Crédit:

Les pépites de Mondoblog: questions autour des droits de la femme

 

La journée internationale pour les droits de la femme est célébrée ce 8 mars. Les Mondoblogueurs, bien que n’ayant pas attendu l’occasion pour se pencher sur la question de la place réservée aux femmes dans notre société, l’imminence de cette journée les a tout de même incités à revenir sur ce sujet ô combien problématique dans nos sociétés. Mais avant d’y aller en profondeur, intéressons-nous à un sujet intéressant : la place des animaux dans nos assiettes.

Loveme

Coup de projecteur: dis-moi ce que tu manges, je te dirai qui tu es…

Arva, notre blogueuse malgache a pris une décision : limiter et même arrêter la consommation des aliments d’origine animale. Mais avant d’expliquer ses motivations elle prend le soin de déblayer le champ devenu un grand fouillis des régimes alimentaires exempts de viandes et assimilés. Ainsi, elle nous permet de savoir la différence entre la végétarisme, le végétalisme, le veganisme et autre frugivorisme. A la suite de cela, elle explique les avantages tant pour la santé que pour la planète de limiter notre consommation de viandes.

 

Journée internationale pour les droits de la femme: le combat continue

Revenons sur la journée internationale consacrée à la réflexion sur les droits de la femme. Quatre mondoblogueuses se sont mises ensemble pour démontrer que les inégalités dont pâtissent les femmes vis-à-vis des hommes partent aussi du cadre réglementaire. Ainsi, la Congolaise Chantal Faida, la malienne Fatouma et les Tchadiennes Rose Roassim et Em-A se sont attaquées au Code de la famille de leurs pays respectifs, Code où se situe l’une des racines du mal. A côté d’elles, Judith Gnamey, dans une correspondance à sa petite sœur, lui explique ce que signifie aujourd’hui être une femme : une combattante, une super-héroïne, une gagnante. Une combattante pour l’égalité et le respect de la femme qu’est Chimamanda Ngozi Adichie, que Josette – qui lui voue une grande admiration – est récemment partie voir et écouter lors d’un débat sur le thème : les femmes, avenir du continent africain. De son côté, le Camerounais Tchakounté Kémayou se pose beaucoup de questions au sujet de cette journée, celle-ci notamment : comment peut-on prôner l’égalité de deux éléments dont la perception de la différence reste criarde ? En Haïti, Valéry Moïse s’est permis une entorse à ses habitudes, qu’il a aussitôt regrettée : il a écouté les musiques qui ont actuellement pignon sur rue auprès de la jeunesse de son pays. Il a été atterré de constater que cette musique n’est que des « avortements de pensées » par lesquels la femme est dénigrée, salie, réduite à n’être qu’un objet de désirs et de procréation ; alors qu’en réalité, elle est le rempart qui protège la société haïtienne et le socle sur lequel elle se repose.

Codes de la famille en Afrique : la lutte est encore longue

Être femme aujourd’hui

Un rendez-vous inattendu avec Chimamanda !

– Le 8 mars et les enjeux de la problématique de l’égalité

Que devra-t-on laisser de la femme ?

Les enfants et la sexualité / partir ou rester?

Les femmes sont les premières à souffrir des conséquences de l’ignorance choses liées à la sexualité. On peut présumer que changer cet état de fait a été l’un des aspects qui ont motivé le Toubib de Dakar à prodiguer  quelques astuces sur l’attitude à adopter quand les chérubins posent la question fatidique : « comment fait-on les bébés ? ». Ayant passé l’âge des chérubins, les Haïtiens un peu plus âgés sont confrontés à la réalité et se retrouvent face à un dilemme : faut-il partir ou rester ? Pour Emma Lucien, qu’on ait choisi de rester au pays ou de s’expatrier, l’essentiel reste les actions qu’on entreprend.

Comment parler de sexe aux enfants de 5 à 10 ans

Haïti : partir ou rester ?

Réchauffement climatique / procès politique

En Afrique, le réchauffement climatique frappe durement, les températures sont en perpétuelle augmentation. Le blogueur Gabonais Charles Agbadje évoque ses conséquences dans la région tropicale. Il en profite pour déconstruire quelques idées reçues sur le Continent sur les bienfaits supposés du soleil et aussi pour prodiguer des conseils afin d’éviter les maladies qui pourraient survenir suite aux excès de chaleur. On finira sur une note politico-judiciaire avec Babeth. L’Ivoirienne publie un long réquisitoire contre la manière dont s’est déroulé le procès des accusés de l’assassinat de l’ancien président Robert Guei. Elle a assisté aux plaidoiries et débats et e été navrée de constater que le tribunal s’est basé sur des récits et témoignages bien souvent incohérents et contradictoires des témoins pour rendre sa décision dans une affaire dont les accointances politiques assez évidentes.

Réchauffement climatique : le péril de la chaleur en Afrique

Quand on t’envoie, il faut savoir t’envoyer

Focus sur…

Encrier Widlore Mérancourt

Encrier

Présent sur la plateforme Mondoblog depuis bientôt trois années, Encrier est le blog alimenté régulièrement par Widlore Mérancourt, qui est un jeune juriste et animateur de télévision haïtien. Encrier (ce nom a été inspiré à Widlore par la citation de Victor Hugo « l’encrier brisera les canons ») est un espace sur lequel toutes les thématiques en lien avec Haïti sont abordées. Avec cependant une forte prédilection pour les affaires politiques. Le blogueur, très en verve, sait user du verbe et de tournures langagières quelquefois très humoristiques pour démontrer et démonter les absurdités des comportements des politiciens de son pays. Ainsi, l’une de ses cibles privilégiées est Michel Martelly, qui jusqu’au 7 février 2016 était le président de la république d’Haïti.

Dans un style certes chatoyant, mais d’où ne transparaît aucune concession, Widlore passe au scanner la société de son pays. Dénonçant les calculs politiques et la corruption qui n’ont pour conséquence que d’accentuer la misère et la pauvreté dans lesquelles croupit le peuple haïtien. En fin de compte, le blogueur, à chacune de ses prises de position, assène de véritables coups de canon à la classe politique de son pays et à ses concitoyens.

Partagez

Auteur·e

ntrjack

Commentaires