Une mystérieuse femme russe
Praskovia Fiodorovna était russe. Elle a vécu l'arrivée kolkhoz, les difficiles tâches domestiques, le mariage puis le veuvag, a élevé 2 sœurs, 2 filles et 4 petites-filles. Portrait d'une femme forte.
A Conakry s'est déroulée la sixième rencontre du Partenariat de Ouagadougou, réunissant des représentants des systèmes de santé de la plupart des pays d'Afrique de l'Ouest et du Centre. Principal sujet : l'accélération de la planification familiale.
Si vous êtes nés en Haïti ou nés de parents haïtiens, avouez que vous n'avez jamais reçu une bâtonnade? Depuis la prohibition des punitions corporelles dans la majorité des pays en Europe et aux États-Unis, on se demande si on devrait prendre le risque d'adopter cette mesure chez nous sans qu'il n'y ait de débâcle.
Entre africains vivants à l’étranger, il y a des projets qui se taisent. Certaines règles sont tacites et bien connues de tous. Malheur à qui décide de l’outrepasser, il se verrait exposé aux conséquences de sa désobéissance ! Bon j’exagère peut-être un peu 😀 .Parmi les projets dont il est question ici, il y a celui de partir en vacances en Afrique. Lorsque vous commettez la grosse erreur de faire part…
Actuellement, il existe en Afrique trois modes des mariage : le mariage religieux, le mariage civil et le mariage coutumier. Ils cohabitent dans la plupart des sociétés africaines et sont même complémentaires. Ils sont à considérer comme des formes modernes de mariage, car, dans le temps, nos aïeux ont vécu d’autres formes de mariages, aussi surprenantes que déprimantes. Par Jean-Fraterne Ruyange « Un vieillard qui meurt, c’est une bibliothèque qui brûle »…
Samedi dernier je revenais de chez ma copine Soraya, épuisée, mais surtout très contrariée à cause de l’expérience que je venais d’y vivre. J’avais hâte de me retrouver seule dans ma chambre pour pleurer sur mon sort. Je venais de vivre la pire journée de ma vie.
Un même nom de famille peut être utilisé dans plusieurs autres contrées du monde. Cela peut-être juste le fruit du hasard ou vraisemblablement cacher une vérité historique. Dans le cas du nom « BONI », la réalité dépasse le cadre fantasmagorique. Il révèle des liens oubliés entre deux nations. « Tu viens de la Guyane !? », « Boni, c’est guyanais non !? », m’interrogeait une jeune et belle française lors d’une activité.…
Le viol est un vol par effraction doublé d’une violence mentale inouïe, et davantage fatal pour cette jeune adolescente qui n’avait que 13 ans. Le viol fait partie de ces actes auquel même le pardon a peu d’emprise. C’est un vol dont la plus grande violence n’est point physique mais psychologique. Une feuille de papier une fois froissée, ne sera plus jamais la même. Quel calvaire que d’avoir à vivre avec ce sentiment, cette idée qui sans cesse revient dans notre esprit, ces instants de douleur qui à jamais resteront gravés dans notre mémoire. S’il est extrêmement difficile pour des adultes de s’en remettre, alors imaginez le cas d’une enfant, d’une adolescente, d’une fleur rayonnante n’ayant pas encore pu ouvrir ses pétales au soleil. Son sourire s’éteint pour devenir morne. Son regard étincelant s’assombrit. Pour moi, seul l’amour peut permettre de s’en remettre et d’affronter la tête haute les prochains challenges de la vie. Ecouter, dialoguer, comprendre, compatir et réconforter sans jamais juger sont les actions à tenir. Lui montrer qu’elle n’est point une paria sociale, qu’il existe des personnes qui l’aiment et l’aimeront telle quel. Lui offrir une chance de croire que la vie demeure belle et qu’elle a encore beaucoup à lui offrir.
Nous voilà arrivés au terme de cette saison de défi d’écriture avec The blog contest. Le thème choisi pour cette der des der, c’est séparation et familles recomposées. Pour ne pas changer, c’est un aspect de vie dont je n’ai aucune idée et en ayant lu la lettre d’Alain Guy E. je suis encore plus perplexe. Il ne faut peut-être pas avoir une nature un peu « carrée » et un côté…
Suite de notre balade à vélo sur la route de la mer du Nord, du point de vue de mon père.
Si « le Congo de Maman » était celui de la fin de la colonisation belge, des jupes courtes et des shorts beiges, d’un Johnny Walker sans glace versé trop chaud sur des terrasses trop blanches…, si c’était celui de Cadillac et de vieilles Citroën parcourant des routes neuves encore trop larges…, quel est le mien, un demi-siècle après ?