Premier cas de coronavirus en Mauritanie : les autorités tentent de circonscrire le mal et la panique
La Mauritanie enregistre son premier cas de coronavirus. Les autorités ont annoncé une série de mesure pour faire face à la propagation du virus.
Une vingtaine de femmes, plus un homme, ont été honorés, certains pour leur engagement dans la défense des droits de l’homme, et d’autres, pour leur distinction dans les études. C’était au cours d’une cérémonie de remise de prix organisée à Nouakchott, vendredi 13 mars 2020, par le Ministère des Affaires Sociales, de l’Enfance et de la Famille (MASEF), avec l’appui du Fonds des Nations Unies pour la Population (UNFPA). Le…
Les données sur la migration internationale du Travail n’ont pas été jusque-là une priorité pour la Mauritanie, d’où leur quasi inexistence dans les statistiques. Mais les autorités nationales sont en train de combler le vide.
Le mouvement « La Mauritanie D’abord » peut être considéré sans conteste comme l’un des plus citoyens de l’année 2019. Sous l’impulsion de sa présidente, Seyide Mint Yenge, plusieurs cadres activistes de la société civile se sont donnés pour mission de s’engager dans le réveil citoyen et la réflexion sur le développement économique, culturel et social de la Mauritanie.
Guemou est le troisième village attaqué par une bande armée ces derniers mois. Cette recrudescence d'attaques à l’intérieur de la Mauritanie inquiète les habitants et dénote d’une démission sécuritaire grandissante.
Le mois d’août tire à sa fin, et la Mauritanie enchaîne sa énième année de sécheresse. Les paysans n’auront plus le temps de cultiver la terre, alors que les rares animaux encore en transhumance occupent le versant des collines, arrachant les dernières feuilles d’arbres en l’absence de pâturage. C’est tout le grenier naturel de la Mauritanie qui souffre de cette sécheresse, encore plus impitoyable que les années passées.
Mohamed Ould Ghazouani, le candidat du pouvoir, a choisi l’ancien aéroport de Nouakchott pour son dernier meeting électoral. La majorité y a concentré ses forces, à coups de bus déversant des paquets humains, des centaines de véhicules tout terrain avec leurs flots de passagers, sous le son de la musique de campagne.
La ville de Kankossa est en danger. Ses populations sont atterrées par le tarissement de la mare autour de laquelle s’organisait leur vie économique, sociale et culturelle. Ils ont lancé un appel de détresse, qu'un rapport vient de confirmer.
Belles vues de Nouakchott, dunes de sable, dialect indien, un décor immortalisé par aussi des images de drones, nous voilà dans l'ambiance de la célèbre chanson préférée de Ghandi "Vaishna Jan to" version Mauritanienne. Une chanson inscrite dans le patrimoine indien, que Monza interprète ici avec classe.