Climat : qu’attend l’Afrique de la COP 29 ?
Les chiffres du réchauffement climatique en Afrique sont très alarmants et les promesses non tenues des précédentes COP font monter la température !
La LCOY19 Bénin témoigne de l’engagement des jeunes Béninois en faveur d’un succès durable et équitable, visant à trouver des solutions concrètes pour atteindre les objectifs de développement durable (ODD13). Cependant, ce n’est qu’un début. Les jeunes du Bénin sont plus déterminés que jamais à agir pour le climat et à contribuer à un avenir durable.
À l'occasion de la Journée Mondiale de la Jeunesse 2024, ODD TV en partenariat avec le Fonds National pour l'Environnement et le Climat-FNEC a organisé une activité exceptionnelle dénommée "Change Makers Times". Cet événement, conçu pour célébrer et promouvoir les compétences des jeunes au service de la paix et du développement, a réuni plus de 50 participants.
Depuis deux mois, une grande vague de chaleur secoue l'Afrique de l'Ouest et plus particulièrement la ville d'Abidjan (Côte d'Ivoire). Le réchauffement climatique est devenu une réalité à laquelle il est désormais impossible de se dérober... Chaque année il fait de plus en plus chaud ! La ville d'Abidjan ressemble à une fournaise ardente.
Avec le réchauffement climatique, les scientifiques prédisent des catastrophes en 2100, mais les villes côtières de la Côte d’Ivoire prennent déjà l’eau en 2023. En ce milieu du mois d’août, les dégâts observés sont considérables à Grand-Bassam, ville historique de la Côte d’Ivoire et patrimoine mondial de l’UNESCO.
Au Sénégal, chaque année, c’est la même situation qui se répète. Dès que l’hivernage s’annonce, les populations scrutent le ciel avec l’appréhension des inondations. En 2021, au mois d’août, de nombreux dégâts ont été enregistrés après les pluies diluviennes qui se sont déversées sur le pays. De nombreux efforts sont faits mais en vain, et la même situation se répète aujourd’hui... Les autorités doivent agir pour que les populations puissent vivre dans la dignité et en toute sécurité. De leur côté, les populations doivent aussi prendre leur part de responsabilité, en commençant par changer leurs habitudes de vie.
On a conscience qu’on vous tape sur les nerfs depuis un bon moment avec la crise climatique. On a cassé l’ambiance à deux ou trois reprises. On a gâché pas mal de bons moments : des repas de famille, des matchs de foot et des vacances aux Baléares. Pardon pour le dérangement.
L’année dernière, la distance, les visas, le coût élevé des frais de voyage, l’invisibilisation médiatique et le contexte sanitaire ont sapé la participation de la jeunesse africaine à la COP26 de Glasgow. Cette année tout se joue en Afrique, plusieurs sujets brûlants attendent des réponses, mais rien n’est gagné...