Des journalistes de la liberté sacrifiés sur l’autel de la lucidité
4 novembre 2013
Je me permettrai de paraphraser Victor Hugo : ceux qui sont morts pour leur profession ont droit qu’à leur cercueil, la foule vienne et prie. Entre les plus beaux noms, leur nom est le plus beau… Oui, Gislaine et Claude sont morts pour leur métier ; ils sont morts pour les valeurs du journalisme ; ils sont morts aussi, et ce n’est pas négligeable, pour leur passion pour l’Afrique. Fauchés par l’obscurantisme des…