Archive: Juillet 2015

De temps en temps je fais une pause. Aujourd'hui, je fais le tri, je range, je plie, je me rappelle et j'oublie.

Les nombreux problèmes qui jalonnent le quotidien des étudiants ivoiriens ont fait le lit du retour inévitable des syndicats et de la violence. Ce vendredi 25 juillet 2015, l’université Felix Houphouët Boigny connaissait une ambiance, non particulière. Les membres de la Fédération Estudiantine et Scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI) ont encore prouvé qu’ils ne peuvent engager aucune action, sans que violence s’en suive. Ce vendredi était jour de célébration du…

Mon intention n’est donc pas de clamer l’innocence d’Aka, même si sa version des faits me pousse à émettre beaucoup de réserves sur sa culpabilité.

S’il vous est difficile de contrôler vos nerfs, ne tentez pas l’expérience de vous rendre aux bureaux des services de l’immigration d’Haïti.

Les Liégeois sont gentils, les Liégeois sont gentils... ça dépend ! Pendant mon agonie, seul un couple de sans-abris m'est venu en aide.

Mais l’occupation anarchique des drains, les inondations ne sont pas les seuls problèmes écologiques à menacer Douala

Le journalisme est le métier le plus difficile en Afrique disait un humoriste. Quand on est pas traqué par le pouvoir, on est lynché par le public. Vous êtes nombreux à m’avoir envoyer de message à mon Email ou sur facebook. Surtout depuis la publication des images du procès d’Hissein Habré sur ma page facebook jugé «humiliante» par ses supporteurs. Entre soutiens, menaces et interpellations dont je me suis habitué…

Lorsqu'ils se bagarrent, ce n'est pas une simple bagarre, c'est une rixe qui se solde par des chaises cassées, des bleus...

Au menu : un étrange cocktail funky exotique, une électro sensuelle et une expo qui sent bon le sable chaud.

Ces attaques ont été perpétrées par des jeunes kamikazes munies de ceintures d'explosifs.

Les femmes kamikazes sont devenues l'arme fatale de l'organisation de l'Etat islamique en Afrique de l'Ouest.

Commençons par le commencement qui est la valise. Au moins, une vingtaine de coupons de tissu et pas n'importe lesquels.

Qu'est-ce que je vous disais ? Vu du ciel, on dirait bien un monstre...

Moi, quand j’étais au collège une seule personne avait un vélo. Même les professeurs, tout le monde venait à pied.

On se retrouve aussi dans la cour, pour prendre le bon air frais de la nuit et discuter autour du barada.

A Lubumbashi, mourir ou tuer, c’est devenu chose facile, aussi simple que saluer un passant.

Espérons juste que de là où il sera, il se souviendra de ce pays dont un des fils lui a donné la vie.

Selon des sources américaines « 65 % des écoliers d'aujourd'hui pratiqueront, une fois diplômés, des métiers qui n'ont pas encore été inventés »