Je « rappe », donc je suis…(dernière partie)
Je suis de cet avis, dit Assanatou qui venait de rentrer, gagnée par la tristesse. Ceux qui sont aux affaires sont pareils à une drogue dure. Elle avait le visage cent pour cent défait. C’était la nuit, le ciel était stellaire. La lune, majestueuse et resplendissante, dominait l’obscurité.Dans le bistro le calme était profond. Gaspi et Assanatou s’installèrent à une table, au fond de la salle, comme pour observer une distance avec le vacarme qui s’élevait dans le cercle des artistes.