Cinq préceptes du Bouddhisme au peigne fin. Si les quatre suivants passent, le premier a du mal à passer. Surtout pour un Subsaharien. Et pour cause : la malaria. Comment concilier la lutte contre cette pandémie et le premier précepte du bouddhisme : s’abstenir de ne pas nuire aux êtres vivants ni prendre la vie ? J’en ai longuement débattu avec Richard Xavanna, moine laotien à Roubaix.« Une vie, ça vaut une vie », tranche Richard Xavanna, 61 ans, moine de l’association bouddhiste laotienne du Nord. Le débat a trop duré. Pas d’issue possible. Tellement, je n’arrive pas à saisir le sens de ce premier précepte. Lire la suite de l’article…
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Auteur·e
tresork
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