« Il n’y a pas de sot métier », dit l’adage. Mohamed Diallo, ouvrier de son Etat, en sait quelque chose. Très tôt ce matin dans un quartier de Conakry, une pelle à la main, Mohamed s’affaire dans un chantier de construction situé en bordure de mer. L’air détendu et enjoué, il remplit avec frénésie une brouette de sable. Après quelques brouettées, il prend une petite pause, savourant la matinale brise marine. Mohamed aime son nouveau job qu’il qualifie de « gratifiant ».Lire la suite de l’article…
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Auteur·e
limsow
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