Dans mon quartier le pain est fabriqué par des «grouilleurs»…
Les ivoiriens peuvent s’accorder. Très peu de boulangeries dans la capitale, tout comme celles à l’intérieur du pays ont recours à des professionnels, issus des rares écoles de boulangers, pour la fabrication du pain. Une façon peut-être pour les propriétaires de fuir les salaries dignes et leurs cortèges de revendications. Comment le constater, le penser et ne pas le dire ? Les ivoiriens aiment le pain comme leur garba national. Ils le consomment comme toute nourriture sans toutes fois…