Que faire s’il ne restait que le Franglais ?
J’avais décerné, il y a quelque temps, une «mention bien » tout à fait méritée, à un ami promu haut fonctionnaire de l’Etat Mauritanien. Discret de nature, il m’a fait parvenir une réponse, comme on dit dans le jargon des journalistes, «hors micros ».