Comment j’ai eu envie d’aller manger canadien
25 octobre 2013
Prune, foin et terre brouillée. Plus fort, plus sec aussi. Du genre à laisser sa trace, de grosses empreintes sombres qui ne partiront pas avec la nuit. Peut-être sous l’eau d’un bain. J’aimais les framboises de l’autre nuit. Il sentait la fleur, le géranium, les journées d’avril où ma mère me faisait rempoter les fleurs achetées plus tôt au voisin. Mais celui-là était italien. L’étiquette était trop jolie, il avait…