A la paix
21 septembre 2014
Aujourd’hui je prends la peine de t’écrire. Ce n’est pas avec un grand plaisir que je le fais. Mais avec un cœur qui ne supporte pas du tout ton absence à certains lieux. Ce vide que tu as laissé a été fatal pour la Centrafrique, pour le Mali, pour la Libye, pour la Palestine, pour l’Ukraine, etc. Je trouve que tu es parfois égoïste et sans pitié. Je ne sais…