Comme des forçats dans la carrière de Néma, en Mauritanie
Descendants d'esclaves, les haratines sont des forçats des temps modernes. Ils triment dans une carrière de gravier pour un salaire misérable.
Plusieurs organisations de la société civile du Mali (Temedt, Infa-plus et Ikewane), ainsi que du Niger (Timidria) et de la Mauritanie (IRA), ont lancé à Bamako un appel réclamant la fin de toutes les formes d’exploitation, d’asservissement et d’esclavage dans le Sahel.
Un même nom de famille peut être utilisé dans plusieurs autres contrées du monde. Cela peut-être juste le fruit du hasard ou vraisemblablement cacher une vérité historique. Dans le cas du nom « BONI », la réalité dépasse le cadre fantasmagorique. Il révèle des liens oubliés entre deux nations. « Tu viens de la Guyane !? », « Boni, c’est guyanais non !? », m’interrogeait une jeune et belle française lors d’une activité.…
À Puerto Plata (République dominicaine), particulièrement à Sosúa, quand le soleil se tourne le dos à la surface de la terre, laissant libre pouvoir aux ombres de la nuit. C’est toute une autre forme de vie qui s’ouvre aux amateurs des ambiances nocturnes. Les trottoirs, les casinos, les boîtes de nuit, les bars […], pour des raisons diverses, à chacun sa destination. Il suffit d’être quelque part, qui invite aux divertissements.
Parler d’esclavagisme semble trop dire de nos jours, pourtant, il existe plusieurs formes d’esclavagisme moderne que les personnes de tout genre subissent silencieusement. de toutes ces formes, c’est le cas des enfants mis sous tutorat qui attire notre attention. Au Tchad, un phénomène qui s’apparente à de l’esclavagisme se repend sans que personne ne s’en inquiète. C’est la question des enfants appelés « enfants restés », traités comme des esclaves…
Le président de l'ONG " Initiative pour la résurgence du mouvement abolitionniste" (IRA) a déclaré à ses partisans que la victoire est proche contre le système esclavagiste et raciste qui cherche à semer la zizanie entre les composantes de la population mauritanienne.
Mardi 17 mai, un temps très doux balaie les alentours de la prison civile de Nouakchott. Déjà l’apparat des grands jours. Une foule dense et compacte attend le moment où les deux hommes franchiront la porte de la prison vers la liberté.