Chez moi, c’est l’anxiété
De coutume, je rentre de Kamatane, mon village, ravigoté et radieux. Ce dernier voyage m’a laissé plus qu’anxieux. Une première comme souvent pas assez importante puis une deuxième, beaucoup plus abondante, deux semaines après. Elle avait suscité l’espoir et pressé les agriculteurs à semer leurs graines. Je n’ai pas souvenance d’un niveau de la pluviométrie aussi faible en une telle période de l’année. Deux seules pluies depuis juin !