La poésie serait parole d’espoir malgré tout
Par Thélyson Orélien De tous les côtés, il me revient un son de cloche. Un son de cloche dont il m’est pénible de me faire ici l’écho. Ayant beaucoup aimé. Aimant encore beaucoup les plaisirs que cette cloche condamne. Mais c’est à chaque instant que j’entends dire autour de moi: «Je ne lis plus de poésie». Répété par tant de bouches dignes de considération ou d’estime, cela finit par impressionner…