Categorie: Mondochallenge

Comme d’habitude, je me rends quelques minutes après sur mon compte Twitter et je tombe sur une publication de Facebook App écrite en langue anglaise : « Nous sommes conscients que certaines personnes ont du mal à accéder à l’application Facebook. Nous travaillons pour que les choses reviennent à la normale le plus rapidement possible, et nous nous excusons pour tout inconvénient. »

La paix est devenue une denrée rare. Elle nous échappe, elle nous glisse entre les mains. Pourquoi ? Simplement parce qu’à un moment donné, les adultes n’ont pas pensé que la paix se cultivait et qu' elle s’apprenait.

Je ne suis pas contre le mariage. Mais pour beaucoup, si je ne suis pas mariée à mon âge, c’est que je l’ai voulu, ils pensent que je veux jouer les “toubabou mousso” (femme blanche en bambara). C’est pourquoi les hommes me fuient :). A propos du mariage, j’aimerais qu’à la place de “soumission”, on parle plutôt de “respect mutuel”. Mais chez nous, il est de coutume que la femme soit soumise à l’homme, qu’elle fasse tout dans la maison. C’est la norme. Quand tu essaies d’aller contre cela, tu es systématiquement stigmatisée. Tu n’es pas “mariable”.

Il faut mettre l’accent sur les différentes formes de violences faites aux femmes et aux enfants. La violence n’est pas toujours physique, elle est également verbale et économique, avec des répercussions prégnantes sur la scolarisation des filles et la délinquance juvénile.

La plupart des femmes sont allergiques à la polygamie, une pratique légale dans notre religion. C’est sa pratique acceptée par les hommes. Je vous explique pourquoi est-ce que nous, les femmes, la détestons.

« Lorsque l’enfant paraît, le cercle de famille applaudit à grands cris », disait Victor Hugo. En Afrique, c’est l’un des premiers souhaits des familles. Mais lorsque le bébé ne vient pas, la faute est rejetée sur la femme, bien souvent malgré elle.

L’immigration est pratiquée depuis la nuit des temps. Mais force est de reconnaître que cette pratique a pris un autre tournant aujourd’hui pour la plupart des jeunes africains.

Les élections législatives en Côte d’Ivoire marquent le test de la « loi quota », « exigeant » des partis politiques qu’ils inscrivent sur leur liste au moins 30 % de femmes sur le nombre total de candidats. Mais c’est un échec, puisque ce pourcentage est loin d’être atteint.

Quel meilleur symbole de force serait-ce que la douleur de l’enfantement et les contractions ? D’ailleurs, il y’aurait de plus en plus de traitements pour alléger le fardeau de la maternité.

Ce matin, je me suis installé dehors. Sur mon tabouret, j’attends de voir des enfants se disputer les bonbons de l’Aïd el Fitr. Ce spectacle, je me l’offre à chaque fête de Ramadan. Sur les rares enfants qui passaient, seulement très peu d’entre eux portaient un boubou neuf. Ils marchaient quasiment sans gaieté. On voyait que leurs poches ne sont pas remplies des friandises. Indéniablement, ils sentaient l’effet de la…

Aujourd’hui, j’ai décidé de mettre des mots sur mes souffrances et me libérer d’un poids qui pèse beaucoup sur moi. La pédophilie est réelle, elle existe partout, et peut surgir même des êtres les plus proches.

Cela semble être un simple mot, et pourtant il rappelle à certains combien il n’est pas toujours facile de dire non.

"La femme est un meuble fragile", dit le proverbe malgache. On nous l’enseigne à l’école dès notre plus jeune âge.

Dans trois mois, mon titre séjour va expirer. Et pourtant, ma frustration a déjà commencé depuis plusieurs semaines…

Le choix du nouveau sélectionneur des Lions Indomptables réveille le démon du néocolonialisme au Cameroun…

Le maracana est bien loin du star system et du business du football. C'est le sport de la cohésion sociale et de l'enterrement de la hache de guerre.

« Donc ton fils est anglophone ? ». Parfois, je me contente de répondre « oui », d’autres fois je réponds simplement qu’il est camerounais et bilingue. Mais à chaque fois, ces questions me rappellent le problème de l’identité telle que perçue par certains camerounais notamment quand il s’agit de distinguer les anglophones et les francophones.

Dans la société traditionnelle africaine, tout le monde ou presque l’a goûté, ne serait-ce qu’une seule fois. Les uns pour s'enivrer, d’autres pour la coutume : la Guinée ne déroge pas à cette tradition séculaire. Le vin de palme y a traversé le temps et l’espace, entre tradition et alcoolisme.