Orphelin dans la rue
Le tableau cynique d’une souffrance permanente, où s’écrit l’intrigue de mon existence chancelante; transparaît comme la sentence odieuse de mon statut d’orphelin, mais je reste fort et courageux malgré mon âpre quotidien.
L’affaire conjugale de Ndjitap a remis sur la table l’éternelle problématique de la paternité biologique…
Les espaces numériques, au-delà de leur formidable facilité à relier les personnes dans le monde et à offrir des opportunités aux enfants et aux jeunes, deviennent de plus en plus toxiques pour ces derniers. Aujourd’hui, internet peut être perçu comme le moyen le plus rapide, ou le chemin le plus facile pour être pris pour cible de différents types de violences. À quoi nos enfants sont-ils exposés sur internet ? Comment bien les protéger ? Quelques réponses dans cet article...
Chers enfants, papa est parti tôt ce matin et ne sera pas à la maison ce soir, il a encore une réunion. Je vous ai dit que j’avais une réunion pour que madame Géraldine puisse organiser des chouettes activités avec les copains après l’école. C’est vrai. On ne ment pas aux enfants. Mais ce soir, à la réunion, un monsieur a aussi parlé d’autres enfants que vous...
À Bécédi-Brignan, village d’Adzopé en terre Akyé, j’ai été présenté ce dimanche 5 août à un patriarche : le sage Modeste Kimou, instituteur à la retraite. Le sage Kimou m’a raconté ses souvenirs de l’école primaire...
Qu’est-ce qui fait que nous sommes en paix constante, ou en conflit permanent avec les autres ? Nos habitudes et notre éducation. Ces habitudes procurent un état de paix individuelle, et nous rend prêts à collaborer pacifiquement avec les autres. Vous pouvez la télécharger en vous-même.
Depuis toute petite, j’éprouve un pincement au cœur quand je vois des enfants en situation de précarité ou de handicap. Mais, sous un autre angle, on peut aussi voir l’humanité, la beauté humaine, la simplicité de la vie. Et c’est ce que j’ai vu, chez les petites pousses du centre Felana Maitso, dimanche.
Dans un coin de rue, j’aperçois une fillette, assise au sol tout en larmes. Elle avait tellement pleuré que ses yeux s’étaient gonflés. La scène ne me laissa indifférent. A-t’ elle perdu l’argent de sa mère ? Qui l’a frappé ? D’où vient-elle ? Autant de questions qui me venaient à l’esprit. Avec toute ma bonne foi, j’entrepris de ralentir et de me rapprocher d’elle..
La toute première édition du Festival des AmArou vient de connaître son point d’orgue. Ce festival fait le pari de contribuer à la démocratisation de l’éducation artistique et culturelle au Togo.
Je souhaite que chaque parent prépare l’enfant à devenir responsable. A un certain âge comme l’âge de la petite Hanah, l’enfant doit avoir une notion du mal et du bien, du vide et du plein, du trop et du peu, et parfois de l’empathie et de l’antipathie.