Haïti : faut-il ne pas organiser le carnaval ?
Cette année, l’organisation du carnaval est décriée par beaucoup d’internautes, pour qui l’heure n’est pas au plaisir.
Cette année, l’organisation du carnaval est décriée par beaucoup d’internautes, pour qui l’heure n’est pas au plaisir.
« Monsieur, vous êtes le dernier survivant du tremblement de terre du 12 janvier. Nous sommes en mars, vous sortez d’un coma de 3 mois », me dit la femme qui a ouvert le rideau. Je la dévisageais sans vraiment saisir le sens de ses paroles.
À travers ce carnet, l’auteur nous présente des personnages qui lui sont familiers : sa mère Bertha, sa grand-mère Tida, son oncle Gogo. Il nous raconte des pans de son enfance dans son village natal. Il nous fait revivre les contes et les légendes d’antan, nos us et coutumes. Lui qui avait étudié en linguistique, dans un langage typiquement haïtien, fait rayonner le créole. Haïti, ses grandes villes, son vaudou y sont présentés.
"Pour une école qui nous rassemble au lieu de nous diviser" (2017), un livre qui aidera les dirigeants d’écoles et parents et même l’État à la construction d’une école qui nous rapproche, nous rassemble, nous unisse avec notre patrimoine culturel comme matériaux. Il faut que l’école nous instruise de notre histoire à partir de notre point de vue.
Tant que la valorisation et les pratiques culturelles de l’enfant ne sont pas prises en compte, nous serons toujours dans la contre-production. Pallier aux déficits culturels de l’enfant doit faire partie d’un programme d’État et non de gouvernement.
Pour célébrer la Journée des femmes le 8 mars, le Centre Pen Haïti a lancé un concours de hashtag pour inviter à la reflexion et au débat sur la condition des femmes en Haïti. A l'issu de ce concours, mon texte a remporté le premier prix. Une petite présentation de ce texte.
La thématique de la femme homosexuelle et/ou bisexuelle est beaucoup traitée ces derniers temps à travers les chansons haïtiennes. Coup de projecteur sur quatre chansons haïtiennes qui mettent en vedette une personne lesbienne.
Depuis quelques temps, j'ai de vagues discussions avec certaines personnes avec qui je suis connecté sur Facebook. Il y a celles qui m'écrivent pour se renseigner sur ma situation et celles qui vont droit au but. Bien entendu, des femmes sont passées dans ma vie, sans avoir à leur demander "pour la vie ou pour la nuit", certaines ne pensaient qu'à la nuit.
Le 12 janvier 2010, un séisme terriblement meurtrier secouait Haïti. 8 ans plus tard, le gouvernement ne semble pourtant pas avoir pris la mesure du danger que représentent les constructions anarchiques en cas de nouveau tremblement de terre.