Categorie: Cinéma

Critique de "Hail, Caesar" des frères Coen, projeté en ouverture de la 66ème Berlinale.

Après une carrière musicale foisonnante, Angélique Kidjo fait ses débuts au cinéma. A 55 ans, elle jouera dans le film « The CEO » de Kunlé Afolayan.

Critique de "The Revenant" d'Alejandro González Iñárritu, avec Leonardo DiCaprio et Tom Hardy

Le cinéaste américain Quentin Tarantino fait très fort avec un retour aussi bien violent qu'hilarant au Western classique.

Nous sommes invités à vivre à nouveau les émois amoureux adolescents, et certaines scènes offrent une métaphore précise de l’étrangeté de l’être à cet âge.

Le film Star Wars 7 est dans les box et fait le buzz. Les cinéphiles se pressent dans les salles de cinéma et paient une fortune pour le regarder. Mais ça, c’est en Occident et dans les pays riches. Nous en Afrique, nous ne sommes pas du tout inquiets et nous nous réjouissons car on verra bien ce film quelque soit son coût. Malgré la pauvreté qu’on nous prête et qui devait,…

« La Sirène de Faso Fani » retrace la fermeture de ce fleuron de l’industrie textile du «pagne tissé de la patrie».

Présenté comme un film d’épouvante avec histoire d’amour, « Crimson Peak » est un conte romantico-gothique d’inspiration victorienne.

Corbijn s’attache à saisir un instant de la vie de James Dean, à l’aube de sa gloire, et à travers le reportage photo qui contribua à faire de lui une icône.

Dès les premières minutes, Ayouch nous précipite dans le vif du sujet : 3 filles se préparent à offrir leurs corps et leurs services à des Saoudiens venus se payer du bon temps.

Entre cinéma indépendant et films grand public, ce qu'il faut retenir des « années post-Lula »sur grand écran.

Le dernier film de Terrence Malick, Knight of Cups, prétend faire un portrait du vide et de la superficialité de nos vies contemporaines.

Netflix a lancé la première saison de Narcos, inspirée de l'histoire du célèbre narcotrafiquant Pablo Escobar.

Mes coups de coeur : un court-métrage de la prodigieuse FKA Twigs, une initiative Street Art sociale, et le son électro idéal pour boucler une nuit agitée.

Derrière la posture de « hippie cool » se cache un autre Hendrix que Ridley tient à présenter,

Un film qui nous permet de rire avec bonheur de voir ainsi traitées et exposées nos propres peurs et interrogations.

Après son sacre [1] au Fespaco 2015, L’œil du cyclone du réalisateur burkinabè Sékou Traoré fait à nouveau sensation. Prévue seulement pour la semaine du 13 juillet, sa projection a été prolongée jusqu’au 8 août 2015, drainant chaque soir beaucoup de  monde aux cinés Burkina et Neerwaya. Au cœur de l’Afrique des guerres Le film s’ouvre sur un diaporama d’images violentes de pays africains en guerre : des armes, des morts, des militaires,…

Cette résonance particulière, intime et pleine de complicité, ces chants et danses qui firent un passé qui voltige. Qui déteste le sakayonsa ?