Je suis (loin de) Charlie
Mon vieux pote Roberto m'écrit. "Je me rappelle le temps où on se marrait à lire ensemble "Charlie Hebdo", j'ai pas envie que cette période soit révolue, où on pouvait encore rire à la gueule des cons. Avec cette horreur qui arrive, les choses vont changer..." Ça m'aurait fait du bien d'en parler avec toi, camarade, et t'en fais pas, on va encore bien se marrer, on va bien rire à la barbe de la barbarie !