Parce que Berlin n’attend pas
12 novembre 2013
Mercredi soir. Fin des travaux dans mon appartement, accrochage final de rideaux, sensation intense d’un entre-deux entre un passé et un futur, pas un présent exactement, un silence teinté de satisfaction, instant mystique. Presque mystique. Douleur intense quand mon genou gauche a rencontré le coin droit de mon radiateur, descente d’un tabouret bancal. Malaise dans le U-Bahn, charmants inconnus, taxi, gentil médecin et beaux infirmiers dans une clinique de Prenzlauer…