Cette série radiophonique comprend en tout 15 épisodes de 10 à 15 minutes. Les auditeurs découvriront dans cette série de 15 épisodes réalisés en français et en arabe tchadien, des personnages, des intrigues et des décors entièrement adaptés au Tchad même si elle s’inspire de la version originale de la série.
Crédit: Episode 7 Il vous en souvient que notre aveugle après avoir été éjecté par l’ouragan s’est retrouvé sur l’ile Occidentalus. Et sa vie sur l’ile n’est pas du tout repos. Il multiplie les rencontres avec ses sympathisants, ses partisans et même selon le troisième homme du jardin des recrutements des mercenaires pour déstabiliser la quiétude du jardin. La grande vague de l’ouragan populaire qui a fait partir le guide suprême…
Crédit: Episode 6 L’aveugle suprême est entre deux feux ardents. D’un côté la lutte âpre pour accéder au manguier central, de l’autre les indiscrétions du grand conseil. Effet beaucoup d’aveugles membres du conseil pensent que le conseil est poreux. Des décisions importantes ont filtré avant même leurs mises en exécution. C’est pourquoi lors du dernier conseil il y avait eu des rixes et l’aveugle suprême a reporté dard -dard le conseil. …
Crédit: Episode 5 Le challenge est ouvert. Les intrigues vont bon train pour remplacer l’aveugle charrié par l’ouragan. Le grand gardien du jardin, ne veut pas contrarier ses alliés d’hier et d’aujourd’hui. Même si l’intoxication à mort de neuf piliers de sécurité avancé du jardin par la coque dévot, une plante empoisonnante vient gâcher la fête. « Mais puisque nos vaillants piliers sont mort un vendredi, jour saint de notre religion, puisqu’ils…
Crédit: Première partie J’aperçois là-bas sur un arbre perché un homme. Il est aveugle. Pourtant, il a réussi à se hisser au sommet de l’arbre. Il pense être à l’abri de ce qui se passe sur terre. Mais il ne sait pas que l’arbre est à côté d’un grand trou. Sa racine principale est dehors. D’ailleurs une grosse mangouste y a élu domicile juste à côté. Un grand ouragan se prépare,…
Crédit: Il fut une époque – non encore révolue – où, à partir d’une certaine heure, la vie s’arrêtait dans toutes les villes de notre pays (du moins, dans les endroits qui étaient alimentés en électricité). Grands et petits, femmes, enfants et parfois hommes, tous étaient scotchés devant leur petit écran, captivés par ces feuilletons originaires pour la plupart des pays latino-américains. Au Cameroun, on en a vu des centaines sur…