Comment, sans queue, je ne peux prétendre à la virilité
4 novembre 2013
Il s’appelle Robert. Plutôt garçon. Plutôt beau garçon. Il marche comme on glisse. Il parle comme on fredonne une mélodie. Il a toujours le mot juste. Il est drôle, mais fin, subtile, brillant. Il vous étonne et vous apprend, sans en faire trop, il a le temps. Voilà celui que j’ai rencontré il y a quelques semaines à la Theaterhaus de Mitte et qui, maintenant, me possède totalement. Robert. En…