Violences basées sur le genre : les barbus montent de nouveau au créneau
Une troisième version d’un projet de loi visant à combattre les violences faites aux femmes et aux filles fait débat.
Le 29 mars dernier, un élève du lycée bilingue de Deido, situé dans la ville de Douala au Cameroun, a été poignardé à mort par un de ses camarades pour une histoire floue de téléphone portable. L’indignation qui a suivi ce drame a peu à peu laissé place à des analyses plus ou moins tordues dans lesquelles on a vu certains enseignants rejeter le tort sur les parents et sur les autorités gouvernementales, oubliant les premiers concernés : le personnel administratif du lycée en question.
Depuis le 7 février dernier, une grande partie de la population haïtienne investit les rues de différentes villes du pays pour exiger le départ du 58e président de la République. Élu à coups de promesses chimériques, M. Jovenel Moïse est vivement décrié au bout de sa deuxième année au pouvoir.
Selon l'indice d'inégalité de genre de l'ONU, le Soudan est classé 165 sur 188 pays. L'ONU souligne aussi qu’au Soudan, la violence contre les femmes et les filles est considérée comme répandue. En outre, le pays a des politiques faibles pour protéger ce groupe alors qu'il n'a pas signé la Convention sur l'élimination de toutes les formes de discrimination à l'égard des femmes. Dernier point : le Soudan, pays où la population musulmane est majoritaire, ne considère pas le viol conjugal ni le mariage d'enfants comme un crime. #JusticeForNoura.