La croissance de la mendicité infantile au Tchad
Le nombre d’enfants mendiants ne cesse d’augmenter. La crise économique prolongée qui sévit dans le pays plonge de nombreuses familles dans l’extrême pauvreté.
De Conakry à Paris, les problématiques de l’école sont, certes, différentes, mais on peut s’accorder sur une seule chose : la primauté de l’intérêt de l’enfant. Pour une nouvelle école, il est urgent de former les acteurs de l'éducation à la bienveillance.
L’affaire conjugale de Ndjitap a remis sur la table l’éternelle problématique de la paternité biologique…
Les espaces numériques, au-delà de leur formidable facilité à relier les personnes dans le monde et à offrir des opportunités aux enfants et aux jeunes, deviennent de plus en plus toxiques pour ces derniers. Aujourd’hui, internet peut être perçu comme le moyen le plus rapide, ou le chemin le plus facile pour être pris pour cible de différents types de violences. À quoi nos enfants sont-ils exposés sur internet ? Comment bien les protéger ? Quelques réponses dans cet article...
Chers enfants, papa est parti tôt ce matin et ne sera pas à la maison ce soir, il a encore une réunion. Je vous ai dit que j’avais une réunion pour que madame Géraldine puisse organiser des chouettes activités avec les copains après l’école. C’est vrai. On ne ment pas aux enfants. Mais ce soir, à la réunion, un monsieur a aussi parlé d’autres enfants que vous...
À Bécédi-Brignan, village d’Adzopé en terre Akyé, j’ai été présenté ce dimanche 5 août à un patriarche : le sage Modeste Kimou, instituteur à la retraite. Le sage Kimou m’a raconté ses souvenirs de l’école primaire...
Qu’est-ce qui fait que nous sommes en paix constante, ou en conflit permanent avec les autres ? Nos habitudes et notre éducation. Ces habitudes procurent un état de paix individuelle, et nous rend prêts à collaborer pacifiquement avec les autres. Vous pouvez la télécharger en vous-même.
Depuis toute petite, j’éprouve un pincement au cœur quand je vois des enfants en situation de précarité ou de handicap. Mais, sous un autre angle, on peut aussi voir l’humanité, la beauté humaine, la simplicité de la vie. Et c’est ce que j’ai vu, chez les petites pousses du centre Felana Maitso, dimanche.
Dans un coin de rue, j’aperçois une fillette, assise au sol tout en larmes. Elle avait tellement pleuré que ses yeux s’étaient gonflés. La scène ne me laissa indifférent. A-t’ elle perdu l’argent de sa mère ? Qui l’a frappé ? D’où vient-elle ? Autant de questions qui me venaient à l’esprit. Avec toute ma bonne foi, j’entrepris de ralentir et de me rapprocher d’elle..