Et si seulement on acceptait d’en parler!
La Côte d’Ivoire vis depuis quelques jours des « remous militaires » (Quand ce ne sont pas les remous sociaux). Avant « les mouvements d’humeur des militaires (pour prendre l’expression de la première chaîne de télé nationale), c’était la grève des fonctionnaires en passant par les infirmiers pendant que les enseignants refusaient de surveiller la soutenance des étudiants du BTS pour des raisons financières. Et si le mal était plus profond qu’il ne…