Pourquoi je les ai mis à nu
Je ne sais pas ce qui me fait pleurer. Tout va bien, allongée au bord de la Spree, Hauptbahnhof en vue, ni trop chaud ni trop froid, délicieux mois de mars. Le pollen sans doute, l’arbre qui trône sur la droite, moitié vert moitié mort, et ce jaune qui s’en réchappe. Le pollen oui, sans doute. Et le soleil, son reflet sur l’eau qui m’éclabousse. Je sors mes lunettes sombres,…