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Au fond, les femmes qui ne profitent pas de la beauté interne dont elles sont dotées sont des idiotes. Il est vain de compter uniquement sur l'apparence, sauf à devenir envieuse.

En Guinée, elles sont nombreuses, ces braves femmes qui se battent pour survivre, élever leurs enfants, et parfois financer leurs études.

Avec sa complice Justine, Sarah a parcouru cinq pays à la rencontre de vingt-cinq femmes avec un vrai désir : comprendre, faire entendre les voix de celles que l'on n'entend pas, donner plus de poids à la parole des femmes musulmanes.

« (...) Regarde ton armoire, elle est pleine à craquer et tu me dis que dans tous ça tu n’a pas une seule tenue que tu pourras mettre ce soir ? ».

En cette journée mondiale de la paix, je choisis de publier les textes envoyés par cinq Mondoblogueuses rencontrées à Dakar en décembre dernier.

En Afrique, et plus particulièrement en Afrique subsaharienne, les femmes sont malheureusement les plus touchées par la pauvreté, bien qu’elles demeurent un maillon fort dans l’économie du continent. Elles contribuent pleinement à la croissance économique et jouent un rôle majeur dans la stabilité et le maintien de la paix.

Retour sur une discussion avec un oncle un peu rétrograde.

Dans la culture africaine chacune des épouses respecte la relation du mari avec les autres coépouses. Toute femme mariée sait qu'à tout moment une coépouse peut venir remettre en question l'harmonie de son couple. Une femme africaine, une vraie, sait qu'elle ne peut s'opposer à l'arrivée d'une coépouse.

L'injonction au mariage pour les jeunes femmes est malheureusement une réalité aujourd’hui en Afrique.

Chères patientes, ce billet vous présente les différentes méthodes contraceptives !

Au Cameroun, 36,1% des femmes et 39% des hommes âgés entre 15 et 49 ans déclarent que le mari a le droit de frapper sa compagne. Comment faire évoluer les mentalités ?

Dolorès, dis-moi alors, pourquoi toutes ces odeurs chez les femmes ?

Il m’a fallu ces loupes d’un autre homme, un homme qui vient d’ailleurs pour comprendre les Barundikazi, ces jeunes femmes burundaises.

Elle était avant tout la tienne avant de devenir celle d’autrui. Elle était dans la bulle avec vous. Elle était le Dieu ou le Diable de votre monde.

C’était un entretien comme les autres. A une différence près : le poste qui m’intéressait n’était pas accessible aux femmes. « Mademoiselle, en fait, ce métier est spécifique aux hommes » me fait remarquer une dame, faisant partie des recruteurs. « Vous n’avez pas spécifié cela dans l’offre » rétorquais-je. « Mais le métier d’hôtesse est spécifique aux femmes » ajoute un autre recruteur, toujours de la gente féminine. Elle était plus sympathique, certes, mais elle aussi…

Ici, certaines femmes prennent leurs maris pour des dieux. « S’il n’est plus là, je vais vivre comment ? », entend-on régulièrement. Mesdames, pourquoi pensez-vous que vous ne pouvez pas vivre si votre conjoint décide de vous quitter ? Imaginez-vous indépendante financièrement... imaginez-vous PDG !

Comme la place des femmes, la séparation des couleurs de peau prend du temps à changer dans les mentalités et dans les boîtes de nuit de Johannesburg.

Dans cette époque encore plus que dans celles qui l’ont récemment précédée, on ne s’étonne plus de voir une femme Africaine avec des cheveux artificiels sur la tête. A tel point que cela est devenu normal. Ce fléau si je peux l’appeler ainsi est en effet celui du remplacement du cheveu naturel par des greffes, des mèches, ou encore des mèches brésiliennes et indiennes comme elles le disent souvent. Certaines…