt à tout pour garder l’honneur de ce dernier. Vu tant d’amour, de respect et d’honneur qu’ils en témoignent.

Imaginez, ces deux camps qui vont s’affronter… Tas de pierres, armés de bâtons, de bouteilles surtout de quelques armes à feu. Ils sont animés de colère, de frustration, perdus de raison et de bon sens. Les medias déjà sur place pour être témoin de cet évènement. N’était-ce la présence policière et d’autres corps sécuritaires. Ce serait une guerre civile acharnée.

Fin janvier 2014, le secteur éducatif du pays paraissait fort inquiétant. Les professeurs sont en grèves et les élèves gagnent les rues de Port-au-Prince pour revendiquer leur droit à l’éducation. Ils voulaient que les professeurs reprennent leur travail. Les professeurs à leur tour se plaignent de la mauvaise condition de paiement. Les élèves prenaient les rues, franchissaient certains espaces universitaires en leur demandant de les réconforter. Ils empêchaient les autres élevés des collèges de travailler. Les rues sont bloquées, ils lançaient des pierres, cassaient les vitres de certaines entreprises.

Cette situation attire l’attention des instances concernées, la partie oppositionnelle, les étudiants et les citoyens de ce pays. Elle nous permet de questionner la politique du gouvernement Martelly-Lamorthe. Par-ce-que dans leur politique de 5 E (Environnement, Education, Emploi, Energie, Etat de droits), l’éducation est une priorité. Si l’éducation est une priorité pour ce gouvernement, pourquoi tous ces élèves prennent-ils les rues pour revendiquer leur droit à l’éducation ? Pourquoi les professeurs ne sont pas satisfaits de leur condition de travail? Pourquoi sont-ils en grève ?

A l’heure actuelle, la situation n’est pas encore résolue. Timidement les cours reprennent dans les lycées, mais les professeurs ne sont pas encore satisfaits.

Par conséquent, on a enregistré : des personnes gravement blessées, des échanges de pierres. Lancement des gaz lacrymogènes qui a causé beaucoup de dégâts pour des gens paisiblement dans leur demeure et pour certains manifestants. Des tentatives de pillage de magasins et des lancements de pierres sur certains centres d’achats. Bon nombres de gens se sont transportés à l’hôpital. De ce fait, la capitale est paralysée et rien ne fonctionne comme habituel.

A l’évidence, en interrogeant la majorité d’entre eux, c’est une foule aux opinions diverses qui ne défendent pas la même cause. Certains sont animés par des intérêts mesquins et personnels. En outre, nombreux sont ceux qui se sont gelés par le chômage, éprouvant du dégout pour la vie profitent de ce moment idéal pour une maudite somme d’argent. Pour les élèves, c’est un peu diffèrent, au moins dans leur revendication, vraisemblablement, ils sont à l’unanimité. Mais tous sont-ils des élèves ?

La crise politique en Haïti est devenue un véritable feuilleton. Chaque moment, on est à l’attente d’un nouvel épisode. De ce fait, on a rendez-vous le 07 février pour un éventuel épisode. A quand sera la fin de ce calvaire ?


Sortir de l’ordinaire

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Sortir de l’ordinaire n’est pas réservé à une société uniquement, une classe sociale, un pays et une personne spécialement ; c’est réservé à quiconque. Tout le monde peut sortir de l’ordinaire. La vie nous incite toujours à faire la différence. Changer notre situation actuelle jugée difficile ou pénible et rêver d’un demain plein de bonheur cela est possible, mais il faut aussi le vouloir.

Notre condition sociale ne détermine pas nécessairement notre avenir. Tous les grands hommes qui ont fait la différence à travers l’histoire de ce monde ne sont pas issus d’une même société et d’une même condition de vie. Chacun d’entre eux se trouve dans un contexte bien déterminé.

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Sortir de l’ordinaire nécessite un rêve ou un idéal auquel on ne doit pas renoncer. Il faut être prêt à affronter les adversités et les moments difficiles. Comme le grand Martin Luther King qui a su protéger ses rêves à travers les adversités et les péripéties. Même quand la partie adverse prône la violence, malgré tout : il prêche la non-violence jusqu’au prix de sa vie.

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Sortir de l’ordinaire implique une entière persévérance et de la patience. N’ayons pas peur de nos erreurs, car l ’erreur est humaine. Il y a des leçons qui ne peuvent pas être transmises par un maître ou un enseignant, elles doivent être vécues pour être acquises. Apprendre de ses erreurs, c’est la plus grande leçon. N’oubliez pas, Thomas Edison a persévéré jusqu’au bout pour inventer l’ampoule électrique. Que de patience, il a fait 1 000 essais, et il a suffi d’un dernier essai pour que son nom soit gravé à jamais dans les annales de l’histoire. La patience est amère, mais son fruit est doux.

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Sortir de l’ordinaire suscite la souffrance, la perspicacité, la consistance, l’humilité et le savoir-être. Pourquoi un homme a passé plus de 20 ans en prison.  Au nom des idées qu’il défendait, il a refusé une liberté éphémère parce qu’il est lui-même symbole de liberté pour tout un peuple et pour le monde. Jusqu’à quand une nation enfantera un autre Mandela ? Le savoir-être, l’humilité dans la souffrance lui ont permis de devenir une icône mondiale. Il a fait la différence aux dépens de l’apartheid et à travers ce monde.

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Sortir de l’ordinaire, c’est faire la différence entre le commun des mortels. C’est une révolution dans la manière de penser et de briser les chaînes qui lient nos mains et nos pieds. Dire non à l’esclavage, à la soumission aveugle et lutter jusqu’au dernier soupir pour la liberté. Jean-Jacques Dessalines et son armée l’ont fait. Ils ont libéré ce peuple qui est aujourd’hui le peuple haïtien, ensuite proclamé la liberté générale pour ceux et celles qui étaient soumis à l’esclavage. Dans la soif de la liberté et dans le respect de la dignité humaine, ils ont réussi à faire de ce peuple le premier peuple noir indépendant à travers le monde.

Tous les grands qui ont réussi à sortir de l’ordinaire ont sacrifié leur vie. Nombreux sont ceux qui  ne pas figurent dans mon billet. Ils sont des exemples pour notre vie. Le monde est imitateur. Nous devons considérer l’exemple et les caractéristiques de leur vie pour nous aider à nous dépasser.


Haiti-déboisement: Il y a urgence!

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(credit photo: maximecorneau.wordpress.com)
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(credit photo: maximecorneau.wordpress.com)

A travers cette photo, regardez la beauté de la nature. Les arbres qui protègent le sol. les arbres sont les poumons de la terre. Si nous ne les protègeons pas,nous detruisons nous-memes.

Suivant les statistiques, avant l’occupation américaine (1934), la couverture forestière représentait 60% de la superficie totale d’Haïti. Après l’occupation américaine, en 1945, la couverture forestière est réduite à 21%. En 1985, elle a décliné jusqu’à 8 à 9% en 1954″. Et en 2009, elle a chuté jusqu’à 1,5 %. A cet effet,face à cette déforestation sauvage de notre environnement,nous ne pouvons pas crier: urgence.

Il y a urgence quand nos mornes sont désertes, à cause de la déforestation sauvage de l’environnement.

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(credit photo: hommelibre.blog.tdg.ch)
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(credit photo: hommelibre.blog.tdg.ch)

Mais quelles sont les principales causes de cette déforestation sauvage?

Suivant les observations,nombreuses en sont les causes comme l’utilisation du charbon de bois pour les cuissons.L’utilisation des bois pour les boulangers, les blanchisseries,les meubles et pour faire également des constructions.

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(credit photo: s3f-haiti.cirad.fr)
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275*183
(credit photo:flickr.com)
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261*193
(credit photo:bme.gouv.ht)
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(credit photo:bme.gouv.ht)
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277*182
(credit photo:ecobase21.net)
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(credit photo:ecobase21.net)

Après 12 janvier 2010,la situation s’aggrave de plus en plus. Plus de bidonvilisations et les mornes sont explotées.

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(credit photo:ayitikaleje.org)
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(credit photo:ayitikaleje.org)

Quelles sont les principales conséquenses?

Les inondations des plaines agricoles,les glissements de terrains, les diminutions de nos cours d’eaux et de nos sources. Nous devenons encore de plus en plus vulnérables aux catastrophes naturelles. La disparition de nos espèces. Enfin nous détruisons nous-memes.

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(credit photo:ledevoir.com)
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(credit photo;notre-planete.info)
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(credit photo:moun.com)
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Voyons cette dame, l’image d’Haiti,elle dit assez. Elle n’en peut plus. Chers dirigeants,chers citoyens, à tous le peuple haitien un peu de conscience pour sauver ce pays. Ce qui est fait jusqu’a aujourd’hui est trop mince,tenant compte, des gens qui coupent les arbres pour survivre au quotidien. Si rien n’est fait,quel serait notre avenir dans ce pays?

Zacharie SAINT VICTOR


De la cerise au gâteau

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(credit photo: lesdouceursdegenny.blog)
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Je dédie ce billet à tous le staff de l’atelier des medias, au staff de mondoblog, à tous les blogueurs (ses) partout et ailleurs et à tous les lecteurs. Mondoblog constitue une famille sans précédente. Je partage tous mes respects, mes sincères sentiments et toutes mes félicitations à tous ceux et celles qui ont travaillé pour consolider cette grande famille. Comme dit ce dicton : Un seul homme tue l’éléphant tout le village en mange. Un pour tous et tous pour un.

Mercredi 29 janvier 2014, c’est une date inoubliable dans ma vie. Comment vais-je oublier ce grand jour ? Pour une toute première fois Billy et moi avons rencontré Nelson Deshommes. Une rencontre entre blogueurs et blogueurs. Ce qui m’a surpris, je ne pouvais me contrôler face à Deshommes. Quand je l’ai vu pour la première fois, je courais comme un enfant innocent à la rencontre de son père tant aimé et tant attendu. Quelle émotion ! Quel partage ! Oh, quel rencontre ! Toute l’émotion qui nous traverse en ce moment. Nous avons parlé avec une telle aisance de tout et de rien. Par exemple : De l’importance et l’exemple de cette grande famille et sur l’avenir de mondoblog. Nous avons parlé sur quelques projets de notre avenir. C’etait extraordinaire!

A partir de cette rencontre, je comprends encore mieux toute la richesse et toutes les valeurs que nous avons en nous. Cette famille, nous avons en nous des valeurs qui n’ont pas de prix. De l’or, du diamant, sont insignifiants comparés à toutes ces valeurs et ces richesses. Quel est le prix de l’amour, du partage, du sourire, du bonheur, du bien-être, du rire ? Quel est prix de la présence d’une personne ? La présence d’une personne ne peut substituer l’autre. Chaque présence est unique. Oui ces valeurs, ces richesses et bien d’autres encore n’ont pas de prix.

De la cerise au gâteau !

Ce soir-là je ne pouvais pas fermer les yeux. Une heureuse insomnie, par-ce-que je rêvais yeux ouverts. Dans mes rêves, j’imaginais ce grand jour, où tous les blogueurs et blagueuses seront réunis. Ensemble, dans un même espace, pour partager ces valeurs et toutes ces richesses qui n’ont pas de prix. J’imaginais la présence de chaque personne, les salutations, les partages et les émotions.

Ce jour-là que ferais-je ? Quelle serait mes réactions devant tous ces blogueurs venant de la Caraïbe, de l’Amérique, de l’Afrique, de L’Europe… ? Franchement, je tremblerais de joie. Comment vais-je pouvoir m’exprimer devant tous ? Je dirai quand même : j’apprécie votre blog, merci pour vos textes, vous voilà enfin devant moi face à face. Je demanderai également quelques secrets et quelques conseils pour parfaire mon blog et mon style d’écriture. Je ne vais pas citer de nom, déjà pour ne pas susciter de la jalousie. Je grossirai mon carnet d’adresse, mon album photo. Enfin, je ne sais quoi dire pour m’exprimer réellement. L’avenir dira le reste.

Chers blogueurs (ses), déjà je ressens tout l’émotion de ce grand jour. En écrivant ce billet, sans vous cacher, je tremble et je souris. Déjà je me sens très impatient de vous rencontrer. Un grand merci à vous tous et j’espère vous rencontrer tous. Oh, quand serait ce grand jour !


Le monde est une chaîne

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(credit photo:christiantanon.blogspot.com)
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(credit photo:libweb5.princeton.edu)
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Une chaîne est constituée d’un ensemble de maillons. L’un se rattache à l’autre. Chaque maillon dans une chaîne remplit une fonction bien particulière et pour le bénéfice de tous. Il existe une dépendance entre l’un et l’autre. Une chaîne ne peut s’exister, si tous les maillons ne sont pas reliés l’un à l’autre. C’est un système.

Le monde est une chaîne. Le monde est un système. Évidemment, tout se rattache. Considérons le cosmos ou l’univers (les cieux et la terre) qui sont régis par un ensemble de lois, une régulation, bien ordonnés et bien organisés. Chaque élément de ce système doit jouer son rôle pour assurer la survie de ce monde. Imaginez la terre qui accueille une biodiversité. L’homme, les animaux, les arbres, la mer, les sources, les courants … Une merveille à nulle autre pareille ! Le soleil qui se place à une distance exacte de la terre. Qui n’est ni trop chaud et ni trop froid. La couche d’ozone, l’atmosphère qui nous protège et assure la vie sur cette planète. La lune et les étoiles qui apparaissent au temps convenable. Tous les astres, les nuages, ce ciel bleu sont tous objets de contemplations. Le monde planétaire qui nous éblouit et qui dépasse notre entendement. Mercure, Venus, Jupiter, Mars, Saturne, Uranus, Neptune, pluton, la Terre tous s’éloignent du soleil. Pourquoi la planète Terre est-elle unique ? Pourquoi accueille-t-elle la vie ? C’est l’œuvre du grand créateur.

Le cosmos et l’Univers constituent un grand système. A travers ce grand système, il existe également des sous systèmes. Imaginez la biodiversité qui constitue une chaîne. La nature est bien ordonnée. Pour rester en vie chaque élément de ce système dépend l’un de l’autre. L’homme doit vivre dans un environnement saint et remplit d’oxygène. Notre vie dépend de notre environnement ou de la nature. Dans l’océan, il existe un ordre décroissant. Du plus grand au plus petit, le plus gros poisson mange les plus petits. C’est la loi de la nature. Les animaux sont de diverses espèces, certains sont carnivores, d’autres sont herbivores ou granivores. Chaque animal doit suivre le rythme de sa propre existence. Les arbres qui sont le poumon de la terre. La mer, les cours d’eau, la rivière sont indispensable à la vie. Faites disparaitre une espèce paralyse tous les autres espèces. En détruisant un élément d’un système, tout carrément, c’est tout le système qui est détruit.

Vous imaginez, si dans nos entreprises nous arrivons à détruire la couche d’ozone qui nous protège. La vie sur cette planète existera-t-elle ? Comment serait la vie sans les eaux. N’avez-vous jamais pensé au cycle de l’eau ?

Considérons l’homme, les différentes parties de ce corps comme : le système nerveux, les différents membres… Nous formons un tout et très complexe. Le cerveau à lui seul est une merveille. Une simple partie du corps est affecté tout le corps est malade. Sans les organes reproducteurs, comment assurons-nous le peuplement de la terre ? Pouvons-nous parler de famille ou de la société ? Chaque homme est un élément du système social. Il n y a pas de génération spontanée.

Même les connaissances de l’homme font partie d’un système. Sortant de l’état empirique jusqu’à un degré de scientificité. C’est une chaîne. La science est pluridimensionnelle. Il faut qu’il y ait l’interdisciplinarité. Il n’existe pas une science qui soit totalement indépendant de l’autre. D’ailleurs, la philosophie est la mère de toutes les sciences. C’est un processus, une théorie remplace une autre théorie. Il faut une base à tout.

C’est comme la musique, tout doit être bien orchestré pour qu’il n y ait pas de cacophonie. Le monde c’est un tout. On a toujours besoin d’un tout petit élément pour faire démarrer ce grand système. Chaque maillon de cette chaîne est primordial.

A bien réfléchir, l’homme dans ses entreprises a-t-il contribué à l’avancement de ce monde ou à sa destruction ? Ne brisons-nous pas plusieurs maillons de cette chaîne ? Quand nous détruisons les arbres. Regardez bien la pollution de l’environnement, le réchauffement climatique, la couche d’ozone abîmée, la disparition de certaines espèces. Sommes-nous conscients ? Nous détruisons cette planète et nous détruisons nous mêmes. La nature ne danse pas, par-ce-qu’il n y a plus de musique, c’est la cacophonie. Tout n’est pas bien orchestré. Notre mission c’est de reconstituer la chaîne qui est brisée. Penser aux conséquences de nos actions. Le monde est un tout, c’est une chaîne, ne détruisons pas cette chaîne.

Zacharie SAINT VICTOR


Rien ne sert de courir, il faut partir à point

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(credit photo:alertsfromambert.blogspot.com_
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Les conditions de transport en Haïti sont très précaires et suscitent de grandes réflexions. Tenant compte, l’usage massif des motocyclettes. A bien observer les motocyclettes, un moyen de transport idéal pour être à temps à l’école, aux travaux ou pour se rendre plus facilement d’un endroit à l’autre. Malgré ces bienfaits à la population, également c’est un grand danger pour la population et pour l’avenir de ce pays.

En Haïti, depuis ces dernières années, l’usage de la motocyclette comme moyen de transport est un privilège. C’est le moyen de transport de prédilection par excellence. C’est un phénomène observable tant en milieu urbain qu’en milieu rural.

Le nombre de motard augmente de jour en jour. Adolescents, jeunes et adultes tous veulent se procurer d’une moto. De ce fait, les raisons sont multiples. Par conséquent, il existe un manque d’infrastructure au niveau de la circulation. A l’attente d’un taxi, les gens sont nombreux. Et, l’accès à un taxi est monstrueux. Une foule immense pour peu de taxis. A l’arrivée d’un taxi, commence une véritable bataille. Une véritable lutte s’engage. Les plus forts seront les premiers servis. Les gens qui ne sont pas de véritables lutteurs préfèrent attendre plus de 30 minutes ou plus d’une heure. Parfois, ils préfèrent retourner chez eux.

Cette situation augmente la tension et met les gens sur les nerfs. Même après avoir trouvé un autobus ou un taxi, on n’est pas encore rassuré, vient ensuite l’embouteillage. Les parents qui conduisent leurs enfants à l’école s’inquiètent encore plus. Quand les enfants sont en retard, ils n’auront plus accès à la salle de classe. Plusieurs retards sont synonymes de renvoi. Plusieurs retards au travail prouvent également qu’on n’est pas trop crédible. Une lettre de blâme s’ensuit et même parfois la révocation de ce dernier. Imaginez donc, perdre un emploi dans ce pays règne le chômage ! Ce n’est pas possible !
Pour pallier à cette situation, les demandes en motocyclettes sont fréquentes. Pas d’embouteillage pour les motards. Ils se faufilent dans un espace très restreint. Ils arrivent toujours à point nommé. C’est un moyen salutaire pour les gens en situation difficiles.

Pour les motards, c’est un moyen qui leur permet de subvenir au besoin de leur famille et d’en tirer profit économiquement. Certains motards prennent un contrat pour 1 an. Tout au long de cette Anne, chaque mois il donne de l’argent au propriétaire, après un an cette moto les revient de droit. En partie, ça diminue le nombre des chômeurs.

Quelques conséquences sus aux transports des motocyclettes.
Puisque la demande est forte sur le marché, beaucoup de jeunes qui devraient être à l’école ou à l’université abandonnent leurs études catégoriquement. C’est comme-ci, il dit à leurs parents : Au lieu de payer tous ces frais, m’acheter des livres. Pourquoi ne pas m’acheter une moto ? C’est beaucoup plus rapide pour rentrer de l’argent. Je pourrais même te rembourser sous peu. Cependant, imaginez si une grande quantité de jeunes n’iront pas à l’école ou à l’université, que deviendrait ce pays dans 20 ans ou dans 50 ans. Les jeunes ne sont-ils pas l’avenir de ce pays ? Comme dit l’autre: Tant vaut l’éducation, tant vaut la nation.

Parmi eux, certains manquent d’expériences et sont très imprudents. Ils ne suivent aucun cours, pour avoir les instructions nécessaires pour circuler en toute liberté. Ils font des excès de vitesse. Ils sont imprudents et respectent guère les feux de circulation. Beaucoup d’entre eux ne portent aucun casque. En toute évidence, la population est en danger. Par conséquent, les accidents sont plus fréquents dans ce pays. Les gens sont victimes. Suite aux accidents, laissant des parents sans enfants, des enfants orphelins et des familles endeuillées. Eux aussi meurent en grand nombre. Suivant les statisques, pendant une journée sur 10 accidents, 7 sont pour la plupart des motocyclettes. Ça a augmenté le nombre des gens handicapés dans ce pays. Des jambes et des bras amputés. Au niveau de la tête, les victimes sont nombreuses. Les médecins ou les orthopédistes ne croient pas à leurs yeux pour tant de victimes reçues dans une journée. L’excès en tout, nuit. Ils portent une quantité de personnes dépassant la capacité de cet engin. Vous serez surpris de voir même 5 ou 6 personnes sur une seule motocyclette. Mais, ce n’est pas croyable !

Ce phénomène n’est pas innocent à la baisse de la production nationale. Surtout dans le milieu rural, certains agriculteurs préfèrent vendre un lopin de terre pour acheter une moto. Avec, il envisage une rentabilité le plus rapide que possible. Dans le milieu rural, les stations abondent de motocyclettes. Les clients sont nombreux également. A cet effet, les terres sont délaissées. Ils perdent patience à cultiver la terre.

Les motocyclettes sont de bons moyens de transports. C’est aussi primordiale pour les motards tant pour les clients. Un très bon moyen sur le plan économique et en termes de services. Cependant, c’est un bon serviteur et un mauvais maitre. A court et à long terme, l’abondance des motards dans ce pays entraînent de graves conséquences sur l’avenir de ce pays.


Une pensée spéciale à ma très chère cousine

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Ce billet relate quelques faits survenus après la mort de ma chère cousine. Un évènement qui a suscité en moi beaucoup de réflexions, car la disparition d’un être cher est un moment très dur à vivre et incite à se poser des questions.

Comment oublier ma très chère cousine ? De son vivant, elle était un symbole pour la famille. Aînée de sa famille, tout l’espoir reposait sur elle. Nous habitons le même quartier. Nous étions si proches. Nous étions si habitués et si attachés. Quand nous blaguions entre nous, elle poussait de grands éclats de rire. Elle était sensible et très empathique. A 27 ans, elle était déjà mariée. A la trentaine, elle a été frappée d’une grave maladie. On a tout essayé afin de la guérir. On a consulté plusieurs médecins, mais sans résultat. Après quelques années dans la souffrance, elle nous a quittés, laissant son mari, un enfant de 9 ans et sa famille.

Cette disparition a touché toute la communauté. Familles, amis, enfants, tous étaient affolés. Nombreux sont ceux qui ne pouvaient cacher leur chagrin et leur tristesse.  Certains ne voulaient pas croire à sa mort même après ses funérailles. Son mari n’arrive pas à faire le deuil. Il dit sentir constamment sa présence auprès de lui et parfois la voir  physiquement. Ce climat a de graves conséquences sur son garçon de 9 ans. Il n’est plus performant à l’école comme autrefois. Souvent il dit :  » Voici ma mère couchée sur le lit, je la vois papy. Oui elle est ici ! « 

Lors de l’anniversaire de son fils, toute la famille était réunie pour fêter ce moment. Pendant qu’on chantait notre chant traditionnel, parmi nous, certains étaient très émus. Même le père n’a pas eu le courage de venir souhaiter à son fils un joyeux anniversaire. Il est resté couché sur le lit, tout en pleurant.
Dès qu’on cite le  nom de ma cousine , tout refait surface. Des fois on entend de grands cris poussés par son mari qui ne peut plus supporter. Ses parents et ses sœurs n’ont plus la capacité de regarder sa maison sans penser à elle.

Quelques réflexions sur la mort

La mort de ma cousine, ça m’a permis de faire quelques réflexions. J’ai compris que même après  la mort nous laissons nos traces. Nous laissons notre passé, nos souvenirs et nos habitudes. La mort est impuissante face à nos souvenirs. On ne meurt pas radicalement, on vit dans les pensées des gens. Comme ma cousine on ne peut pas penser à elle. Certains mots qu’elle a l’habitude de dire, du moment qu’on les prononce, on sent qu’elle est parmi nous.
L’enfant qu’elle a laissé, c’est un symbole de sa non-disparition et de consolation. Lors de ses funérailles, l’officiant disait : regardez cet enfant comme un symbole, tout comme Jésus a laissé une croix. Chaque fois que nous regardons cette croix, on sait qu’il est mort pour nous. De même, cet enfant chaque fois qu’on le regarde on sait également que sa mère vit parmi nous.

La mort ne suit pas vraiment le rythme que les humains veulent lui attribuer. On pense souvent que la mort doit toujours suivre l’ordre décroissant. C’est-a-dire les plus âgés ensuite les plus petits. Pourtant, elle vient à toute heure, à tout âge, en tout lieu et en tout temps. Comme disait l’autre : la mort est un tyran qui n’épargne personne.

Face à la mort, les rituels sont très différents d’une culture à une autre. Pourquoi a-t-on toujours le sentiment qu’on n’a pas tout dit malgré les années passées auprès de cette personne. On se sent coupable de n’avoir pas tout dit. De ne pas lui avoir témoigné nos sentiments.

Somme toute, la mort est une étape de la vie. Nous n’échapperons pas à ce dilemme : entre la mort et la vie. Si nous vivons, nous mourrons également, c’est la loi de la nature. De notre vivant, nous n’oublions jamais ceux qui nous ont devancés.


Protégez vos rêves !

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Dans la vie, chacun a un rêve. La concrétisation de chaque rêve nécessite des efforts, des sacrifices, voire des tribulations. Toutefois, nous devons avoir confiance et foi en nous-mêmes. Penser positivement, et sans oublier l’importance du temps.
Chacun a un idéal. On voudrait tous que notre condition de vie soit meilleure. On est en lutte constamment pour la pleine réalisation de notre idéal ou de ce qu’on voudrait dans la vie. On a tous un modèle de perfection. Nous le voulons à tout prix conforme à ce modèle de perfection, et du moment que nous poursuivons notre idéal, nous avons un vide à combler.

Vivre implique nécessairement un rêve. Toute chose est le fruit de la pensée et de l’imagination. L’environnement dans lequel nous vivons a subi de nombreuses transformations. Les grandes découvertes, les innovations, la révolution de l’industrie, l’émergence de la technologie, rien n’est le fruit du hasard. C’est le travail d’un long processus. C’est aussi la poursuite d’un rêve. Par conséquent, les idées mènent le monde.

Un rêve n’est jamais trop grand. N’ayez aucune crainte de poursuivre jusqu’au bout votre rêve. Car, ce serait votre contribution à ce monde.

Protégez vos rêves. Ne soyez pas surpris ! Tout le monde ne sera pas d’accord avec vous. Il y a des gens qui seront jaloux, même si vos rêves leur seront bénéfiques. Vous aurez des tribulations. Vous devez travailler très dur. Sacrifiez-vous.

Ayez confiance en vous et gardez la foi. La vie a des hauts et des bas.  Tel jour, vous avez l’impression que tout est à l’envers. Et, vous avez l’impression que rien ne va se réaliser et qu’il n’y a aucune issue. A ce moment-là, ne perdez pas espoir.

Un rêve ne peut se réaliser sans la loi d’attraction. Attirez tout ce que vous voulez dans la vie. Prenez soin de vos pensées. Soyez positif le plus possible.

La notion du temps dans l’accomplissement de vos rêves est primordiale. Le temps veut que nous soyons patients. Il suscite en nous l’humilité, la perspicacité, la ténacité et le courage. Le temps formera votre caractère et écrira votre propre histoire. Le monde témoignera de votre succès également dans le temps.

Attention ! Tout rêve ne se réalise pas de notre vivant. Mais un idéal ne meurt jamais. Les grands esprits ne meurent jamais. Même à notre mort, notre rêve peut se réaliser. Malgré tout, vous ne perdez pas votre récompense. L’histoire retiendra à jamais votre nom. Comme le grand Martin Luther King. On l’a assassiné,  mais pas son idéal. Aujourd’hui, n’est-ce pas la concrétisation de son rêve ?

Partagez vos rêves. N’oubliez pas que vos rêves seront votre contribution à ce monde. Le monde n’existerait pas sans la participation de chaque idéal. Un sage conseil : protégez vos rêves.


Le silence dans la souffrance.

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(credit photo:wattpad.com)
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(credit photo:m.aufaitmaroc.com)
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Ne faites pas le silence dans vos souffrances. Agissez !

Quand j’étais enfant, mes parents m’accompagnaient toujours quand je laissais la maison pour aller à un endroit quelconque. Moi devant, au cours de chemin je touche presque à tout. Je marchais, je courais sans faire attention. Bien des fois, je tombais et j’ai reçu pas mal de choc. Dés fois, je n’arrive même pas à me relever tout seul. Quand je ne peux pas me relever, ils sont venus à mon secours. Sous le choc, j’ai voulu pleurer pour montrer que ça fait mal et pour me libérer de mes souffrances. Ils m’ont dit toujours : Silence ! Silence, je te dis ! Dans ce cas, je leur obéissais. Malgré je me sentais très mal. Ils m’ont encore dit : tu dois rester ferme. Tu dois être courageux dans la vie même quand tu souffres. N’oublies pas t’es un homme !

Le silence dans la souffrance engendre la peur. La peur de s’exprimer, la crainte de dire ce qui ne va pas et où on a mal. Voulant me montrer courageux, dur comme le fer. Pourtant, je saignais sous mes vêtements. J’ai reçu pas mal d’égratignures.

Au quotidien, certaines personnes disent toujours : Je suis très résilient. Je résiste à tous les chocs. Je suis courageux. En toute apparence, en relation avec les autres, elles tiennent le coup. Mais sans vouloir exprimer ses souffrances. Quand vient la solitude, vous serez surpris de les voir pleurer. N’oubliez pas : Le sujet résilient ne refoule pas sa souffrance ni son traumatisme.

Devant un tribunal une dame a déclaré : Pourquoi l’injustice ? Même quand certains gens parlent, leur voix sont confondus a celles des sans voix ou des muets. La justice a-t-elle un prix ? La justice est-elle faite pour les hommes de pouvoir ou pour ceux qui détiennent toutes les richesses ? Peut-on garder le silence face à l’injustice ?

J’ai entendu un spot à la radio qui a retenu mon attention. Dans une relation conjugale, le mari brutalise sa fiancée. Il l’a battu, méprisé et l’indigné. La femme à son tour résiste à toutes ces souffrances sans jamais dit un mot à quiconque. Pour une dernière fois il l’a battu jusqu’à mort. Ce qui est intéressant dans ce spot. Le narrateur disait en guise de la femme : toute ma vie, j’ai reçu des gifles, des tabassages. Il m’a humilié et m’a indigné. Je n’ai pas reçu des fleurs. Mais sur ma tombe, il m’a apporté des gerbes de Fleurs. Son silence dans sa souffrance, lui a couté sa vie.

Beaucoup sont ceux qui périssent dans leur silence. Le silence ne peut pas nous libérer de nos souffrances, de nos frustrations et de nos stress.

Ne fait pas le clown. Le clown même s’il a mal, il doit se déguiser pour monter sur la scène pour divertir les autres. Derrière son masque cache le visage de la solitude de la tristesse. Souvent, on ne montre pas toujours notre vrai visage.

Garder le silence quelques fois nous tue. Ça nous fait mal. Certainement, on a le droit de s’exprimer. De dire ce qui ne va pas. Etre fort et courageux ne veut pas dire qu’on souffre pour autant.


J’imagine

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J’imagine le mystère de la procréation. Comment tout homme est fait par la rencontre de deux gamètes (mâles et femelles). Pourquoi tant de spermatozoïdes dans une seule éjaculation ? Pour des milliers de spermatozoïdes, pourquoi un seul serait élu à la rencontre de l’ovule. Comment comprendre le développement à l’intra-utérin ? Pourquoi n’avons-nous pas le même ADN ? Pourquoi tout homme est différent ? Extraordinairement depuis le début de notre vie, nous luttons.

J’imagine l’incertitude de la vie face aux catastrophes naturelles. Est-ce les catastrophes naturelles qui ont causé tant de morts ou de victimes ou l’homme lui-même qui a causé sa mort. Parce qu’il manque de connaissance pour dominer la nature. Dirait-on, sa mauvaise gestion de cette planète. Sommes-nous si impuissants aux événements naturels ? A considérer quelques événements : 12 janvier 2010, le passage d’un séisme en Haïti qui a seulement durée 35 secondes, sur la magnitude de 7,3 sur l’échelle de Richter. Suivant les statistiques, on a enregistré : 300 000 morts, 250 000 blesses, 4 000 personnes amputées et 1,5 million sans logement. Considérons également, un cyclone tropical qui a provoqué la mort de 500 000 personnes au Bangladesh en 1970, tandis qu’en Chine la crue du fleuve Yang-tseu-kiang, consécutive à des cyclones, avait tué entre 40 et 50 millions de personnes au milieu du XIXe siècle. Suite à ces catastrophes, imaginez tant de pertes en vies humaines. La destruction d’un pays, d’une ville…

J’imagine la complexité du cerveau humain. Contenant de nombreuses cellules nerveuses, comparées à l’univers. Tout le corps est à son commandement. Jamais l’homme ne saurait comprendre toutes les dimensions du cerveau.

J’imagine. Pourquoi l’homme est si égoïste ? Pourquoi tant de sauvetage individuel ? Voici une illustration : Deux hommes marchent ensemble dans une forêt poursuivis par des loups. En voyant les loups, ils essaient de s’échapper. Au cours de chemin, l’un d’entre eux tombe et l’autre s’est arrêté pour l’aider. Incroyablement, il lui a tendu un piège. Il lui a blessé son talon, puis se relève et continue tranquillement son chemin. Pourquoi nous détruisons tant de vies à cause de notre intérêt mesquin. Nombreux sont ceux et celles qui pensent que le monde appartient a eux seuls. Pourquoi on veut toujours dominer l’autre ?

J’imagine. Pourquoi l’homme est-il si limité dans le temps et dans l’espace ? Sur terre, on n’est pas éternel.

J’imagine la transformation de ce monde chaque jour de mon existence. A des valeurs qui s’effritent dans le temps. La science qui simplifie la vie de l’homme, également qui participe à notre destruction. Ce qui était tabou dans le temps, ne l’est plus aujourd’hui. C’est la révolution de la pensée.

Tant qu’on vit, comment ne pas imaginer à tout ce qui se passe dans ce monde. Mais, comment tout comprendre ? Il y a des choses qui dépassent la compréhension humaine.


A qui serait le nouveau ballon d’or 2013?

a qui serait le allon d'or 2013

La remise du ballon d’or 2013, crée pas mal de suspense, de tension et d’émotions. La liste pour le ballon d’or figure trois grands postulants. Qui, par leur talent, leur prestation et leur qualité ont marqué le monde du foot. Toute la presse, les fans, les internautes, les joueurs sont super motivés pour connaitre le prochain ballon d’or. La grande question, qui serait ballon d’or cette année ?
Tension ! Suspense ! Tout le monde en parle ! Cristiano Ballon d’or 2013 ! Messi quintuple ballon d’or ! Ribery pour la première fois ballon d’or 2013 ! Jusqu’à présent rien n’est confirmé. C’est le grand suspense ! Patience, 13 janvier le moment le plus attendu pour mettre un terme a tout. Mais, ce jour n’est pas encore arrivé.
A travers les medias, ça fait la une de l’actualité. Les votes n’ont pas cessé de se multiplier. Les grandes chaines de télévision, les entraineurs, les fans, les joueurs, les internautes et le staff de la FIFA n’ont pas caché leur émotion et leur sentiments vis-à-vis des postulants pour cette distinction, combien si précieuse. Tous attendent l’arrivée de ce grand jour, pour enfin découvrir le prochain ballon d’or.
Entre Messi, C. Ronaldo et Ribery, qui serait ballon d’or 2013 ? Une vraie concurrence se livre entre ces trois postulants. En toute évidence, c’est une rude tâche pour les votants, notamment pour S. Blatter de décerner ce nouveau ballon d’or. Tenant compte, pour la saison 2013, de beaux spectacles et de véritables prestations de ces joueurs. Par ailleurs, leur qualité, leur potentiel et leur contribution au monde du foot-ball.
Par comparaison, chacun de ces joueurs se différencie suivant leur manière et leur style de jouer. Ils étaient très décisifs, offensifs et indispensable pour leur équipe. Fièrement, ils ont marqué l’histoire du foot. Messi, Ronaldo et F. Ribery, ce sont de véritables machines à gagner.
Au niveau des fans, la tension monte à l’ extrême. Nombreuses sont les critiques face à la nouvelle décision de la FIFA, suite au prolongement des votes. Egalement, certains fans se réjouissent. Le suspense se crée encore plus, quand Ronaldo se montre très décisif pour la fin de cette saison. Par exemple, en qualifiant son équipe pour la coupe 2014, marquant 5 buts sur l’ensemble des deux matchs face à Zlatan I. qui crache du feu au PSG.
Ce qui inquiète encore plus les fans du quadruple ballon d’or, c’est sa blessure pendant cette fin de saison. Et, pendant son absence, les autres concurrents n’ont pas cessé de prouver leur talent. Tenant compte de Ribery avec son club, qui a atteint son apogée, remportant toutes les grandes compétitions. Par exemple : la compétition la plus prestigieuse (La ligue des champions) et d’autres titres en Allemagne.
Malgré les statistiques, rien n’est encore dit. Pour certains Messi est le meilleur de tous. Pour d’autres Ronaldo mérite ce ballon d’or cette année. Egalement, pourquoi pas Ribery ?
L’essentiel, nous devons user de patience. Le grand jour avance à grand pas. Mais l’émotion se crée encore plus. Entre Messie, C. Ronaldo et F. Ribery qui serait le prochain ballon d’or. Peut-être : Messi, F. Ribery ou C. Ronaldo. Mais rien n’est encore dit, l’essentiel l’un d’entre eux serait le prochain ballon d’or 2013. Rendez-vous à 13 janvier, pour la confirmation du prochain ballon d’or 2013.


Prostitution: Entre désir et obligation face à la vie

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(credit photo:fr.dreamstime.com)
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Depuis l’Antiquité jusqu’à aujourd’hui, la prostitution reste et demeure. C’est un fléau qui affecte toutes les sociétés du monde. Elle n’évolue pas de la même façon dans tous les pays. Dans certains pays, elle est plus moderne et en jouit de liberté, de droit et de tolérance. Dans quelques pays sous-développés, toutes les conditions ne sont pas adéquates ou en faveur des prostitués. Tenant compte, de manque de santé et de manque d’infrastructures dans les maisons de tolérance.

De nos jours, la prostitution atteint son apogée. Beaucoup de gens se prostituent en toute fierté et en toute liberté. On les retrouve dans les maisons closes, sur les trottoirs etc. D’autres le font également clandestinement.

Le sexe n’est pas tabou comme autrefois. C’est la révolution du sexe. Nombreux sont les films pornographiques et érotiques. A la télévision et à travers certains films les gens s’exhibent. A travers l’internet ou les réseaux sociaux, nombreux sont les propositions et les demandes. On les retrouve partout.

La prostitution est bien évidente, c’est comme une onomatopée. Cela nous amène à penser, sur ce qui est à la base de la prostitution. Considérant certains antécédents qui déclenchent un tel comportement. De ce fait, la prostitution est-ce la manifestation d’un désir ou une obligation pour assurer sa propre survie ? A cette question, voici plusieurs réponses ou quelques témoignages de certains prostitués interviewés.

-Une dame de 26 ans a déclaré : mes parents sont morts dés mon plus jeune âge. Suite a la mort de mes parents, j’étais seule au monde et abandonnée par le reste de ma famille. Voila ma vie face à une étrange réalité. Ma vie n’est que peine, misère, désillusion, frustration et dégout. A cet effet, pour satisfaire mes besoins, timidement j’ai eu des relations avec des gens du quartier. Progressivement, je me lance réellement dans l’affaire. Par habitude ou sous l’influence de certaines amies : Je n’ai aucune peur de me trouver sur les trottoirs pour gagner ma vie quotidiennement. Je veux vivre, toute ma vie en dépend d’elle.

-Une dame de 28 ans : J’ai 5 enfants et ses pères m’ont abandonnes. Nécessairement, je dois assurer leur instruction et leur éducation. Je devrais les accompagner, prendre mes responsabilités en main. De ce fait, je me sacrifie et je me livre moi-même. Je mène une vie d’opprobre pour les accompagner dans leur vie. Jamais, je n’aimerais pas que mes enfants soient comme moi.

– Un jeune homme : Je ne me sens pas bien dans mon corps. Je voudrais être dans le corps d’une vraie femme. J’ai tout pour combler mes besoins pour vivre normalement. Mais en termes de besoins émotionnels, je me sens pas aimé et accepté par les autres. Des fois, j’ai le sentiment d’être inferieur par rapport aux autres. Parfois, je replie sur moi-même. Pour sortir de cet enfer, je me déguise en femme. Imitant leur geste, leur pas et leur style. Je me sens parfaitement bien de me trouver sur ce trottoir chaque soir. Par-ce-que c’est ici est ma place. Et, je trouve ma vraie identité et ma personnalité. Ici, j’ai beaucoup de gens qui m’aiment et j’ai beaucoup de clients.

– Une jeune fille : Dés mon adolescence, j’ai connu beaucoup d’hommes dans ma vie. Je me suis livre à la drogue et quelques substances psychotropes également. Je laissais ma famille, l’école pour rejoindre d’autres amis comme moi. Sur le plan sexuel, j’étais toujours avide. J’avais toujours un désir sexuel insatisfait, malgré mes relations sexuelles fréquentes. A cet effet, j’étais à la quête d’une bonne satisfaction sexuelle. Je fréquentais plusieurs hommes, certains que je ne connais même pas leur nom. Jusqu’à cette présente minute, toujours pas de résultat. Ce désir est plus fort que moi et je dois aller jusqu’au bout.

Suite à ces témoignages, on requiert beaucoup d’informations. Pouvant nous mettre sur la piste pour repérer quelques fondements de la prostitution. Tout carrément, on comprend que la prostitution peut-être à la fois un vif désir ou une façon de faire face à la vie. Par ailleurs, ces facteurs ne sont pas innocents comme : La présence des troubles de la personnalité, l’insatisfaction des besoins et la recherche de l’autonomie.