Josiane Kouagheu, une plume dorée
Pour cette journée mondiale de la liberté de la presse, un hommage mérite d'être rendu. Il ira à Josiane Kouagheu, une plume, une personnalité, une journaliste qui le mérite.
L’affaire Chooupie Deii Port Bouet a fait grand bruit sur les bords de la lagune ébrié et même au-delà. Loin de moi l’idée de la condamnée ou de prendre faits et causes pour ses agissements. Elle fait simplement partie de cette génération Z.
Première chose à retenir par l’ensemble de la rédaction: on n’écrit pas contre son partenaire, même s’il a pissé sur lui. Deuxième chose à retenir par le Rec: on fait plus dans les publi-reportages masqués que dans l’information. Curieusement, malgré ce « griotisme » d’un autre genre, les salaires de catéchiste, les payements tardifs, plusieurs mois sans salaire, et la non prise en charge des employés malades et les décès en cascade…
On a bien longtemps reproché aux médias internationaux de véhiculer des images ou informations négatives de l’Afrique. Or il s’avère que cette Afrique longtemps reléguée au rang de continent de guerre, de famine ou encore de maladie, attire davantage.
S’il y a de cela quelques années, l’entrepreneuriat en Afrique était considéré comme risqué, il en est autrement de nos jours. Le continent connaît désormais un essor sans précédent, plus particulièrement dans le domaine du numérique. De Cotonou à Dakar, en passant par Abidjan, Lomé, Yaoundé, Lagos, Accra, ou encore Rabat, ils sont nombreux à vouloir changer l’image du continent. Voici quelques unes des initiatives qui font avancer le secteur du numérique au Bénin.
Cela fait déjà quelques jours que le journaliste Ozias SOUNOUVOU a profité du journal télévisé sur l’ORTB au lendemain de l’attentat de Charlie Hebdo pour interpeller le chef de l’Etat sur l’absence de la liberté de presse dont faisait objet la télévision publique. «Nous voulons juste faire notre travail» disait-il. Ceci n’est pas un secret de polichinelle. Il est devenu l’objet de discussions et le Hashtag #jesuisosiassounouvou fut alors créé.…
En 2007, on a découvert Hi5. C'est un site de rencontre, un réseau social. En 2008, Skyrock fut découvert. C'est également un réseau social permettant de faire des rencontres et surtout de créer des blogs. Mais la découverte de Facebook provoqua leur déclin. Il finira par séduire plus d'un internaute. En plus de son art architectonique, sa couleur de fond (bleu) fait sa particularité. En outre, ses outils page, groupe ne sont pas à omettre. En 2012, on a connu Whatsapp, une application mobile,
Voici une des images qu’on peut voir sur le site Actubenin. Des femmes qui protestent avec en arrière plan le drapeau du Sahara Occidental. Impossible de s’informer sur le net à partir du site actubenin. Habitué à lire les journaux sur le web à partir de mon mobile et sur actubenin, grande fut ma surprise à la lecture de ce message sur le site d’actubénin. Le titre «Hacked by…
La conférence du samedi 12 mars portant sur le thème : « la presse guinéenne en ligne, force de changement et vecteur de haine » a été couronnée de succès. J’adresse mes sincères remerciements à toutes ces personnalités de haut rang qui ont honoré cet évènement de leur présence. Lire la suite de l’article…
La crise post-électorale Ivoirienne qui a pris un tournant très violent ces derniers jours continue de faire des vagues au sein de la grande famille de la presse Ivoirienne plus divisée que jamais. D’un côté les fils à papa du régime sortant – les journaux bleus – qui ne sont nullement inquiétés et de l’autre les ennemis jurés de Laurent Gbagbo et de sa Côte d’Ivoire, les journaux proches du…
Ma première culotte, mon premier baiser, mon premier diplôme (premier d’une longue liste inutile), ma première… conférence de presse. Merci RFI*! Grâce à Mondoblog, j’ai assisté à la sacro-sainte conférence de presse du grand festival de cinéma de Berlin. Où … Continuer la lecture →
Les 7 et 8 janvier 2010, sur initiative de Media Fondation for West Africa dont le siège se trouve à Accra au Ghana, les organes de presse d’Afrique se sont réunis dans la capitale ghanéenne pour réfléchir sur les nouvelles stratégies visant à promouvoir la presse et les médias en Afrique de l’ouest. Invité spécial [...]
Par cette interrogation provocante, quand bien même sensée, nous voulons argumenter en faveur d’une ressemblance quasi à la lettre entre Radio France Internationale et la radio future Médias sise à l’immeuble Elimane Ndour, au cœur de la Médina, à Dakar, au Sénégal. Dire que les deux radios se ressemblent parfaitement est caricatural assurément. Rfi jugée à l’aune de sa trajectoire, de ses 44 millions d’auditeurs, de ses 400 journalistes et 300 correspondants dans le monde, de la mobilité incessante de ses employés et d’énormes moyens mis à leur disposition, n’est pas l’égale de la RFM. Rassurez-vous : la polémique n’aura jamais lieu et les auditeurs des deux n’y pensent même pas, tant on y voit très clair. Forte de 20 langues, écoutée de Dakar à Mogadiscio, du Caire au Cap, la Radio France Internationale a marqué bien des générations. Qui n’a t- elle pas séduit d’ailleurs et partant, réduit à s’en résigner? J’ai entendu quelques voix tâchant de s’élever péniblement au dessus de l’évidence, pour s’insurger contre le fait que la Radio mondiale prolonge les frontières de la France jusqu’aux confins du monde. C’est de bonne guerre, dirai- je ! Ce n’est pas juste pour faire forte impression que RFI est financée par le ministère des affaires étrangères français, pour autant que je sache. A ces raisons manifestes de servir une actu en continu à l’image de France 24, s’ajoutent à mon humble avis, des raisons latentes d’exporter la France partout dans le monde. C’est tellement affiché que ces motivations latentes sont élevées au rang de motivations officielles, affirmées avec force pour ne souffrir aucune mésinterprétation, cette violence faite à la vraie nature des choses. Si on pouvait parler de « raisons latentes », officieuses auparavant, ce n’est plus le cas maintenant depuis que le Président Nicolas Sarkozy a montré la volonté de réunir RFI, TV5 et France 24 en une holding, afin d’arrêter les vagues déferlantes de la toute-puissance d’une Al Jazeera qui arrose la Planète. Personne ne peut s’indigner de cette idée, du moins pourquoi s’en indigner et à quelle fin ? Quelle serait la pertinence de cette éventualité ?